LE SULTANAT DU MOYEN CHARI EST MORT ! Chose promise, chose due ! Plus de sultanat à Sarh. Le décret vient d'être signé par le président de la République. Mahamat Moussa Bezo devient plutôt le chef de canton de Sarh urbain. Depuis un bon bout de temps les sarhois ne savent a quel saint se vouer mais avec la descente de Deby du 03 au 4 Octobre a Sarh, plus de 32 chefs de cantons du Moyen-Chari on fait face a lui pour dire non au sultanat par la voix du chef de canton de Maro. Surpris de la déclaration, Le Président Deby n'a plus tarde comme avant de donner l'ordre ferme cette fois ci au detourneur d'esprit Mahamat Bachir minsitre de la sécurité d'annuler le sultanat de son complice Mahamat Bezo. Inattendu du sort qui lui a été réservé Ne pouvait plus rentrer comme il le pensait.
MM. Faris Mahamat Ibrahim Kaïdallah-Abba et autres jaloux, La jalousie qui vous rend aveugles et sourds comme dit un ami sur Facebook, j'en ai vue et connue dans ma vie. A la recherche du savoir très tôt, je quitte Komé pour Moundou où je me suis fait recruter à l'école du quartier grâce à maman Sarah Mékia avant d'être exclu pour être jugé trop grand, donc trop âgé pour le Directeur, néanmoins mon beau frère René Mbaibé pour fréquenter l'école. Je rentre à Komé pour tenter ma chance à Beladjia. Puis, l'année d'après, je me suis rendu à Gabringolo près de Laï où je suis recruté à l'école catholique. De père pasteur protestant, je refuse de faire le signe de la croix, ce qui me valut des coups de chiotte de mon maître, Monsieur Gaston à chaque refus. J'en tiens informé le petit frère de mon père nommé Kodingar Jacob qui envoya M. Ngahouroumdana Édouard me ramener chez lui a Madana, un village près de là. Paysan à 15 ans révolus, je quitte mon premier champ de coton à Bekia/Miandoum pour aller tenter encore ma dernière chance à l'école primaire (CP1) de Bébédjia. En dépit du refus catégorique du Directeur de l'école, M. René Mbaïbé, (encore lui), de me recruter, le maître de la classe de CP1, M. Laoukolé Luc qui me voit pleurer comme un forcené, me prend par le bras et me conduit à sa classe. Il écrit au tableau les noms des villes de Moundou, Bébédjia, Doba, Fort-Archambault, Fort-Lamy, Abéché, Faya, Ati etc., que je lis aisément grâce à l'école du dimanche à l'église. Toutefois, il n'écrit pas mon nom sur le registre d'appel. Un mois après, je me retrouve au CP2 à la suite d'un test de niveau organisé par Mbaïbé René. Je passe au CP2. Une fois fini le Cours moyen première année, je change d'établissement pour me retrouver au CM2 en classe de "préparation en 6 ème". Après trois mois à Moundou, me voici à Fort - Lamy avec mon grand frère Bemadjingar Yorongar. Reçu au CEPE et en 6ème, je décroche le BEPC qui m'a permis d'entrer à l'ENA malgré le refus du proviseur du Lycee Techniqie Commercial, M. Renaud qui me destinait aux longues études universitaires. Mon ami, Mougnan André Balaring passe outre, le refus du Proviseur M. Renaud pour m'inscrire sur la liste des candidats au concours sans me le dire jusqu'à la diffusion de la liste des candidats. J'apprends alors sur les antennes de la radiodiffusion nationale tchadienne que je suis candidat. Tout rigolard, Mougnan Ba-Laring me dit qu'il m'a eu ainsi que Monsieur Renaud. J'ai quand-même participé au concours pour tester niveau. J'ai donc réussi au concours. L'appétit vient en mangeant ainsi que la pression des parant et amis, j'ai choisi d'aller prendre cours. Après deux ans de formation dans cette école, j'ai effectué un stage dans tous les services du Ministère des Finances avant d'occuper successivement les postes notamment de chef de service des dépenses engagées aux Finances, adjoint au sous-préfet de Moundou, sous - préfet de Mbainarmar avant de me retrouver à l'institut de coopération internationale de l'université d'Ottawa au Canada, De retour au Tchad, je fus nommé de force préfet adjoint puis préfet ad intérim pour m'empêcher d'aller continuer mes études à l'institut International d'administration publique (IIAP) qui a retenu ma candidature alors que j'étais encore l'ICI de l'université d'Ottawa. Apres le cout d'Etat militaire du 13 avril 1975, coût d'État dont j'étais le principal instigateur, je m'envolais non sans difficultés , pour l'institut international d'administration publique"(IIAP) de Paris grâce aux interventions des capitaines Mahamout et Gouara membres du gouvernement et du Conseil Supérieur Militaire (CSM). J'en profitais pour faire valoir mon diplôme de l'université d'Ottawa afin de preparer le diplôme d'Etudes Supérieures Supérieures Supérieures Spécialisées (DESS) en sciences politiques à l'université de Paris I, le Diplôme dEtudes Supérieures Spécialisées en droit public à l'université de Paris I (DESUP) et le DESS en science administrative à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, le DESS de banque à l'université de Paris V Pantheon-Sorbonne et le Diplôme d'[Études Approfondies (DEA) des structures et systèmes politiques (science-po) à l'université de Paris X-Nanterre où j'étais, comme par hasard, coodisciple de Nicolas Sarkozy etc . J'ai obtenu, entre autres, le DESS de science politique et le DESUP de droit à Paris I Pantheon-Sorbonne etc. En outre, je fréquentais et preparais parallèlement les diplômes d'assurances au concervatoiie national des arts et métiers (CNAM) et à l'École nationale des Assurances (ENAss) ainsi qu'a l'École nationale d'administration municipale à l'université de Paris-Dauphine etc. Je rappelle que parti de rien de Békia (Miandoum) en 1958, je suis fier de ce que je suis et fier de ce que je suis devenu aujourd'hui. Donc, Messieurs Faris Mht Ibrahim Abba-Kaidallah et autres rongés par la jalousie féroce, je n'ai pas de complexe. Avez vous eu écho d'un étudiant afro-tchadiren à la Sorbonne qui a eu une note de 19,50? J'en suis un et fier de l'être. Mon mémoire de science politique à Paris I, a été sélectionné comme une oeuvre scientifique de qualité et distribué dans des Universités à travers le monde (Europe, Amérique etc.). Lisez, Chers Messieurs, la presse française qui, dans une lettre ouverte, rapporte les propos d'un de nos professeurs de Paris X Nanterre qui compare mes notes à celles de Paul Stéphanie Nicolas Sarkozy Nagy de Bosca alias Nicolas Sarkozy, Président de la République Française, mon condisciple de l'université de Paris X Nanterre en science politique. Oui, je ne suis pas complexé. Ne soyez pas aveuglé par la haine gratuite, la jalousie infondée. J'ai, par ailleurs, sursis la rédaction de mes deux thèses de doctorat dont l'une en science politique à l'université de Paris I Pantheon-Sorbone et l'autre en sociologie politique à l'école des hautes études en sciences sociales (EHESS)... Adjoint au sous-Préfet de Moundou, sous Prefet de Mbainarmar, adjoint au Préfet puis préfet ad intérim du Guéra à Mongo, plusieurs fois Ministre, fonctionnaire international (successivement consultant de première catégorie à l'Organisation de Cooperation et de Développement Economique (OCDE) ayant son siège à Paris, Directeur administratif et financier du Bureau Africain des Sciences de l'Education -BASE- à Kisangzni au Zaïre aujourd'hui RDCongo, Directeur de l'Institut International des Assurances de Yaounde-IIA), élu dès le premier tour et ce contre toute attente Président de la République du Tchad en 2001 avant d'être la victime du coup d'État militaire ourdi par Idriss Déby Itno avec la complicité du président Jacques Chirac et ses fossoyeurs des élections en Afrique (lire à cet effet les journaux internationaux notamment Le Monde au moment des faits)... Après deux coups d'État réussis contre respectivement François Ngarta Tombalbaye en avril 1975 et en 1990 Hissein Habrę, que me reste-t-il encore à prouver? Lisez mes livres intitulés : Tchad, le procès d'Idriss Déby, témoignage à charge..., Éditions L' Harmattan 3003; Tchad, Démocratie, crimes, tortures et mensonges d'État, autopsie d'un assassinat annoncé le 3 février 1999, programmé et exécuté le 3 février 2008, Éditions L' Harmattan, 2010..., Les livres cooécrits : Noir procès, Éditions Beccaria . .. Les voyous de l'Arche de Zoé etc.
Nomination du Sultan à Sarh : Les raisons de la contestation
Au regard du testament laissé par son père, Mahamat Moussa Bezo est nommé par décret présidentiel Sultan de la ville de Sarh. Une ascension fortement contestée par des détracteurs. Mais l’intéressé reste imperturbable. parChristian Ben Moustapha (Espace Culture), le 5/14/2017 10:34:10 PM
Tout est parti de l’affaire de la succession au Sultanat de la ville de Sarh. En effet, Ali Moussa Bezo, Sultan de Sarh est décédé le 11 mars 2016 à Paris en France de suite d’une évacuation sanitaire. Quatre mois après sa mort, le président de la République Idriss Déby Itno a signé respectivement les décrets numéros 425 et 426 /PR/MAT du 16 juin 2016 nommant Mahamat Moussa Bezo comme Sultan de la ville de Sarh conformément au testament laissé le 10 avril 1988 par son père avant son décès. Dès sa nomination officielle à la tête du Sultanat de Sarh, son cousin Ngaryadji Djiminan Bezo, qui selon les textes qui régissent la Chefferie traditionnelle, ne peut en aucun cas accéder a la succession. Pour raison, le défunt Sultan Moussa Bezo a des enfants congénitaux qui bénéficier de la succession. Malgré cette conformité de la sucxcession, il continue à convoiter cette chefferie supérieure depuis belle lurette. Il profite de cette situation malheureuse, pour contester la nomination de Mahamat Moussa Bezo à la tête de la chefferie supérieure. Puisqu’ au décès de leur feu père Moussa Bezo le 02 Février 1991, le conseil de famille composé de dignitaires désigne son grand frère Ali Moussa Bezo pour assurer la succession afin de laisser l’opportunité à son cadet Mahamat Moussa Bezo, très jeune (11 ans) de continuer ses études secondaires et supérieures.Quand son grand frère Ali Moussa Bezo est décédé, le concerné a repris cette fois-ci la succession comme prévu dans le testament. C’est ce qui lui revient incontestablement de droit. Les actes du Chef de l’Etat viennent confirmer la derrière volonté du feu Sultan Moussa Bezo. C’est ainsi que la date du 12 novembre dernier, a été retenue en commun accord avec les autorités locales et le Ministère de tutelle pour son intronisation. Malheureusement, la veille de l’intronisation, les organisateurs de la cérémonie ont reçu des instructions verbales issues des autorités locales demandant le report de la cérémonie pour des questions d’insécurité, selon le terme des instructions. Alors qu’en réalité, selon nos sources, une bande de détracteurs qui contestaient cette nomination faisaient des coups bas pour empêcher cette intronisation. Parmi les détracteurs, certains se sont servis de rites, us et traditions du terroir « Le yondo » pour tenter de s’accaparer de la chefferie traditionnelle supérieure, le sultanat de Sarh. D’autres inspirés de la mauvaise fois, de dénigrement pour inculquér sur la tête des autochtones que Mahamat Moussa Bezo était parachuté de quelques part pour venir gérer le Sultanat de Sarh. Chose inadmissible. Par malsaine, certains détracteurs cherchent vaille que vaille à faire croire que le décret 425 portant réhabilitation du Sultanat inclue la région du Mandoul. Mais, nous précisons que ledit décret concerne uniquement la région du Moyen-Chari. Le Mbang de Bedaya (Region du Mandoul) et l’ensemble des chefs traditionnels, par le passé durant les règnes de feu Sultan Moussa Bezo et son fils feu Ali Moussa Bezo, ont vécu dans une communion d’idées. Et le Mbang de Bedaya reste et demeure le Chef spirituel des Saras-Madjingayes. D’après l’entretien que sa Majesté Mahamat Moussa Bezo nous a accordé, les deux (2) chefferies traditionnelles (Sarh et Bedaya) vont travailler la main dans la main pour la conservation de la chère chefferie traditionnelle. << Je suis très fier et disposé à accorder mon soutien permanent dans l’exercice de sa fonction, pour la préservation de l’identité culturelle l’unité nationale et de nos mœurs>>, a-t-il déclaré. Par le passé, les deux prédécesseurs, feu Sultan Moussa Bezo et feu Sultan Ali Moussa Bezo, qui avaient régné pendant plus de 50 ans sont tous deux musulmans et non initiés. Cela ne leur a jamais empêché de régner normalement, efficacement pour la visibilité du Sultanat de Sarh. Récemment pour des questions d’intérêts égoïstes, quelques députés de la localité en mal de popularité pondent un communiqué de presse et font feu de tous bois pour empêcher l’intronisation du Sultan Mahamat Moussa Bezo. En réponse, la grande famille Bezo, qui prône la cohabitation pacifique entre les différentes communautés de Sarh, considère leur communication comme une incitation a la haine tribale et une mauvaise foi. Leur tractation et agitation dépourvue d’argumentation fondée ne peut en aucun cas empêcher le Peuple Sara à la cohabitation pacifique. Cependant, il appelle la population de Sarh à rester sereine jusqu'à ce que le gouvernement fixe dans les meilleurs délais une nouvelle date pour l’intronisation.
Le Kenyan Asantus Akuku (photo), 91 ans, avait 130 femmes et près de 300 enfants. Le nonagénaire, dont le surnom était «danger», est membre de l’ethnie luwo, la même que celle du père du président américain Barack Obama. Selon la légende, aucune femme ne réussissait à lui résister, «je suis comme un aimant magnétique», se plaisait il à dire quand il parlait de lui-même. Mais qui est quand même passé par 85 divorces, «des femmes qui m’avaient trompé…, ce qui est inacceptable».
Il affirmait placer la moralité de ses épouses au-dessus de tout. Très attaché à tous ses enfants et à ses épouses, il avait bâti autour de sa «famille» un véritable empire. Riche propriétaire terrien, commerce au détail, agriculture, transport, le polygame était prospère et ses affaires était gérée au sein de la fratrie. Son premier fils, médecin, est âgé de 70 ans alors que sa cadette n’a pas encore 10 ans, «mais il a choisi personnellement le nom de tous». Il a d’ailleurs personnellement organisé l’enterrement de 55 d’entre eux et d’une trentaine d’épouses. Hors-la-loi? Interdite au Kenya, la polygamie est pratiquée dans le cadre de la coutume. Le vieux polygame a été enterré près de l’église de «son village» qu’il avait lui-même construit, non loin des deux écoles qu’il finançait «pour assurer l’éducation de ses enfants». Il a eu de grandes funérailles, en présence de personnalités nationales et locales et surtout de toutes ses épouses, actuelles et anciennes, de ses enfants, petits enfants et arrière petits enfants. Il laisse plus 1500 descendants.
La rubrique sexo explique l'anatomie de la femme et de l'homme, afin de mieux comprendre les troubles sexuels qui peuvent agiter la sexualité. Baisse de libido, absence d'orgasme, troubles de l'érection ou douleurs pendant les rapports, vaginisme perturbent profondément la vie des patients.
Corollaire de la sexualité et de la procréation, la contraception offre la possibilité de se faire plaisir sans courir le risque d'une grossesse. Mais une sexualité épanouie implique aussi de se protéger contre les infections sexuellement transmissibles (Sida-IST). La rubrique "Pratiques et libido" vous explique certains comportements sexuels, alors que la chirurgie du sexe détaille les différentes opérations réalisées sur les organes génitaux. La dernière partie regroupe les articles liés à l'homosexualité.
Pour Amadou Mahtar Ba, directeur d’AllAfrica.com, les médias africains sont encore trop fragiles économiquement pour mener à bien leur travail d’information et d’enquête. Pour se développer et devenir rentables, ils doivent miser sur l’Internet.
Courrier international : Comment définir le concept d’AllAfrica ?
Amadou Mahtar Ba
AMADOU BA : Nous sommes un pourvoyeur d’informations électroniques, le plus important sur l’Afrique. Nous diffusons tous les jours une moyenne de 1 000 articles issus de 130 publications africaines (anglophones et francophones) basées en Afrique ou appartenant à un réseau d’institutions qui nous donne des informations. Dans nos choix, nous privilégions les articles à portée internationale. AllAfrica a été fondé en 1999. Nous signons des contrats avec les publications africaines, nous essayons ensuite de revendre leur production, notamment à CNN ou à la BBC. Et nous partageons les bénéfices à 50-50. Nous recevons 1 500 articles par jour et nous en sélectionnons un millier environ, que nous mettons en ligne sur notre site. Les journaux avec lesquels nous avons signé une convention nous envoient quotidiennement des nouveautés.
Vous arrive-t-il de refuser certains articles ? Quand on juge qu’ils sont diffamatoires, on ne les publie pas. En revanche, dans le quotidien ivoirien Notre Voie [l’organe du Front populaire ivoirien, le parti du président Gbagbo], il y a eu des éditos au vitriol. On les a repris parce qu’ils possédaient une valeur informative, notamment sur le climat politique en Côte-d’Ivoire.
Si des articles incitent à la haine raciale, comment réagissez-vous ? Tout ce qui est incitation à la haine, on ne le diffuse pas. C’est aussi une question de crédibilité. Si l’on donne une visibilité à ces concepts, on en endosse en partie la responsabilité.
La presse écrite africaine est-elle viable économiquement ? La rentabilité d’un média dépend intrinsèquement de la viabilité économique de son environnement. Dans une ville comme Lagos [capitale économique du Nigeria], presque tous les médias publiés ont des rentrées publicitaires très importantes. Le PDG du quotidien This Day m’a informé que son groupe a réalisé l’an dernier plus de 1 million de dollars de bénéfice net. Au Niger voisin, il y a peu de journaux et ils ont du mal à survivre du fait de la pauvreté des populations et de la quasi-absence de publicité. Pour développer les médias de façon durable, il faut d’abord favoriser le développement économique. Faute de quoi, leur survie passera immanquablement par des subventions, et ça n’est pas une solution ; dans ce genre de situation, les publications et leurs journalistes ne sont pas respectés. Quand on n’a pas les moyens de faire son travail, cela se traduit par une perte de crédibilité. Souvent, les journalistes ne sont pas payés du tout. Par conséquent, ils prennent de l’argent à droite et à gauche ; dès qu’il y a un projet intéressant en communication dans une entreprise, une ONG ou une institution internationale, ils laissent tomber leur plume et se font embaucher. Ce problème de rémunération des journalistes freine énormément le développement de l’information en Afrique. C’est une réalité. Comment créer un réel quatrième pouvoir, si les médias n’ont pas les moyens de faire des enquêtes, d’aller sur le terrain ? Ils ne peuvent pas contrôler le bon fonctionnement des institutions. Quelques titres y parviennent, au Nigeria et en Afrique du Sud, parce que dans ces pays les médias ont un certain capital, une certaine organisation qui permet aux journalistes de faire leur travail dans des conditions acceptables. Dans la plupart des pays, ce n’est malheureusement pas le cas.
Votre site réalise-t-il ses propres articles ? Quand il y a des situations de crise, comme actuellement en Côte-d’Ivoire, nous envoyons des journalistes sur place, les articles sont écrits en français et traduits en anglais.
Pourquoi établir à Washington le siège social d’un média africain ? Notre siège mondial est basé à Washington. Mais nous avons des bureaux en Afrique du Sud, au Sénégal, au Nigeria et à l’île Maurice. En 1999, lors du lancement d’AllAfrica, les technologies de l’information n’existaient pas en Afrique. En 1999, il n’y avait pas suffisamment de technologie. Il y a aussi une raison purement financière à notre présence à Washington : nous sommes une société privée. Il fallait accéder à l’investissement. On ne pouvait pas y accéder en Afrique ou en Europe. On est allé à Washington parce qu’avec New York c’est une des villes les plus importantes et les plus multiculturelles du monde. Dans cette ville, on trouve tout à la fois le siège de la Banque mondiale, la Maison-Blanche et le Congrès des Etats-Unis, qui prennent au quotidien des décisions importantes qui affectent le devenir de l’Afrique. Jusqu’à présent, nous n’arrivons pas à lever des fonds européens. Zéro euro. Peut-être que l’Afrique est toujours considérée comme l’arrière-cour et que tout ce qui est arrière-cour n’est pas important.
Le site rapporte-il de l’argent ? Le département éditorial, AllAfrica.com, n’est pas rentable pour l’instant, mais on ne perd pas non plus d’argent. En revanche, la division technologique d’AllAfrica rapporte beaucoup d’argent, et subventionne même le département éditorial.
Comment les publications africaines peuvent-elles devenir rentables ? Le secret réside dans la diversification. Prenons le cas du Sénégal. Les journaux sénégalais ont une production sur le Net. Mais jusqu’à présent, c’est exactement la même que leur version papier. Il me semble qu’ils pourraient proposer à des abonnés des mises à jour 24 heures sur 24. Aujourd’hui, on peut dépasser le cadre d’un journal publié sur papier et diversifier. Bien sûr, cela coûte de l’argent, mais à terme je pense que c’est inéluctable pour aller dans le sens de la rentabilité. Pour toucher la diaspora africaine, il faut diversifier les supports.
L’écroulement de la Côte-d’Ivoire ne risque-t-il de dissuader des investisseurs en Afrique ? Je suis souvent en Afrique, et je persiste à croire qu’il y a de l’espoir. Il suffit de voir la croissance économique en zone UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine). Lors des quatre dernières années, il y a eu beaucoup d’élections démocratiques en Afrique. C’est un tout qu’il faut regarder. Quatre années de suite, l’Afrique a été invitée au G8. Les puissances économiques de ce monde reconnaissent qu’il y a une certaine trajectoire en Afrique et qu’il faut l’encourager. Cela envoie un signal aux investisseurs. Le secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, a dit un jour : “Le secret le mieux gardé au monde, c’est que le meilleur retour sur investissement se trouve sur le marché africain. Les Bourses n’arrivent pas à décoller en Europe, alors qu’en Afrique, elles prennent de la hauteur. Au niveau économique, l’Afrique est sur la bonne voie.”
Pourtant, les médias occidentaux présentent une image très différente de l’Afrique ? Ce qui est intéressant pour les médias occidentaux, c’est le sensationnalisme. Je ne dis pas qu’il n’en faut pas, mais il faut aussi reconnaître qu’il y a des choses fabuleuses qui se font en Afrique. C’est à nos médias africains de montrer ce qui se fait de bien sur le continent. Et peut-être qu’une des façons de le faire, c’est d’investir dans le domaine des nouvelles technologies. A travers le monde, il manque une grande voix pour l’Afrique. C’est ce que nous essayons de faire avec AllAfrica. Il faut donner à l’Afrique une présence massive sur l’Internet. S’il n’y avait pas AllAfrica, comment un Africain vivant en Europe pourrait-il avoir une perspective sur tous les pays africains ?
Qui sont vos lecteurs ? Les internautes se connectent sur notre site de partout dans le monde. Les plus nombreux sont en Amérique du Nord – Etats-Unis et Canada. Ensuite vient l’Asie, avant l’Europe. Cela montre l’intérêt économique grandissant que représente l’Afrique pour l’Asie, notamment pour la Chine, l’Inde et la Malaisie. Historiquement, l’Asie s’est toujours intéressée à l’Afrique. Aujourd’hui, il y a un intérêt économique certain. En Chine, un centre d’affaires dédiée aux relations sino-africaines vient d’être créé. La partie francophone du site est loin d’être rentable. Car le marché mondial de l’information est en anglais. En Afrique, nos visiteurs viennent d’abord de l’Afrique du Sud, du Nigeria et de Maurice. Mais l’Afrique ne représente que 10 % de toutes les connections sur notre site. En moyenne, AllAfrica fait 12 millions de pages vues par mois.
Comment expliquer ce désintérêt de l’Europe pour l’Afrique ? L’Europe imagine que l’Afrique lui appartient. Pour l’Europe, l’Afrique, c’est l’arrière-cour misérable qu’il ne faut surtout pas regarder – ce serait même dangereux. Les Européens ne se rendent pas compte que l’activité économique est en train de s’y développer, alors que les Américains et les Asiatiques y sont de plus en plus présents. Il n’en reste pas moins que, pour un Africain, il est beaucoup plus difficile d’établir des relations avec l’Amérique ou l’Asie. J’ai fait mes études en français, et j’aimerais pouvoir travailler avec des Européens. Tous les étudiants d’Afrique francophone qui vont actuellement aux Etats-Unis et au Canada le font parce qu’ils ne peuvent plus aller en France. Si les Etats européens prennent de façon sincère une initiative, s’ils décident de se ressaisir, ils peuvent retrouver leurs positions en Afrique.
Les consommateurs tiennent toujours la tête contre les entreprises des téléphonies mobiles à savoir : Airtel et Tigo. Selon maître NANADJINGUE Fréderic et son confrère DAINONE Fréderic, ces 2 entreprises ont violé la loi car leur traitement n'est pas modeste face aux consommateurs. Surtout l’internet qui a été coupé sans le consentement des utilisateurs en plus le coût énorme actuel du contournement par VPN qui n’est pas du tout facile. Les 2 entreprises ont au pare avant niés les faits, ont fini aussi par relaté l’obligation du Ministre de la sécurité publique AHMAT BACHIR par une notification du Ministre qui aurait donné l’ordre à ARCEP de dire à ses 2 organes de mettre fin à l’internet au Tchad pour des raisons de la sécurité qu’ils ignorent jusqu’à preuve du contraire que rien n’est évoqué de conférence avec l’insécurité. Pour des discussions lors du procès le 04 octobre derniers, d’où le verdict étais tombé, les 2 avocats de la cause citoyenne, ont été surpris par des raisons non fondées par la commissions des représentants de Tigo et d’Airtel pour envoyer au Juge que ceux qui défendent cette cause ne sont pas des consommateurs de Tigo ni d’Airtel, mais d’un revers de main, le Juge lui-même et aussi les 2 avocats ont lancé des réponses hallucinantes en les renvoyant voir la définition du mot « consommateur ». Maître NANADJINGUE Fréderic et son confrère Maître DAINONE Fréderic ont interjeté l’affaire le 09 octobre pour attendre la suite. Reste à suivre.
Depuis 2 ans les enfants tchadiens sont abandonnés par les siens qui ne veulent pas se comprendre. Problème d'argent les parents, les enseignants et le gouvernement ne veulent pas former les cadres de demain, aussi il faut dire que les ONG et certaines représentations diplomatiques dans ce pays sont complices de la situation actuelle que vivent les enfants. Ou va le Tchad?
APRNEWS- Comment décririez-vous une dame qui a couché avec plus de 600 hommes en un an? Vous n’allez certainement pas vous sentir mal si vous l’appelez une machine de sexe ou reine du sexe.
Beatrice Atangana (pas vrai nom), une étudiante d’un institut de formation professionnelle à Douala, la capitale economique du Cameroun, réalisé l’exploit, pour ainsi dire.
En effet, pour Béatrice, le sexe est un mode de vie, une routine quotidienne. Selon elle, elle a eu recours à l’utilisation de ce qu’elle a pour obtenir ce dont elle a besoin, quand son petit ami qui parraine son éducation la abandonné suivants des mensonges dit contre elle par des amies jaloux.
“Mon petit ami que j’ai rencontré à Yaounde, quand je suis allé rendre visite à un oncle payé mes frais d’éducation. Nous avions convenu de se marier le plus tôt possible. Ensuite, certaines personnes que je considérais comme mes amies ont commencé à dire des mensonges contre moi et sans confirmer si ce qu’ells disaient était vrai ou faux, il a décidé de mettre fin à notre relation juste comme ça. Elles lui ont dit que j’avais une maladie grave. Donc, j’étais avec lui pour qu’il puisse m’aider parce que mes parents ne peuvent rien faire pour moi. Nous sommes pauvres. Mon père était un chauffeur, mais il est maintenant sans emploi tandis que ma mère est une femme au foyer à temps plein. Parfois, elle vend des légumes", a-t-elle expliqué.
Elle dit que lorsque son petit ami est sorti de la relation, elle a eu un emploi dans la section bar d’un hôtel mais son salaire net pouvait à peine l’emmener partout. Alors, un jour, elle est allée dans une boîte de nuit avec ses amies et un homme l’a emmenée dans sa chambre d’hôtel. Le lendemain matin, l’homme la donné 30,000 FCFA pour les services rendus et elle c’est accroché.
elle a dit: “Ils me paient 25,000 FCFA par mois et on travaille des heures tardives. Mais si vous allez dans une boite de nuit, vous pouvez avoir ce genre d’argent dans un jour ou deux. Environ 600 hommes dormaient avec moi depuis l’année dernière jusqu’à cette année".
Mais Béatrice chante maintenant un air différent. Elle dit qu’elle a découvert plus tard que la prostitution n’est pas aussi lucrative comme elle l’avait pensé. Elle dit qu’elle est fatiguée du réchauffement du lit des hommes chaque soir, ajoutant qu’elle veut se marier et avoir des enfants mais c’est difficile pour elle de quitter ce milieu.
Selon le magazine allemand Der Spiegel, une Américaine de 34 ans a porté de sérieuses accusations de viol contre Cristiano Ronaldo. Celle-ci déclare avoir été violée par la star portugaise en 2009 à Las Vegas. Elle ajoute que l’actuel joueur de la Juve lui aurait ensuite versé 375.000 dollars afin d'acheter son silence.
Révélée par les Football Leaks en 2017, cette accusation avait été balayée par le joueur qui, à travers un communiqué, avait évoqué une « fiction journalistique » et une accusation « répugnante » et « scandaleuse ». Gestifute, la société détenue par l’agent portugais Jorge Mendes, qui gère les intérêts de CR7, avait pointé du doigt l’anonymat du témoignage de la victime présumée.
Une procédure judiciaire va être lancée
Sauf qu’aujourd’hui, Kathryn Mayorga a décidé de rompre le silence et qu'elle témoigne à visage découvert. Son avocate a prévenu Der Spiegel qu’elle avait même lancé une procédure dans l’état du Nevada afin de contester l’accord financier conclu entre les deux personnes hors des procédures judiciaires. Dans l’interview qu’elle accorde au média allemand, l’Américaine évoque un viol anal et confie qu’après l’acte, Ronaldo aurait déclaré, à genoux : « A 99 %, je suis un mec bien. Je ne sais pas pour le 1 % restant. »
Pour prouver la véracité des propos de sa cliente, l’avocate s’appuie sur un document publiée par les Football Leaks dans lequel l’ancien Madrilène avoue que Kathryn Mayorga « a dit non et stop à plusieurs reprises. »