#Tchad: Assemblée Générale Élective du Conseil National du Patronat Tchadien, Bichara Doudoua reconduit à la tête de l'organisation

L'équipe du CNPT

Le Conseil National du Patronat Tchadien (CNPT) a tenu son assemblée générale élective ce samedi 19 avril 2025 à N'Djaména. Cet événement a rassemblé l'ensemble des membres du conseil pour dresser le bilan du mandat écoulé et élire une nouvelle équipe dirigeante, dans un climat de transparence et de sérénité.

Au cours de cette assemblée, plusieurs points cruciaux ont été abordés, notamment les défis auxquels sont confrontées les entreprises au Tchad. Les participants ont souligné que la répression constante exercée par la justice tchadienne constitue un frein majeur à l'évolution des entrepreneurs. Cette situation entrave non seulement la croissance des grandes entreprises, mais elle engendre également des pertes significatives pour l'État.

Un autre défi mis en lumière lors des discussions est la nécessité de formaliser le secteur informel. Le CNPT s'engage résolument dans cette lutte, conscient que la régularisation des activités informelles est essentielle pour favoriser un environnement économique sain et dynamique.

À l'issue des travaux, une élection a eu lieu, au cours de laquelle M. Bichara Doudoua a obtenu la majorité absolue des voix, lui permettant ainsi d'être reconduit à la présidence du CNPT pour un nouveau mandat. Son leadership et son engagement envers les entrepreneurs tchadiens ont été salués par ses pairs, qui lui font confiance pour continuer à défendre les intérêts du patronat et à œuvrer pour l'amélioration du climat des affaires au Tchad.

Cette assemblée générale élective marque donc une étape importante pour le CNPT, qui entend poursuivre ses efforts pour soutenir le développement économique du pays et relever les défis auxquels sont confrontés les entrepreneurs tchadiens. Sous la présidence de Bichara Doudoua, le CNPT s'engage à renforcer sa voix et son action en faveur d'un environnement propice aux affaires, tout en continuant à œuvrer pour la formalisation du secteur informel.

Par Bianzoumbé, journaliste stagiaire.

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