Pendant le monde entier souffre de la pandémie du coronavirus, les inhumains de la secte Boko Haram ont fait éruptions dans un camp militaire situé à Boma dans la province du Lac pour anéantir tout ce qui se trouvait. Une énorme perte des vaillants soldats tchadiens qui ce sont donnés la vie au peuple tchadien.
Au total 98 soldats tombés surplace et 43 blessés. De nombreux dégâts matériels ont été enregistrés. Sans perdre un petit temps soit peu, le Président Déby après son discours à la nation tchadienne, fait une descente urgente pour prendre les choses en main. Homme de grandes opérations militaires qui maîtrise bien les différentes structures et stratégies de guerres surtout au Tchad, le Gal. Idriss Déby Itno entouré du Ministre de la Défense nationale et le CEMGA ont érigé leur base au Lac pour faire fasse à la situation.
Selon un communiqué ordonné par le Président Déby, la population des villages tout au long du Lac-Tchad, sont impérativement appelée à quitter pour rentrer à l'intérieur. Un deuil de 3 jours a été décrété en mémoire des victimes.
Une opération militaire est déjà activée et continuera son travail afin de mettre fin à cette barbarie.
C'est important de se dire de tenir compte des mesures prises par le gouvernement sur la pandémie de Covid-19. Toutes dispositions sont prises pour éviter l'évolution de ce fléau.
Prévention par les images
Pour se protéger contre la pandémie du Covid-19 voici les consignes en image
M.Dehou Pascal Ferso, chargé de communication pour l'appui aux programmes et de sensibilisation du Système des Nations Unies au Tchad, a tenue un exposé clair et succinct aux différents responsables des services de presse invitée à prendre par à la formation sur la pandémie du Covid-19 dont le thème qui lui a été confié est débattu avec faste. Les participants ont pu se tenir aux questions de la connaissance de coronavirus et de sa situation actuelle qui le monde entier fait face aujourd'hui. Plus loin, l'exposant s'est rassuré des informations fiables sur la pandémie et aussi des médias qui doivent est au centre de la lutte pour l'éradication de ce mal et lui-même un journaliste professionnel.
Répondant aux besoins des questions des participants et des contributions des uns et des autres, M.Dehou Pascal Ferso a montré du bout de doit la teneur de la pandémie Covid-19 pour que la responsabilité soit prise de tout côté pour freiner cette maladie.
Suivant le Dr. Djerisbé Bonheur, l'épidémiologie au Ministère de la Santé Publique quant à lui, le plan de contingence et dispositions en cours, le problème n'est pas si compliqué car le monde demande tout simplement une sensibilisation efficace par les autorités, techniciens de santé et surtout les journalistes.
D'autres thèmes de formation reste à poursuivre à la suite de la journée.
Par Seraphinnews
M. Dehou Pascal Ferso, chargé de communication du SNU
Dans la grande salle des locaux du UNFPA TCHAD en collaboration avec le ministère de la Santé Publique, donnent des conseils sur la communication et de la sensibilisation sur la pandémie du coronavirus qui sévit dans le monde. C'est une première expérience que le le groupe de communication des systèmes des nations unies et le gouvernement s'attellent avec la presse pour atteindre la population tchadienne. Cette communication ne s'arrêtera pas là.
Sortie à 14heures après l'hymne national, le Président Déby a tiré l'attention particulière de la population sur la pandémie du Covid-19 qui et fait ravage dans le monde. Après avoir fait le bilan du gouvernement tchadien sur ce fléau, l'heure est à prise de conscience nationale et aussi aux respects des mesures instaurées par le ministère de la santé et celles de l'OMS. Il appelle donc, chaque individu à prendre au sérieux cette maladie qui met aujourd'hui le monde entier dans une situation difficile surtout la perte des vies humaines. Le Président Déby demande à ses compatriotes d'adopter un comportement respectueux et aussi aux membres de son gouvernement de veiller à la rigueur des mesures instaurées.
Pour le chef de file de l'opposition tchadienne, M. ROMADOUMNGAR Félix NIALBE, ce plus l'affaire de la division politique, tout est appelé à respecter les conditions d'hygiène que le Président Déby et son gouvernement ont placé pour sécuriser la santé des tchadiens et celle du monde entier dixit-il.
C'est urgent partout pour la situation actuelle dans le monde. La pandémie ne cesse d'augmenter dans le monde dont l'Afrique vient d'être un continent incontrôlable sur la situation. Au Tchad, le cas sur le marocain découvert à la veille des premières mesures le 18 Mars, les autorités ne cessent de crier sur le fléau. La plus grande des mesures qui est celle de responsabilité individuelle de chacun pour les lavages des mains le non attroupement le port des caches-nez ainsi que le respect des distances cela semble être ignoré. Alors les autorités multiplient des mesures dont la fermeture des écoles, Universités, des églises et des mosquées, on voit aussi le transport commun interdit ainsi que les bars bref les regroupements des personnes de plus de 50 personnes. Ce matin on tombe sur les forces de l'ordre qui doivent se présenter dans les rues pour des raisons de pressions car la population de la la capitale ignore la pandémie Covid-19. Ce qui reste à savoir c'est la fermeture des marchés alimentaire et non alimentaires mais ce point reste à étudier car les Tchadiens vivent au jour le jour.
Le Covid-19 est un fléau qui a paniqué le monde entier en temps record. Plusieurs pays dont le continent africain en compte aujourd'hui 30 pays atteints de la maladie. Pour le Tchad, aucun cas n'a été découvert jusqu'à présent. Sauf que ce matin ,les mauvaises interprétation ont voulu faire comprendre qu'un cas serait détecté à Moundou sur un homme mais au fond rien n'est découvert a démenti le gouverneur Dago.
A la veille la mise sur pied des mesures de sécurité pour contrecarrer l'avancer du coronavirus, le gouvernement tchadien est resté vigilant pour l'application de ses mesures signé ya trois jours.
Femme engagée dans la politique tchadienne, après avoir un cursus scolaire et universitaire voir professionnel bien connu de la scène politique ici au Tchad, Mme Bintou Malloum a bien servi son pays jusqu'au dernier jour de sa vie. Elle est la toute première femme à faire son entrée à l'école nationale de la magistrature au Tchad, d'où à sa sortie a commencé au ministère de la fonction publique et du travail, du ministère de l'action sociale etc. de 1993 à 2017 puis comme ambassadrice au Congo et la République Fédérale d'Allemagne. Une dame qui avait toujours donné le meilleur d'elle-même dans ses tâches. Son heure arrive et elle laisse l'administration tchadienne dans le désarroi. Née le 31 mars 1946 dans le salamat, Bintou Malloum laisse les enfants d'amtiman dans une confusion totale. Face à la mort personne ne peut dire non. Pais à son âme.
Après ses vacances parlementaires de l’année 2019, les élus du peuple ont commencé ce 5 mars 2020, leur première session de l’année en cours. Selon le président de cette institution Haroun Kabadi, la session qui démarre ce jeudi 5 mars, à examiner six (6) projets de loi visant le renforcement de notre gouvernance politique et économique. Ce sont entre autres, des projets d’ordonnance portant statuts de l’opposition démocratique, Amnistie des atteintes à l’intégrité territoriale, celles portant ratification des conventions de prêt et organisation de l’état civil au Tchad. En dehors de ces projets de loi, trois propositions de loi portant respectivement sur la règlementation des activités de transfert de fonds, le budget autonome de l’Assemblée Nationale, et la création d’une caisse de retraite des parlementaires sont aussi au programme. Enfin, il y aura également huit (8) questions orales avec débats relatives aux thématiques politiques, économiques et sociales sont adressées aux membres du Gouvernement.
Le président de l’Assemblée Nationale, appelle les députés au sens de « responsabilité, pour participer de manière ponctuelle et assidue aux travaux des commissions et de la plénière, aux fins d’examiner avec lucidité, sérénité et objectivité, l’ensemble des projets soumis à notre appréciation », a relevé Haroun Kabadi. Les remarques du président de l’Assemblée nationale viennent à point nommé car, les élus du peuple brillent par leur absence ces derniers temps à l’hémicycle.
Une jeune fille, telle une fleur qui fermente les bonnes odeurs d’une vie à vivre trouve la mort ce matin du vendredi 21 février 2020. Triste ! Paix à son âme !
Les deux femmes assassinées et l'artiste Dinar assassiné
Quelqu’en soit la nature du conflit qui opposait cette adolescente à ses assassineurs, ils n’avaient pas besoin de la violer, lui ôter la vie et lui foutre un billet de 2000F dans la bouche avant balancer son corps dans une maison sans vie. En un mois, plus de trois assassinats, pleins de crapule. On a envie de dire bravo à ces criminels qui défient un Etat, celui de la République du Tchad qui possède l’une des armoires d’armement le plus costaud en Afrique. C’est incompréhensible qu’un Etat aie une puissante machine de guerre, de renseignement, des centaines de milliers de généraux - qui pèsent les finances de l’Etat – et se laisser blaguer par des criminels en rang détaché qui tuent sous sa barbe. La tuerie touche toutes les couches sociales : jeunes et vieillards. Mais les femmes paient la plus grosse tribu.
En un mois on compte plusieurs cas d’assassinats : Docteur Tapohol Sahal Haoussou Crisos, Mme Mopi Célestine, l’artiste comédien colonel Dinar, et une jeune fille tuée ce vendredi 21 février, nous sommes en droit de dire que le gouvernement échoue dans sa mission de protéger et sécuriser sa population. La sécurité, ce n’est pas seulement dans les frontières. C’est aussi à l’intérieur de nos villes. Il faut que nos dirigeants prennent leur responsabilité.
Il est à penser, aussi, que les femmes devraient engager une riposte à la hauteur de cette peine que certaines personnes affaiblies par les irresponsabilités et la gourmandise du pouvoir en place, leur font subir. Elles devraient à l’unanimité brandir leur FEMME au devant de la sensibilisation, pour que d’autres couches s’y adhèrent et combattent cette méchanceté d’une époque animale. Elles devraient rééduquer leurs progénitures à une reconsidération des valeurs morales essentielles : l’amour, la vie et la mort, l’Homme dans son entièreté au centre d’un respect divinisé.
Et si les maires de nos communes arrêtaient leurs bagarres à cause des jetons et fournissaient un petit effort pour éclairer la ville de N’Djamena, le taux de ces crimes diminuera.
Et si les gendarmes et les policiers qui attendez les citoyens dans les ronds points pour les arnaquer à des heures tardives, pouvaient pousser un peu leurs patrouilles en profondeur de nos quartiers obscurcis, les criminels auront un peu peur et ces massacres se raréfieront.
Ou bien il faut toujours attendre que le Président Deby parle, ordonne, décide pour que ces crimes s’arrêtent ?
En attendant cette réponse qui ne viendra que par-dessus le mur, là-dedans, la maisonnée est meurtrie sous les chapeaux renversés de ces conseillers et Ministres filigranés. Il faut juste dire un NON aux violences faites à nos amours : les femmes.