On est là, nous les hommes des médias!

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Les journalistes au Stade IMO
Les journalistes au Stade IMO

Dans le sens de la démocratie et la liberté d'expression, les journalistes tchadiens se sont donné un rendez-vous avec les artistes tchadiens au stade Idriss Mahamat Ouya pour la célébration de cette journée.

Placé sous le thème : L’accès à l’information et aux libertés fondamentales « c’est votre droit ». Les journalistes se sont mobilisé pour commémorer cette journée dont cette année les artistes tchadiens on l’honneur de s’unir avec les journalistes pour un grand match de football le lundi 2 mai au stade Idriss Mahamat Ouya. En présence de plusieurs autorités de la place, le Président de l’Union des Journalistes Tchadiens M. Larmé N. a signifié dans son mot d’ouverture avant que la présidente de l’organisation de la dite journée Alimé Assadié, ne donne le coup d’envois sous les acclamations. Selon les arbitres du match, c’est un match de gala ont-ils consignés aux journalistes et les artistes avant le matches. Pendant 2 fois 30 minutes, les journalistes ont bravé très fort en face à ces artistes sur le terrain qui n’ont pas les maitrisé. A la première parti du jeu, les artistes pensaient prendre le matche en main mais le contraire s’est produit à la 19 minute ou une passe quitte du Capitaine de l’équipe de presse football, M. Djamal à Marabeye qui ouvre le score. Peu de temps à 26 minutes une erreur s’interpose dans la défense des journalistes qui occasionne un pénalty aux artistes mais par la bravoure du coach de l’équipe de Presse M. Clément, qui se trouvait lui-même au potto, a arrêté le tir de Ngass David. Quelques minutes plus tard, l’arbitre centre renvois les deux équipes aux vestiaires sous le poids des journalistes qui mène 1 à 0.

A la deuxième partie, très chauffée sous l’animation du ballet national, les artiste on eu une occasion en or pour annuler le but des journalistes par une tornade de dribble que la défense ne s’attendait pas jusqu’à balayer le gardien et faire revivre les artistes dans le jeu. La presse qui n’a pas perdu totalement l’espoir y compris son trio qui est le SBM (Séraphin-Béthel-Marabeye) ont su se donner malgré des multiples occasions ratées, Marabeye prend un bon élan et percute la défense des artistes dont le dernier défenseur ne lui a pas permis de finaliser son action en le mettant hors d’usage pour donner un pénalty à la presse. Le Ministre de la Jeunesse et des Sports Béthel Miarom, qui lui aussi est un journaliste, rassure ses confrères que c’est l’occasion de la fête avec un bon tir au filet des artistes. Désormais la presse mène 2 buts à 1 pendant les 7 dernières minutes de la fin.

La journée est là

Dans la grande du CEFOD, les hommes des médias et des presses privées comme publiques se sont retrouver au tour du thème : L’accès à l’information et aux libertés fondamentales « c’est votre droit ». Animé par Maître Békoutou Adolph, Onyem Baldal et Dr Badani l’arabophone. A tour de rôle juste après les cérémonies d’ouvertures dont l’intervention du Président du Haut Conseil de Communication (HCC) M. Wawa Dahab, ses trois intervenants ont expliqué de long à large les maux qui tuent la presse tchadienne et les journalistes eux-mêmes dans la méconnaissance de leur métier. Plusieurs points ont été débattus puis des doléances ont été posées pour l’amélioration des conditions de vies des journalistes tchadiens. Aussi, sur la déclaration de la haute représentante, Mme Federica Mogherini, au nom de l’Union européenne, à l’occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse, a encore rassuré les journalistes que l’Union Européenne n’a pas perdue de vue sur les sacrifices des journalistes dans la lutte des droits humains, le processus de la démocratie et de la lutte contre la corruption dans le monde, que les appuis sont disponibles afin d’aider les organes dans leur travail qui est celui de l’information.

Par Louba-heindé Séraphin

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