COMMUNIQUE N° 004/06/15

Le Collectif des Journalistes Tchadiens Indignés par les Drames Terroristes invite tous les confrères affiliés à son organisation à une réunion le Samedi 20 juin 2015 à la Maison des Médias du Tchad à 16 heures dans la grande salle.

Ordre du jour : séance tenante

La présence de tous les journalistes et communicateurs est vivement souhaitée.

Le Porte-parole

M. Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Tél : 66 36 76 99 / 93 61 20 30 / 66 64 23 94

Si le bac est bien parti, ce n’est pas le cas pour les examens et les passages à des niveaux supérieurs car les décisions prises ne répondent pas à des réalités tchadiennes. On doit revoir au claire certaines choses qui aspirent à faire tombée très bas la culture éducationnelle. On peut accuser le multiculturalisme.

C’est une occasion de dire la vérité si les choses doivent réellement changé sur le système éducatif tchadien. Quand on veut faire de la politique là sa place est douteuse, on se trompe toujours de la porte d’entrée. Il n’est pas question de revoir certaines idées que calent les cadres de l’éducation nationale ici au pays. C’est pas juste certaines décisions qui tombent à l’aveugle car faudrait bien que ceux-ci pensent aux contours et aux retombées de ses décisions.

On se lève un bon matin dans un cabinet restreint puis on pense aider la nation tchadienne en donnant soit des propositions vaine et creuse. Cette décision qui annule certains examens et concours en plus les passages d’un niveau à un autre, est anormale car la pédagogie ne peut être revue que par des spécialistes et aussi certains principes de bases pédagogiques. Il est à reconnaitre que le Tchad a un système éducatif de façon bancale. Les cadres éducationnels ne se respectent pas et ne donne pas l’importance de nos jours à l’école des blancs qui est une plateforme de l’évolution à tous sans aucune condition majeure. Les plans que s’adonnent ses dirigeants tient compte toujours des ignorants qui n’ont pas de l’avenir à l’école, hors : « l’école est pour tous mais réussir à l’école n’est pas l’affaire de tous. » mais on voit que la géopolitique et l’ignorance intellectuelle siègent à ce niveau. On pense toujours au contraire, l’école est un endroit où rien que la matière grise qu’on en tient compte. Si tout le monde lance le même appel envers les parents pour la scolarisation des enfants aujourd’hui, on ne doit pas se tenir à la porte de leur perdition. Certes les manipulations politiques ont permises à la baisse de niveau comme on le dit mais la façon de résoudre n’est pas du tout idéal pour les enfants. Que l’État puisse voir autrement des mesures pour que les choses se remettent en marche.

Si on voit bien, les cadres de l’enseignement qui, font de l’éducation leur propriété dont la famille doit être au centre. On voit bien les faits qui s’augmentent au fur et à mesure dû aux gens du staff qui veulent toujours porter des aides aux personnes qui sont pas dans le besoin en voyant que l’éducation nationale. Une femme peut et pourra bien éduquer mais pas toutes les femmes tchadiennes car bon nombre sont des coquilles vides, incapables de dispenser les cours car elles détiennent des lacunes grossières qui semble être inné chez elles. Celles-ci se préoccupent que des salaires et d’autres fins et plus de cela, elles détiennent les monopoles de tout et personne ne peut les toucher car l’État lui-même protège les bien sa politique du genre sans se rendre compte de cet danger. On pourra tout faire tout dire en politique mais qu’on sache que l’éducation est une partie sensible d’une nation et qu’on ne peut jouer et rejouer comme un ballon. Mettons du sérieux pour compter sur des bons cadres de demain sera mieux.

Il n’est pas question d’en faire cette situation une culture car si chacun doit envoyer sa femme dans l’enseignement par ce que, la porte de la fonction publique est réservée qu’à l’enseignement que cela s’arrête et les capables reprennent leur place, aussi il faut que ceux qui anticipent sur leur retraite et bien d’autres comprennent que la vie de ses enfants tchadiens doit les tenir à cœur même s’ils doivent en finir avec. C’est très alarmant pour certains parents qui dans l’ignorance pousse leurs enfants à aller de l’avant sans aucun niveau et aucune base, c’est vrai qu’on a fini avec les modifications des états civils qui était au quotidien mais attention pour la matière grise, il y aura pas possibilité car les résultats seront au vu de tous tôt où tard.

Par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Journaliste, Indépendant Blogueur

Sous une température bien calculée, une moitié du quartier nord de la ville de N'Djamena ce sont groupé dans une des grande salle du palais de 15 janvier pour l'ouverture et la rentrée politique du parti UNCT (Union Nationale pour le Changement au Tchad.

C'est l'un des événements des parti politique que beaucoup des tchadiens n'ont jamais connu à le parti au pouvoir. Prêt à craquer la salle, tout le monde était au rendez-vous. Les vieux et les jeunes tous confondu ont su accueillir leur candidat. Des cris, des danses et théâtre en live depuis l'entrée du palais, dans la cours et même dans la dite salle cette moitié de la population n'a pas eu un petit temps de pose que lorsque leur candidat M. Adoum Hassan Issa a pris la parole pour un discours sensuel pour se taire.

M. Tao Hamia Ndackndaye, président du comité d'organisation de cette rentrée politique, a remercié très franchement les parents, ami et certaines connaissances qui sont de loin ou de près ont contribué moralement, matériellement ou financièrement à la réussite de cet événement tout en saluant le dévouement des jeunes et des femmes des différentes commission de parti l'UNCT pour leurs mobilisations et de leurs engagement pour la tenue de cette rentrée politique. Avant de faire venir à tribune l'homme et le support de l'UNCT devant les nombreux microphones des journalistes des médias publics et privés du Tchad ainsi que quelques correspondant de médias de l’extérieur, M. Tao a expliqué la vie du parti UNCT qui a vu le jour en 1995 et a connu des hauts et des bas étant une œuvre humaine mais il s'est retrouvé aujourd'hui sur le chemin de lutte pour la vraie liberté.

Sous les applaudissement des milliers de personnes, le fondateur du grand parti rassembleur "Union Nationale pour le Changement au Tchad", Adoum Hassan Issa il a fallu plus de dix minutes pour qu'il ne puisse dire un mot. Sous une forte émotion, Adoum Hassan Issa a d'abord exhorté ses militants qui sont resté fidèle pendant les dur moment que le parti a connu avec l'absence des années que lui le fondateur avait passé hors du pays. Il n'a pas manqué de faire comprendre à la salle que cette rentrée politique permettra de bien résoudre les problèmes de la population tchadienne car c'est le moment où les choses doivent être changer.

Aux jeunes et aux femmes le fondateur a lancé un appel pour les rassurer que leurs souffrances sera diminuée surtout que l'accès à la fonction publique est monnayée puis s'opère d'une manière clanique. Adoum Hassan Issa n'a pas oublié les secteurs tels que: l'éducation nationale et la santé, qu'une politique mure et précise seront compté pour le changement du Tchad et les responsabilités vont être suivis avec assiduité.

Voulant terminer ses propos, le fondateur a appelé le peuple tchadien a resté vigilant pour suivre de près les activités sur les procédures électives qui se prépare, car bien de choses ne seront pas exact mais que chaque militant sait d'avance l'utilisation des cartes biométriques ou des bulletins de votes au jour des élections. Avec plein de sagesse et charisme, M. Adoum Hassan Issa a remercié ses sympathisants pour leur soutien et de leur fidélité envers ce noble parti "Union Nationale pour le Changement au Tchad" qui ne cherche rien que la paix, légalité, la justice et la réussite de tous.

Par Louba-heindé Séraphin

Journaliste Indépendant

Il était dix heures moins quand une explosion s’était produite juste à l’entrée du commissariat central près de la Présidence de la République et à l'école nationale de la Police.

Tous les tchadiens étaient paniqué surtout ceux qui se trouvaient non loin de l’endroit. Par des appels téléphoniques, à l’école nationale de la Police c’est aussi les mêmes dégâts mais là-bas les pertes humaines sont déplorables. Les élèves policiers qui se trouvaient encore là en pleine formation, ont vu une voiture de marque V8 s’arrêter en plein milieu de la cours de l'école de police nationale du moment ou les élèves policiers suivaient des instructions mais ne savaient pas ce qui allait venir. D’un coup certains remarquaient la portière s’ouvrir et à la seconde un homme s'approchait de cette foule se fait explosé avec un nombre important des élèves policiers y compris certains encadreurs trouvaient la mort, puis la minute suivante une autre voiture à l’entrée, d’éclanche aussi son arsenal et tue ceux qui prenaient la fuite, tuant un quarantaine de personnes.

Au même moment un autre attentat se produit au commissariat central causant dix morts à l'entrée. Suite à ce drame, la population y compris certains élèves et des étudiants se mettent en débandade un instant. sans un petit retard, les forces de l'ordre ont couvert les axes stratégiques et certains points sensibles de la capitale afin de mettre du calme à la population.

Ces doubles attentats que tout le condamne avec les derniers souffles, laisse une panique à la nation tchadienne. Aucune revendication d'un groupe terroriste n'est faite mais le gouvernement accuse le secte islamiste de Bokoharam car ces terroristes ont menacé le Tchad pas lointain. Parmi ses victimes, quatre corps des terroristes ont été détecté par les enquêteurs.

Tout le monde se posait de questions comment c’est la police qui est la cible et pourquoi ? Reste à savoir."A l’absence du Président Déby que cette action a été posée mais faut le reconnaitre que le peuple tchadien continuera à lutter contre ses islamistes de Boko haram se confit certains citoyens". Au sommet de Joanesbourg où il se trouvait depuis quelques jours, Déby n’a pas manqué de redire et aussi de préciser qu’un état-major mixte se poserai d’ici peu à N’Djamena pour aller en guerre contre Bokoharam au Nigeria. Pendant que les soldats tchadiens sont au front au Nigeria, ces malfaiteurs s’organisent à causer ce dégât.

Du moment où le Tchad dans sa lutte pour la paix, une bande maudite par Dieu, s’infiltre et coupe la vie aux gardiens de la paix, les hommes valides capables de sécuriser la nation tchadienne, plein d'avenir et bien d’autres. Une force sera mise sur pieds encore pour mettre fin à ces malfrats. Le Premier ministre Kalzeubé demande à toute la population tchadienne de rester vigilante pour dénoncer tous les malfaiteurs qui seront dans cette ville et tenteront encore à causer ses actes, afin qu'ils soient bloquer à temps.Vive les forces tchadiennes pour que vive le Tchad.

Par Louba-heindé Séraphin A

Journaliste Indépendant

Ce matin dans la grande salle du ministère des affaires étrangères, le Mouvement Socialiste Africain, Rénové (MSA/R) est en congrès ordinaire pour son parti sous le thème: "La nouvelle dynamique du MSA/R. Un thème qui cadre bien avec sa vision politique adaptée. Ce Parti qui, par son charisme politique sait bien orienté sa politique au profit de tous.

A l'ouverture, un mot de bienvenue prononcé par son président d'organisation M. Mahamat Tchair, a fait mention d'une bonne conduite du parti depuis sa création et qui dans les luttes politiques pour les assises du dit parti jusqu'aujourd'hui ou le MSA/R arrive à son deuxième congrès qui réunit tous ses sympathisants et sympathisantes.

Pour M.Allasaam Assi Bakréo, secrétaire général du parti dans bilan moral, ce parti est né des cendres du MSA par le père défunt le feu Ahmed Koulamallah avant l'indépendance de notre pays qui s'était imposé pour lutter pour la liberté. Il est aujourd'hui héritier, le MSA/R dont il vit ses douze années d’existence légale dans la démocratie de la mouvance. Il a indiqué les activités menées par le MSA/R qui part des élections tels que: la présidentielle, législative et communale. M. Bakréo n'a pas manqué de donner avec précision l'objectif du congrès qui les oblige à se conformer aux statuts et à la loi régissant le fonctionnement des partis politiques et le deuxième objectif qui visera à la retouche ou la révision des textes fondamentaux du parti en un mot selon le secrétaire général: "recharger les batteries".

Quant au Président, le Camarade Ibrahim Ahmed Koulamallah, n'a pas su se contenir de sa joie personnelle vis-à-vis de ses sympathisants et de ses invités avant de leur souhaiter la bienvenue sous les applaudissements. Il a d'abord souhaité le bon début du ramadan qui commencera bientôt. Le Camarade Ibrahim Ahmed Koulamallah a souligné que ce congrès permettra au MSA/R de renforcer sa stature, déjà établie et de proposition au service de la nation tchadienne tout en lui donnant une signification et le rôle de sa formation dans le contexte politique du pays. Ce qui va mobilisé le parti a aussi voir ses capacités afin de participer aux élections dans conscience constructive que dépendront la crédibilité. terminant ses propos le Président a demandé à la salle d'observer une minute de silence en mémoire des martyres tchadiens et souhaitant à tous la réussite du congrès ordinaire du Mouvement Socialiste Africain, Rénové.

Par Loubasheindé Séraphin Adoumngar

Journaliste indépendant, caricaturiste

Si en octobre dernier, pour question de la révision des machines de la raffinerie de Djarmaya, la population à peiner pour se ravitailler en carburant, celui est d’aujourd’hui est resté sans aucune justification. Dans un point de presse animé dans son cabinet, le Ministre de pétrole, de l’Énergie et des Mines, Djérassem Le Bémadjiel se dit surpris qu’aujourd’hui la population fait face à cette situation alors que la raffinerie de Djarmaya fonctionne normalement le produit la quantité qu’il faut pour la consommation de la population.

« Plus de 800.000 litres sont mis par jours pour la consommation. Le prix de transport n’a pas changé et nous constatons malheureusement que les prix augmentent et cela est l’œuvre de quelques commerçants véreux. Les gens doivent mettre en application les prix officiels et cela pour toutes les régions », a déclaré le Chef du Département de pétrole, de l’Énergie et des Mines.

Dans les stations, certaines personnes se présentent avec des bidons et futs pour prendre le carburant non seulement pour leur consommation, mais les revendre à un prix exorbitant. « Désormais, cette situation doit s’arrêter, car les stations qui vont se permettre de servir ceux-là seront sanctionnées et radiées et n’auront pas accès au produits de la raffinerie », a indiqué Djérassem Le Bémadjiel.

ACCRA - Au moins 150 personnes ont péri jeudi dans l'incendie d'une station-service où la majorité des victimes étaient venues se réfugier des pluies diluviennes. Le président John Dramani Maham a décrété trois jours de deuil national.

Tragédie nationale au Ghana. Au moins 150 personnes ont péri à Accra, la capitale, dans l'incendie mercredi soir d'une station-service. Les victimes étaient venues s'abriter de pluies diluviennes. Un bilan provisoire, les autorités étant toujours en train d'effectuer le décompte macabre.

Des pertes humaines qualifiées de "catastrophiques" par le président du Ghana, qui a annoncé trois jours de deuil national. "De nombreuses personnes ont perdu la vie et je ne trouve pas mes mots", a ainsi déclaré John Dramani Maham, très ému alors qu'il s'était rendu sur place un peu plus tôt. Il n'avait alors pu que constater l'ampleur du désastre : des dizaines de motos et de véhicules calcinés, des corps jonchant le sol.

"Urgence nationale"

La majorité des victimes s'étaient réfugiées dans la station-service pour s'abriter de pluies torrentielles à l'origine d'importantes inondations dans la ville ces derniers jours. L'incendie se serait déclenché dans une résidence à proximité avant de gagner les pompes à essence, qui ont explosé. Les égouts et la chaussée longeant la station de la Ghana Oil Company (GOIL) étaient alors entièrement inondés. Les passants avaient de l'eau jusqu'aux genoux et une partie des victimes seraient ainsi mortes noyées en tentant de s'enfuir au moment de l'explosion, selon plusieurs témoins.

Le ministre de la Communication Edward Omane Boamah, qui a évoqué une situation d'"urgence nationale", a indiqué que l'armée, la police, les pompiers et l'agence nationale de secours étaient déployés pour venir en aide aux victimes. Les opérations de secours devraient se poursuivre jusqu'au week-end. A partir de lundi, trois jours de deuil national seront observés.

— Slider News (@SliderNews) 4 Juin 2015