Après la mise en place, le Ministre de la Communication, Porte Parole du Gouvernement OUMAR YAYA a donné un coup d'envoi à la Pladigital.

Dans ses propres mots, le Président de la PLATEFORME DES JOURNALISTES ET PROFESSIONNELS DE LA PRESSE DIGITALE a dit: "C’est pour moi un grand honneur de prendre la parole pour vous souhaiter la bienvenue dans la salle de réunion de la Maison des Médias du Tchad. Vous voir aussi nombreux est pour nous un sujet de joie et de satisfaction. Vous êtes sans ignorer qu’un journaliste ou un organe de presse qui n’utilise pas l’Internet n’est pas un journaliste ou un organe de presse complet. L’Internet, étant donc un instrument de travail indispensable, il nous revient à nous journalistes de nous approprier les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication. C’est dans cet esprit moi-même et mes confrères, suite à une formation de web journalisme organisée par la société Millicom Tchad (Tigo) du 13 au 14 septembre 2018, avions décidé de la mise de ce cadre de réflexion et d’action qui regroupe les professionnels des médias, de l’internet, de la communication et de la télécommunication. Voilà comment est née LA PLATEFORME DES JOURNALISTES ET PROFESSIONNELS DE LA PRESSE DIGITALE en abrégé PLADIGITAL.

PLADIGITAL a pour but de contribuer à l’épanouissement de la jeunesse nationale à travers la libéralisation de l’internet et la vulgarisation des Technologies de l’Information et de la Communication. On note plus de 13 types des réseaux sociaux dont l’importance n’est pas à ignorer par un journaliste tchadien que sommes-nous aujourd’hui. Plus loin nous voudrions créer une synergie  pour

laquelle qu’ensemble sans distinction avoir des bases des données fiables et efficace pour l’excellence du journalisme au Tchad.Lors d’une cérémonie de la jeunesse tchadienne, le Président Déby l’a dit : « on ne peut pas aimer un régime mais pas son pays… » Alors nous journalistes et professionnels des médias au Tchad ne pourrions aussi ne pas avoir l’amour de l’internet mais pas l’amour de notre beau métier. Plus loin dans le monde, le passage de l’analogie eu numérique est connu de tous et notre pays n’est le dernier sauf reste une question de la politique d’orientation et de l’encadrement. Ainsi nous croyons à notre ministère de la communication qu’il arrivera un jour à résoudre ce sujet qui nous tient à cœur.Nous entendons donc participer au développement global en favorisant une communication performante, gage d’une participation citoyenne de la jeunesse et  de la population en général, à la vie publique de notre nation, le Tchad.

Vu l’ampleur d’une telle mission, nous avons jugé utile de contacter les uns et autres pour accompagner nos pas, tel un enfant qui vient de naitre et qui apprend à marcher. Et, heureusement, vous avez été nombreux à répondre à notre appel. Nous ne cesserons de vous en savoir gré. Notre reconnaissance va à l’endroit de Millicom Tchad, notre premier partenaire. A la Haute Autorité des Média et de l’Audiovisuel (HAMA)  d’avoir cru en nous et pourvu ses responsables pour ces échanges qui, on l’espère, porteront du fruit. Au Ministère de la communication pour avoir bien voulu chaperonné cette cérémonie du lancement. A Albidey et à ARCEP grâce auxquelles nous avons des rafraichissements et du pain en cette journée. A Monsieur Moussaye Avenir De La Tchiré, Directeur de publication du journal Abba Garde, pour sa contribution matérielle mais surtout pour ses conseils grâce auxquels nous en sommes aujourd’hui. A Monsieur François Dingames, Directeur de la Maison des Médias pour avoir bien voulu nous accueillir, La Direction des Cinq Talents, Me Francis, Me Bongoro, FM Liberté, Télévision tchadienne, Radio Tchad, seraphinnews.com, Electron TV,Africa24, Cerdo + et à l’ensemble des journalistes nationaux et internationaux.

Sans pour autant monopoliser la parole, j’exhorte mes frères et sœurs journalistes à prêter une oreille attentive aux différentes interventions."

Par la suite, les participants ont suivi de bout en bout les interventions des responsables de la HAMA et les Patrons de Presse. il s'agit de Bob Dédjébé, Laouro Gondjé, Dr Aimé Rirangar et Moussaye Avenir De La Tchiré.

DU 21 au 24 mars dernier, une semaine du rire a été organisée à N’Djamena, par des tchadiens, avec les humoristes venant de la Côte d’Ivoire, du Burkina, du Gabon, et une minorité du Tchad. AGALAWAL, Michel Gowou, DIGBEU cravate, Magnifique, PAPITOU, Joël, Marechal ZONGO, pour ne citer que ceux-là, voilà les humoristes invités pour cette fête du rire. C’est bien beau, de penser une thérapie du genre, et Alain Chamfort de dire à son corps défendant, que «la plus perdue de toutes les journées est celle où l’on n’a pas rit». Qui plus mieux que le tchadien, connait nos problèmes pour envisager un traitement humoristique, si ce n’est les humoristes tchadiens ? Très loin des ces lignes l’idée d’une xénophobie artistique. Non. Invitons, faisons venir les artistes étrangers vers ceux du Tchad pour que l’hymne des échanges culturels traverse nos orgueils et que nos pays progressent en s’appuyant sur le pan de la culture. Ce qui serait juste à faire, c’est donner à l’artiste tchadien, notre artiste, une possibilité de s’exprimer aux côtés de ses co-artistes étrangers, afin de se jauger, se rectifier et rendre plus professionnel son travail. Si nous ne lui donnons pas la scène, jamais il ne grandira, parce qu’il n’aura pas eu des éléments lui permettant de s’évaluer et progresser. A ce rythme, des gens viendront d’ailleurs pour nous sauver de nos problèmes, alors que mieux, nous serions sauvés par nous même.

Cela aurait été dans des pays où la culture a de la valeur, organiser une activité artistique reviendrait à penser un quota promoteur - sans perdre de vue que le pays dispose du talent dans son domaine - accordé aux artistes autochtones.  Pour répondre à cette question : pourquoi vous faites venir des artistes étrangers à coup de millions alors qu’il y a ceux du Tchad ? On a tendance à répondre : les artistes tchadiens proposent des œuvres de basse facture, nulles, médiocres, vides de professionnalisme. Opinions discutables. Il est de la de responsabilité de chaque tchadien, de s’enorgueillir de sa culture, la prendre en main, la corriger et arriver à l’exporter.

Mettons à un millions le plus bas cachet que l’on puisse payer à un artiste venant d’ailleurs. Si l’on paye à un artiste tchadien, le minimum du cachet qu’il faut, il pourra s’entretenir (manger, boire, s’habiller, etc.) et, investir, ne serait-ce qu’une petite partie –si le virus de l’alcool ne le bug pas- dans son art pour une perfection et un progrès convaincant.

Dans cette affaire, l’environnement de l’artiste tchadien doit s’interroger. Aujourd’hui, tous les tchadiens savent que les artistes sont trop décevant. Quand un mécène ou un sponsor nous finance, nous utilisons souvent l’argent à tort. Dès que l’argent entre, nous nous offrons à la fête, nous rendons un résultat médiocre et nous sommes incapables de produire un rapport d’activités, confirmant ainsi notre ingratitude. Il nous faut passer l’éponge sur nos mauvais comportements, notre ignorance de n’aimer que ce qui vient d’ailleurs et réparer l’image de notre culture. A cela, tout le monde est interpellé. Je me demande toujours qu’est ce que nous avons fait pour soutenir, encourager, permettre à l’artiste tchadien de bien faire son travail ?

Les humoristes tchadiens se plaignent, c’est vrai. Mais j’aimerai bien reprendre cette phrase pour nous : «ce que tu n’as pas défendu par les armes, ne croit pas le garder avec les larmes».

M. Neldé Calvin Djigri Parterre

La Plateforme des journalistes et professionnels de la presse digitale est lancé ce matin à la Maison des Médias du Tchad par le Ministre de la communication Oumar Yaya en présence des responsables des différentes institutions de la place. Il n'a pas manqué de félicité l'initiative que la plateforme à mis sur pied en insistant sur certains aspects qui doivent rimer avec ses activités. Il appelle les jeunes journalistes de bien exercer leur métier tout en respectant l'éthique et la déontologie du journaliste afin d'éviter certaines failles, qui risque ternir l'image du métier.

Par le mot de bienvenue de son Président le journaliste et blogueur LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR,  par ces propres mot disant: C’est pour moi un grand honneur de prendre la parole pour vous souhaiter la bienvenue dans la salle de réunion de la Maison des Médias du Tchad. Vous voir aussi nombreux est pour nous un sujet de joie et de satisfaction. Vous êtes sans ignorer qu’un journaliste ou un organe de presse qui n’utilise pas l’Internet n’est pas un journaliste ou un organe de presse complet. L’Internet, étant donc un instrument de travail indispensable, il nous revient à nous journalistes de nous approprier les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication. C’est dans cet esprit moi-même et mes confrères, suite à une formation de web journalisme organisée par la société Millicom Tchad (Tigo) du 13 au 14 septembre 2018, avions décidé de la mise de ce cadre de réflexion et d’action qui regroupe les professionnels des médias, de l’internet, de la communication et de la télécommunication. Voilà comment est née LA PLATEFORME DES JOURNALISTES ET PROFESSIONNELS DE LA PRESSE DIGITALE en abrégé PLADIGITAL.

PLADIGITAL a pour but de contribuer à l’épanouissement de la jeunesse nationale à travers la libéralisation de l’internet et la vulgarisation des Technologies de l’Information et de la Communication. On note plus de 13 types des réseaux sociaux dont l’importance n’est pas à ignorer par un journaliste tchadien que sommes-nous aujourd’hui. Plus loin nous voudrions créer une synergie  pour

laquelle qu’ensemble sans distinction avoir des bases des données fiables et efficace pour l’excellence du journalisme au Tchad.Lors d’une cérémonie de la jeunesse tchadienne, le Président Déby l’a dit : « on ne peut pas aimer un régime mais pas son pays… » Alors nous journalistes et professionnels des médias au Tchad ne pourrions aussi ne pas avoir l’amour de l’internet mais pas l’amour de notre beau métier. Plus loin dans le monde, le passage de l’analogie eu numérique est connu de tous et notre pays n’est le dernier sauf reste une question de la politique d’orientation et de l’encadrement. Ainsi nous croyons à notre ministère de la communication qu’il arrivera un jour à résoudre ce sujet qui nous tient à cœur.Nous entendons donc participer au développement global en favorisant une communication performante, gage d’une participation citoyenne de la jeunesse et  de la population en général, à la vie publique de notre nation, le Tchad.

Vu l’ampleur d’une telle mission, nous avons jugé utile de contacter les uns et autres pour accompagner nos pas, tel un enfant qui vient de naitre et qui apprend à marcher. Et, heureusement, vous avez été nombreux à répondre à notre appel. Nous ne cesserons de vous en savoir gré. Notre reconnaissance va à l’endroit de Millicom Tchad, notre premier partenaire. A la Haute Autorité des Média et de l’Audiovisuel (HAMA)  d’avoir cru en nous et pourvu ses responsables pour ces échanges qui, on l’espère, porteront du fruit. Au Ministère de la communication pour avoir bien voulu chaperonné cette cérémonie du lancement. A Albidey et à ARCEP grâce auxquelles nous avons des rafraichissements et du pain en cette journée. A Monsieur MoussayeAvenir De La Tchiré, Directeur de publication du journal Abba Garde, pour sa contribution matérielle mais surtout pour ses conseils grâce auxquels nous en sommes aujourd’hui. A Monsieur François Dingames, Directeur de la Maison des Médias pour avoir bien voulu nous accueillir, La Direction des Cinq Talents, FM Liberté, Télévision tchadienne, Radio Tchad, seraphinnews.com, Electron TV,Africa24, Me Francis, Me Bongoro, Cerdo + et à l’ensemble des journalistes nationaux et internationaux.

Sans pour autant monopoliser la parole, j’exhorte mes frères et sœurs journalistes à prêter une oreille attentive aux différentes interventions.

Pour la suite des travaux, les participants ont été maintenu par les responsables la Haute Autorité des Médias et Audiovisuel (HAMA) pour des échanges sur différents thème entre autre: Genres rédactionnels et l'écriture journalistique par le doyen Bob Dédjébé, Traitement de l'information par le Rapporteur Laouro Gondjé, Comment écrire sur le Net par le Directeur de publication du journal Abba Garde Avenir de la Tchiré et en fin l'interprétation des textes juridiques par le Dr. Aimé Rirangar Conseiller juridique de la HAMA.

Sous la pression des supporters du Real Madrid, le président Florentino s’est vue contraint de faire recours au super coach Zinedine Zidane qui en son passage de 2 ans et demi a tout raclé avec ce club dont il était lui aussi l’un des grands joueurs emblématiques. Chose faite, hier dans la salle de presse du club, après la déclaration du président FlorentinoPerrez, Zinedine Zidane a d’abord expliqué comment il était parti en mai 2018 puis a donné sa motivation de retour après l’appel du Président. Il n’a pas manqué de regretter la situation dont se trouve le Real Madrid maintenant avant de répondre aux questions des journalistes présentent à cette conférence de presse. Ce qu’il faut retenir lors de cette conférence de presse, Zinedine Zidane se veut garder l’équipe pour la saison prochaine puis enfin voir le problème de l’effectif des joueurs. Il finit par dire aux journalistes que ce qui doit le préoccuper pour l’heure c’est le match contre Celta Vigo ce samedi. Zinedine Zidane n’est pas venu parce qu’on lui a versé de l’argent ou encore ajouté de l’argent mais par ses propres mot dit : « je suis rentré à la maison et j’ai l’amour de ce club que j’ai joué aussi… »

Auteur d’une performance majuscule, face à la l’Atlético Madrid en huitième de finale de Ligue des Champions, Ronaldo s’est aussi démarqué par sa célébration. Après son troisième but, il a imité le geste que Simeone avait effectué lors du match aller.

«La colère de Dieu». Ni plus, ni moins. C’est la Une de la Gazetta dello Sport, ce mercredi, au lendemain de la qualification de la Juventus en quarts de finale de Ligue des Champions. Mardi soir, les Bianconeri ont renversé l’Atlético Madrid (3-0), grâce à un match fantastique de Cristiano Ronaldo, auteur d’un triplé. Le Portugais s’est aussi distingué par sa célébration. Il a exulté en mimant de prendre ses parties génitales dans ses mains. Il a répété ce geste à deux reprises. Une première fois, après son penalty à la 86^e minute, synonyme de qualification pour la Juve. Et une deuxième fois, après le coup de sifflet final, face aux supporters madrilènes qui avaient fait le déplacement.

Une note adressée depuis mi-janvier au Ministère de la Culture et de l’Artisanat par le Ministère Secrétariat du Gouvernement, demandant la désignation des 2 membres au Conseil Economique, Social et Culturel (CESC) car le mandat des  2 prédécesseurs tire à sa fin et l’obligation se montre. Il s’agit de remettre la question aux concernés qui sont des artistes tchadiens de toutes corporations guidées par la CONAT. L’histoire des 2 représentants au CESC sortant montre qu’un bon bout de temps un désordre sur le plan organisationnel et administratif siège en milieu artistique dont la plupart de la complicité vient du Ministère tutelle. Diviser pour mieux régner, ceux qui sont à la tête dispose une majorité qui viennent de nulle part et veulent toujours mettre la visibilité de l’artiste tchadien au fond de la mare. Pendant que les informations sur la gestion des choses de la culture passent, ceux-ci ne sont pas au rendez-vous. Ainsi donc le Ministère agit à sa guise et s’occupe seul des affaires de l’artiste tchadien. Il va jusqu’à donner de feu vert à certains usurpateurs de titres et fauteurs de trouble que le milieu artistique ne maitrise guerre pour s’imposer.

Les choses arrivent à point nommé

Suite à cette information, les artistes ont hasardement revue eux-mêmes leurs situations et ont pris l’initiative de revoir l’organe qui a le droit et le devoir de les gérer dans leurs activités, de venir à une Assemblée Générale digne et avec une valeur vive, pour revoir les choses au claire et s’est chose en un temps record. Un bureau est mis sur pied et voilà le nouveau bureau se retrouve devant les faits. Informer par le dynamisme de l’effectif, la Coordination Nationale des Artistes Tchadiens (CONAT) a su se montrer à la hauteur de sa tâche et de sa responsabilité pour désigner ses 2 pairs au CESCface à une équipe qui se veut aussi être représenter sans aucun fondement des règles de la loi de la République. Cette équipe qui se dit plateforme des artistes qui n’est pas reconnu par les autorités tchadiennes s’était opposée sans raison à l’organisation de cette désignation pendant 2jours mais par les principes de la loi, la CONAT est arrivé à mettre M. Zacharia Ibet de la corporation « Cinéma » et Samaffou Doguili de la corporation Littérature au CESC en présence d’un Huissier et du Directeur général-adjoint de la Culture à l’espace Talino Manu.

Faux et usage de faux

Cette équipe que même certains artistes sont emportés sans rien comprendre car au premier jour de la désignation le Mercredi 12 mars 2019 à l’espace Talino Manu, des réactions négatives de part et d’autre alors personne ne voulait entendre l’autre par ce que quelque part un faux est en train d’être négocier entre cette plateforme et certains membre du Ministère, le DGA a mieux choisie la direction vers les base juridique avec Masra Holina et Masngar Jonas Massengo pour des conduite à tenir puis les demande de fournir des documents autorisant l’exercice de leur organisation respective. Au matin du 13 mars 2013 dès 08H30 au même endroit avant de passer au règlement de désignation, chaque responsable passe remettre les documents au présidiumpour les vérifications. Et suite à ce travail que devant toute l’assemblée la vérité à surgie. L’huissier, l’équipe du présidium et certains artistes aveuglement emportés par M. Masra Holina et ses acolytes découvre ce qu’on appelle Faux et usage de faux. Une grande honte s’installe et le calme s’impose tout seul. Certains proches et membres même de la CONAT, qui ont été placé auprès de ses institutions de la République et qui ont épuisé leur mandat comme Mbang Bousso et Abakar Nambajoya se retrouvent parmi ce lot.  Très calme au suivi de la procédure, ces 2 artisans de faux, ont vu venir la honte, ont fini par retirer leur candidature en claquant la porte devant l’autorité de la République.

Par Séraphin

Le président du Parti pour la convergence national (PCN) a signé ce 31 aout, la fusion de son parti avec le Mouvement patriotique du salut (MPS). C’était lors d’une cérémonie au palais du 15 janvier à N’Djamena.

La grande salle du palais du 15 janvier était rempli de militant du PCN ainsi que de ceux du MPS. Aussi présente à cette cérémonie, le secrétaire général 1^er adjoint du MPS, Madame MadjidianPadja Ruth. Cette solennité a débuté par un mot du président du comité d’organisation puis par le discours de l’ex président du PCN, MahamatTerap. Après un discours applaudis par ses militants, le président a signé et remis les textes de base de son parti à madame le secrétaire général.

« Le PCN a été créé dans le sens d’apporter sa contribution dans l’animation de la vie politique, des hommes et des femmes qui ont pris cet engagement qui ont mis en place ce parti qui ont effectivement joué un rôle dans l’échiquier politique de ce pays. Dans ce cheminement nous avons apporté notre contribution dans l’exercice de la démocratie dans notre pays. » déclare MahamatTerap. C’est ainsi que le comité exécutif du PCN a décidé de fusionner avec le MPS pour être à l’intérieur afin de contribuer davantage selon l’ex-président du parti pour la convergence nationale.

Dans la dernière allocution de cette cérémonie, celle duSG adjoint du MPS, elle affirme : « MahamatTerap et son parti œuvrent étroitement avec le MPS tant au niveau des rouages politiques qu’étatiques. La fonte du PCN dans le MPS est à l’exemple naturel d’une rivière qui déverse ses eaux dans le fleuve pour contribuer ensemble le chemin encore avec plus de vigueur et d’intensité. »

La cérémonie s’est achève par l’échange des écharpes et les désormais partisans du MPS se sont félicité mutuellement avant que les officiels.

Depuis 16 ans de sa création le 02 mai 2003, la Coordination Nationale des Artistes Tchadiens (CONAT) organise pour la seconde fois son assemblée générale. Selon le 1^er texte écrit par les membres de la CONAT, un mandat de 4 ans renouvelable est noté de 2003 à 2007 puis 12 ans après, le vol de la CONAT a pris l’axe de la pyramide de Bermudes. Pratiquement rien n’a été fait après son 1^er mandat.

Selon son Coordonnateur MASSENGO Jonas MASNGAR en présentant tout le rapport montrant la genèse de la CONAT tout en saluant la mémoire de certains artistes membres,  a souligné comment cela a été difficile de mettre les choses en marche. Qu’à cela ne tienne, des rencontres ont été multipliées pour bien tenir tête au-devant des autorités pour accoucher cette association. 

En effet, le 08 Aout 2002, le Ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports a rendu public deux Arrêtés dont l’un N° 21/ MCJS/DG/DC/2002 portant suspension des activités des orchestres et ensembles culturels étrangers sur l’étendue du territoire tchadiens et l’autre N° 22/MCJS/DG/DC/2002 portant règlementation des spectacles vivants. Ces deux arrêtés ont suscité des réactions des artistes qui trouvent que  certaines dispositions de ces actes sont une entrave à l’épanouissement des activités culturelles et artistiques au Tchad. Face à cette situation une rencontre a été organisée par certaines corporations artistiques au Tchad.

Il était question au cours  de cette rencontre d’éclairer les artistes sur les mobiles qui ont conduit à la publication des arrêtés 21 et 22 et de diagnostiquer les maux qui entravent le plein épanouissement des arts et de la culture au Tchad. C’est ainsi que les choses ont évoluées pour la reconnaissance de la Coordination Nationale des Artistes Tchadiens (CONAT) dont le 20 décembre 2003 une élection a été organisée pour élire 7 membre poste par poste M.MASSENGO Jonas MASNGAR était le 1^er Coordinateur.

Ainsi donc la CONAT a commencé ses activités avec quiétude mais un silence survint à la fin du mandat du 1^er bureau en décembre 2007 pour freiner tout au sein de la CONAT. En 2015, ce comité qui a pu aujourd’hui réunir les différentes corporations artistiques, a commencé un travail de sensibilisation pour qu’en fin les dates du 04 au 05 mars 2019 soit effective pour l’Assemblée Générale élective. Ces 2 jours ont permis de retoucher les textes de la CONAT puis élire un nouveau bureau composé de 10 membres. A la tête de ce nouveau bureau, 3 membres sont de l’ancien bureau et 7 sont des arrivistes. Le poste de Coordinateur revient de droit et par acclamation au Coordinateur sortant, M. MASSENGO Jonas MASNGAR secondé d’un vice-Coordinateur M. YOUSSOUF HAMID TOM qui, lui, était un ancien Chargé de Communication. Pour le dernier ancien du bureau sortant, ABAKAR ALI YAYA quitte lui aussi son poste de Chargé des Affaires Socio-économiques et Juridiques pour êtreau poste de Trésorier Général qui est épaulé par Mme RAMADA NATITINGAR. Le Secrétariat Général est assuré par ALI ADDEI ALI soutenu par un adjoint du nom BONGO SALATIAL ; A la Communication et de la Coopération, le Jeune journaliste et artiste-peintre dessinateur, lauréat du prix de l’excellence en journalisme de la presse en ligne 2019, LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR assure ; ALLAMINE KADER prend le poste du Chargé de la formation et de la planification puis Me NADJI MADOU et Mme MARIAM MAYOUMBOULA tous deux aux postes des conseillers. Cette équipe travaillera pour un mandat de 4 ans.

Par Aristide et Séraphin

CINEMA

Lancement officiel du film « Sans pitié » du réalisateur Parfait Maoulè

Sans pitié est un film réalisé par Parfait Maoulè de l’Association des Acteurs pour la promotion du cinéma Tchadien et sera lancé à Sarh, ville où le film a été tourné. En effet, Sans pitié retrace la vie de deux jeunes filles qui se sont livrées au vagabondage sexuel et qui se retrouvent face aux dures réalités de la grossesse non désirée. Cette situation les pousse à choisir le chemin de l’avortement clandestin qui par la suite leur sera fatal. Ce film remet sur le tapis le débat sur le vagabondage sexuel en milieu jeune ainsi que ses multiples conséquences. Ce samedi 02 mars 2019, à la maison de culture de Sarh le film sera projeté au grand public. Durant toute la semaine de la femme, des projections seront organisées à travers la ville de Sarh à l’honneur de la femme tchadienne. Pour le réalisateur, c’est une contribution à la lutte contre les pratiques qui entravent l’épanouissement des jeunes en général et particulièrement les filles. Il fait appel cependant aux autorités et aux personnes de bonnes volonté d’aider toutes les initiatives des jeunes en matière d’éducation et de sensibilisation.

Posé par le CULTURAMA, plus de 5 établissement sont à l'honneur pour la fête chinoise édition 2019 au CEFOD.