๐๐๐ก๐๐ : ๐๐ ๐ฆ๐จ๐ง๐๐ ๐๐ ๐ฆรฉ๐๐ข๐ ๐ ๐๐ง๐ ๐ซ๐๐งรฉ ๐ฉ๐๐ซ ๐ฅ'๐จ๐๐ญ๐ซ๐จ๐ข ๐๐ฅ๐๐ง๐ข๐ช๐ฎ๐ ๐๐๐ฌ ๐ฉ๐๐ซ๐ญ๐๐ง๐๐ซ๐ข๐๐ญ๐ฌ ๐ฉ๐๐ซ ๐ฅ๐๐ฌ ๐ข๐ง๐ฌ๐ญ๐ข๐ญ๐ฎ๐ญ๐ข๐จ๐ง๐ฌ
/image%2F1204455%2F20250122%2Fob_701fdb_1737532994894.jpg)
๐ช๐๐๐๐๐๐๐, ๐๐๐๐๐๐๐๐๐, ๐๐๐๐๐๐๐๐๐๐๐๐ ๐๐๐๐๐๐๐๐ ๐๐ ๐๐๐๐๐๐๐๐๐๐, ๐๐๐๐๐๐๐๐๐๐, ๐๐๐๐๐๐é๐๐๐๐๐... ๐ช๐๐ ๐๐๐๐๐๐๐ ๐๐๐๐ ๐๐๐๐๐๐๐๐๐ ๐๐๐๐๐๐๐é๐ à ๐'É๐๐๐ ๐๐ ๐๐ ๐๐๐๐è๐๐ ๐ ๐ ๐๐๐๐๐๐๐๐๐๐๐ ๐๐ ๐ป๐๐๐๐ ๐๐๐๐๐๐๐๐ ๐๐๐๐ ๐๐๐๐๐ ๐๐๐๐ ๐๐๐๐๐๐๐ '๐๐๐ ๐ ๐๐๐ ๐๐ ๐๐๐๐ ๐ ๐ ๐๐ ๐é๐ ๐๐๐.
« Je ne me fatigue plus pour déposer une demande de partenariat dans telle institution. Là-bas ils ont déjà sélectionné les médias de leurs frères. Ça ne sert à rien. » ce sont des propos qui reviennent souvent sur les lèvres de plusieurs responsables de médias frustrés et même découragés.
C'est un constat honteux. Aujourd'hui pour qu'un média privé ait accès à un partenariat avec une institution privée comme publique, est simplement un parcours de combattant. Les entrées sont verrouillées, cadenassées et prises en otages par un groupe d'amis et des parents, ne ''connaissant souvent rien dans leurs tâches''.
Même chose dans les sélections des médias pour les missions de travail. Généralement les tâches de gestion des médias sont confiées à des anciens journalistes qu'on les appelle affectueusement ''DOYENS". Les invitations se font par coup de téléphone. Plus grave, quelques organes de presse de presse ''moribonds'' s'y retrouvent continuellement et constamment, écartant tout les autres pour des raisons que personne ne sait.
Certains prennent du plaisir en imposant un ''deal''. « Nous avons signé un partenariat au courant de l'année 2024 avec une institution. Le Directeur de Communication nous a clairement avoué qu'il prendrait 35% du montant de l'accord. Chose acceptée. Et la signature n'a pas pris le temps. Les choses se sont vite passées, » s'est plaint un responsable d'un média sous l'anonymat.
C'est un fait frustrant que les autorités et les différentes institutions doivent s'y atteler et revoir les stratégies d'octroi de partenariat dans l'équité et/ou avec la chance de tout le monde.
« Souvent quand nous partons déposer des demandes de partenariat dans les institutions, on nous demande le nom du responsable des médias, leur origine et même leur appartenance ethnique. C'est vraiment regrettable. Les mêmes médias sont partout là où nous partons. » confie un journaliste de la presse privé.
Il est crucial pour les autorités tchadiennes d'instruire les ministères, les Organisations, les institutions, les projets..., de donner la chance à tous les médias d'avoir des partenariats, s'ils respectent les procédures normales de dépôts et de correspondances.
Enfin, les institutions devraient définir des critères transparents pour la sélection des médias, basés sur la qualité du contenu, l'expérience et la capacité à atteindre le public cible, plutôt que sur des relations personnelles. Dans les jours les noms de plusieurs institutions seraient dévoilés.
๐๐๐๐๐๐ ๐๐๐ซ๐ญ๐ซ๐๐ง๐, responsable de HAMAMA MEDIA