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Il s’était tenu le 23 Décembre 2013 à la Bibliothèque Nationale de N’Djamena, un atelier de lancement Officiel des activités du Fonds Spécial en faveur de l’Environnement (FSE). Cet atelier a regroupé plus d’une centaine de participants (cf. liste de présence) le représentant de l’Assemblée Nationale, les Représentants des Organisations Internationales et des Organismes de coopérations bilatérale et multilatérale accrédités au Tchad, les Maires des communes de N’Djamena, les Secrétaires Généraux, Directeurs généraux des départements ministériels, les coordonnateurs des projets, les Points focaux des conventions , les organisations de la société civile et ONG, les enseignants-chercheurs, les Médias ainsi que les représentants du Ministère de l’environnement et des ressources halieutiques (MERH) .
Quatre temps forts ont marqué le déroulement des travaux de l’atelier :
- Cérémonie d’ouverture ;
- Présentation de l’État de l’Environnement au Tchad : Enjeux et défis ;
- Présentation des Fonds Spécial en faveur de l’Environnement ;
- Présentation des procédures de soumission et financement des projets du FSE ;
La cérémonie d’ouverture a été marquée par le mot introductif du Directeur Général du FSE Monsieur Yamita Hassane. Celui-ci, a souhaité la bienvenue aux participants et a souligné que cet atelier a pour objet essentiel de s’informer et d’échanger sur les activités que mènera le FSE.
Selon, le Directeur Général du FSE, le FSE a été créé le 17 Août 1998 par la Loi 14/PR/98.
Aussitôt après son mot introductif, c’est l’allocution de Monsieur Mahamat Issa HALIKIMI, Ministre de l’Environnement et de Ressources Halieutiques. Celui-ci
Selon le Ministre de l’Environnement et de Ressources Halieutiques, le Président de la République, Chef de l’État, Son Excellence Idriss Deby Itno a exprimé ses vœux de consacrer son nouveau mandat au développement du monde rural et à l’autosuffisance alimentaire. Ces vœux et cette vision ne peuvent se réaliser sans une attention particulière à l’environnement, support de tout développement économique et social.
A ce titre, le Fonds Spécial en faveur de l’Environnement, créé en 1998 par la Loi 14/PR/98 définissant les principes généraux de la protection de l’environnement et rendu opérationnel en février 2012 s’inscrit dans le cadre des efforts que le Gouvernement ne cesse de déployer en faveur de l’environnement. Il répond aux soucis des hautes autorités du pays de disposer des ressources nationales pérennes pour faire face aux problèmes environnementaux.
Pour finir, celui –ci a attiré l’attention des participants que le présent atelier de lancement est une rencontre d’information et de communication qui vise surtout à faire connaître le FSE du grand public avant de conclure que l’équipe de la direction générale aura également à bénéficier en retour des conseils et orientations des uns et des autres sur la gestion des fonds similaires pour se perfectionner .
On s'en rend compte qu’aujourd’hui rien ne fait au sein de cet ministère pourtant question de l'environnement est très important. D'ici Novembre et Décembre on aura une grande rencontre à Paris pour question de l'environnement, mais certaines personnes qui connaissent bien la politique tchadienne s'interroge: quels sont ceux qui irons en France et qu'est-ce qu'ils diront là bas au Cop21?
Le plan du Tchad surtout sur l'environnement reste à revoir car le ministère de tutelle ne s'y intéresse pas du tout puisque le monde entier s’unit pour lutter contre les menaces tels que: la désertification, la sécheresse,etc. avec des lourds budgets et des financements mais le cas du Tchad rien ne se créé.
Le Président Deby lance chaque année des campagnes à l'endroit de la population et de l'opinion internationale pour signifier que la lutte tient son chemin dont des fonds sont disponible pour que tous se mettent à l’œuvre mais juste une distraction devant ceux qu'ils les confie la mission d'exécution. Ils se connaissent bien alors chacun sort ses idées et créé une association puis ils partage les fonds destinés à la protection de l'environnement. L'exemple du Lac-Tchad, qui aujourd'hui personne ne fait cas même si les pays concernés eux trouvent toujours un temps d'en parler. Face à cette situation, on croise les bras et on attend que des événement pour se présenter juste pour un intérêt qui n'arrange à rien.
A la conférence de Paris, on verra la suite si tout va changé les donnes car la politique de l'environnement au Tchad n'a pas son sens.
Par Louba-heindé Séraphin Adoumngar
Journaliste Indépendant