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Article publié depuis Overblog

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Prendre conscience des choses
Prendre conscience des choses

Le Tchad oublie l'épidémie de choléra qui arrive...

On ne prévient pas cette maladie qui commence quelque fois tard et qui emporte plusieurs personnes à la fois. En temps normal, le ministère de santé doit savoir et planifier ses moments noirs ou les femmes et les enfants sont les premières victimes ici au pays. Cette épidémies vient toujours au de debut la rentrée scolaire ou les enfants ne comprennent pas la mise surpieds de l'hygiène scolaire tout comme les parents qui par manque des précotions, laissent et oublient l'hygiène alimentaire pour ses derniers. Une campagne de sensibilisation doit se faire à temps pour mettre au courant toutes les couches afin de prévenir les populations. On constate que des choses unitiles se laissent imposer sans aucune attentionn particulière. La politique tchadienne est toujours mal gerer entre copin et copine jusqu'à ternir l'image du pays. Bon nombre des intellectuels qui se succèdent à ce ministère qui s'encharge de la vie des populations, se font des grands ignorants de la planète. Il detournent tout ce qui doit aller en faveur de la population pour lutter contre certains fléaux. Le pire est que ceux-ci on arrive parfois à les prendre les mains dans le sac mais rien comme correction leur soit infliger ainsi de suite et voilà les tchadiens s'enterrent chaque année. Pour l'ébola qui s'annonce de l'autre côté de la rive, des mésures et dispositions sont mise sur pieds pour attendre mais faut aussi comprendre une chose cette maladie, elle prends du temps tandis que le Choléra c'est du tic au tac.

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Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Les jeunes tchadiens et les  demandes des stages = sexe !

La façon que les choses se font dans ce pays est vraiment horrible et désastreuse.  Dans les temps  passés, les mérites ont su dominées et données de la crédibilité aux hommes de la planète. Pour des raisons ou on peut citer aujourd’hui avec la propagation des systèmes de corruptions très techniques de part et d’autre, les choses néfastes sièges au milieu de la vie active. Il est à comprendre aussi que le laissé aller des responsables éducatifs  sur le plan général, ne font cadeau pour  le sérieux dans l’encadrement des jeunes tchadiens. Surtout les éducations familiales, scolaires et socio-professionnelles sont bafouées et négligées à un point ou les délinquances s’installent dans tous les sens de la vie. Pas de différence entre père et fils, Maître et élève, Chef et son subordonné etc. Tout est permis et personne ne sait rien, tous égaux et aux mêmes pieds d’égalité plus dans le sens Négatif.  Chercher à gagner sa vie pose problème au Tchad car les portes de réussites sont scellées au point où il faut avoir un parrain de haut rang pour trouver quand même un issu de sorti. Face à cette situation, les filles font objets de distraction sexuelle et bien d’autres. Les bureaux administratifs privés comme public sont remplis de ses désordres. Trouver l’accès est difficile. Si, la chance doit sourire, c’est aux filles qui savent se donner pour le sexe car sans tardé celles-ci s’accroche au stage voir un boulot qui ne tiendra pas compte de la compétence intellectuelle mais plutôt sexuelle. Pour aussi garder sa place il faut encore savoir gérer tous hommes responsables des services si non la mise en dérive est possible car un bon plat est apprécié de tous les mangeurs. Pour être plus efficace et intéressante, les filles sont appelées à savoir faire pour être solliciter au cas où le boss doit quitter son poste pour un autre. Le calvaire est chez les garçons quel que soit vos connaissances et vos diplômes, la réalité des choses vous impose une conduite à tenir qui est de faire tout et à la fois pour trouver une place à se maintenir. Pas facile la tâche et mission à accomplir car partout c’est la même chose. Les garçons doivent être utilisé d’une manière de complices pour certains désirs tel que : faire la cour à des filles du quartier, certains travaux domestiques si possible donner aussi sa copine à un patron ou sa sœur. Tous genres  d’harcèlements se vis au dans les services et des administrations de ce pays. Sans se rendre compte la pratique a pris une vitesse croisière. Cela conduit à une haine et la jalousie terrible qui conduisent certaines personnes à perdre même leur vie car certains qui ont leurs épouses et époux ne peuvent supporter. Cela impose le siège de l’infidélité conjugale dans les foyers et brise les fiançailles des couples.  Nous constatons aujourd’hui que  85% des femmes qui travaillent ne sont pas mariées ou sont divorcées dû à ses pratiques.

Louba-heindé séraphin Adoumngar

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