La Maison des Médias du Tchad abrite une conférence débat sur :

« Problématique de l’obtention de la carte d’identité du journaliste professionnel la partition jouée par les régulateurs, les managers et les bénéficiaires ».

Soutenue par l’Unesco et le gouvernement tchadien, les journalistes sont toujours partants pour la carte d’identité du journaliste. Cela fait un bon de temps que la situation de la délivrance de cette carte pose beaucoup de fil à retordre dans ce milieu de la presse tchadienne. Pour la loi 031 du 03 décembre 2018 régissant le statut du journaliste tchadien, un grand problème s’impose et cela ne satisfait à un nombre des hommes medias. La loi 17 et les nouvelles lois à savoir 031 et 032 reste un souci majeur que les journalistes n’arrivent jamais à un compromis.

Trois panélistes sont constitués pour éclairer un peu l’esprit des uns et des autres sur la question d’identité professionnelle du métier de journalisme.

Maitre Adolphe, qui a expliqué et interprété les différentes lois à commencer par la loi 17 du 12 août 1994 et les nouvelles lois, mais la question reste sombré dans le milieu de la presse tchadienne. De même, Barka Abderaman qui est le président de la commission de la délivrance de la carte professionnelle de la presse, a aussi à son tour donné des consignes sur l’obtention des cartes mais ses orientations sont trop lourdes que les débats n’ont su s’orienter. La question que beaucoup s’attendent n’est pas du tout posée et que les réponses ne sont pas aussi à leurs places. Seul un panéliste journaliste, M. Gat Nder qui a tout petit peu donné une lumière sur le métier mais vue la situation peu ridicule des responsables en charge des régulations des medias au Tchad. Il a tenté d’expliquer comment ce métier est en train d’être politisé et désorienter pour des intérêts machiavéliques.

Par Séraphin