Pour la plateforme wakit tama, toutes les manifestations organisées çà et là, prouve que la volonté de participer ou d’organiser ce dialogue national inclusif à son sens dixit un membre de la dite plateforme. Réunit sous la coupe du ministre d’Etat, de la réconciliation nationale Acheick Ibn avec les différentes organisations de la société civile ainsi certaines plateformes revendicatives afin de faire des propositions pour permettre aux travaux de la tenue du DNI que le Comité d’Organisation du Dialogue National inclusif (CODNI). Cette rencontre a été un plus car, selon les témoignages c’est le seul issu qui donnera encore de l’occasion pour chaque tchadien se sente libre pour exprimer sa volonté et de retenir le bon à prendre. C’est aussi l’occasion pour mettre les choses en règle car depuis l’indépendance le pays n’a pu avancer faute des différentes troubles de guerre.

Ce qui reste à faire c’est d’organiser ce dialogue dans un bref délai.

Par Nodjita Marcelin

Des organisations de la société civile s’est intéressé pour l’organisation du dialogue national inclusif. Selon le Pasteur Jacques Redji de l’église baptiste, l’organisation de ce dialogue reste le seul issu pour réconcilier les fils du Tchad. Personne ne doit ignorer cela. Car la religion est la première partie prenante du dialogue national inclusif. Les religieux doivent montrer au peuple comment vivre dans la paix car toute tourne au tour de la paix nationale. Il rajoute que toutes les communautés sans distinction doivent poser une pierre à la construction de l’édifice qui la paix.

Aussi, en rappelant de la fusion des différentes confessions religieuses pour la prière de la nation, c’est un point d’exemple qui trouvera sa place à l’organisation du dialogue en vue.

Par salomon

Dans l'une des salles de réunion de l'hôtel Radisson Blu, les représentants des associations et différentes fédérations ont eu la chance de tenir une assemblée générale et élective. Pour le bureau sortant du COST, l'idée d'organiser cet événement n'était pas à son sens mais ne savent que faire car le mandat est au rendez-vous ce jour 18 décembre 2021.

Selon Abakar Djerma Aumi, les choses ne doivent pas se laisser faire comme ça oubliant son arrivée à ce poste devant son même adversaire. Au début la presse a été écarté par ses ordres. Peu après tard, une sélection est faite pour que certains journalistes puissent être présents. Malgré cela, les journalistes qui se font ses alliés, ont jugé utile d'agresser leurs confrères dans la salle en présence des représentants des fédérations sportives et associations pour des motifs qu'on ignore.

Malgré tout, le temps a fini par s'imposer pour le changement d'adresse de l'ancien bureau avec un nouveau. Le Général Idriss Dokoni Adiker reprend aisément sa place laissée y a année à la main des personnes qui n'ont pas été à la hauteur. En quittant son poste, Idriss Dokoni Adiker et son équipe avait laissé une enveloppe importante pour la continuité mais à la surprise de tous, le cost est redevable aux banques de la place. Qu'à cela ne tienne, le nouveau président élu qui n'est rien d'autre que le connaisseur de la maison saura remettre la pendule murale à l'heure.

Bien connu par ses pairs, l'ancien joueur talentueux du volley-ball, est rappelé à la tête du cost par 33 appels contre 20 voix des personnes de non volonté pour l'évolution du sport tchadien.

Par Ls

Cette marche est organisée par les personnes handicapées, qui depuis plus de 2 ans voient leur exclusion dans vie par l'état tchadien. Il est vrai que ces personnes qui ont plus ou moins une déficience physique, mentale etc. telle que nous connaissons, méritent aussi de profiter de certaines activités lucratives de la vie quotidienne.

Tout à commencé par l'intervention de la traversée du pont de la frontière Tchad-Cameroun. Les autorités tchadienne ont pris des décisions interdisant non seulement aux personnes handicapées, mais pour certains aspects de trafic qui depuis très longtemps sévit entre les deux frontières. Cette décision a beaucoup perduré et laisse ces derniers dans une misère totale. Ils ne savent à quel saint se vouer pendant que les aptes eux, sont aussi dans le chômage précaire sans emploi et sans espoir. Toute cette situation, ces personnes handicapées ont visé les rues pour exprimer leur mécontentement d'abord en prenant le siège de l'ambassade des États-Unis au Tchad en témoin. A 07h de la matinée d'hier plus de 8km avec la primature, les personnes handicapées atteint dans l'espace de 2h et demi. Au vu de cette situation, si leur cri n'est pas entendu, le pouvoir du CMT risque de prendre un coup en cette période où le dialogue national doit prendre en compte la situation de vulnérabilité des personnes. Auront-ils un gain de cause suite à cette manifestation ? C'est pour la première fois que ces personnes handicapées font cela.

Par LS

Pour ce qui concerne les vaccins, le ministère de la santé publique a reçu une quantité acceptable de vaccin Johnson-Johnson en ajout avec les autres qui sont déjà en administration partout dans les sites copté pour l'exercice unique de l'administrer la population volontaire.

Depuis ce jour, la lenteur se fait remarquer dans certains centres. Mais la sensibilisation semble être fait et depuis hier les centres commencent à recevoir des personnes ayant besoin de se mettre à l'abri du covid-19 afin de protéger aussi les autres.

Par LS

Le constat est là. Selon les réseaux sociaux, prendre des vaccins est mal car c'est de là qu'on contracte la maladie. Cela ne suffit pas mais certains vont jusqu'à illustrer des scènes pour mieux en faire connaître et comprendre que les vaccins contre covid-19 sont des mauvais produits que l'Occident envoie pour nuire les africains. Ce sont des fausses interprétations. Ces individus sont manipulés par des un groupe de personnes qui eux, cherchent leurs propres intérêts dans se soucier de la vie humaine que cette maladie ravagé. On se demande pourquoi ils font cela? S'ils ignorent l'existence de cette maladie mais pourquoi ils disent aux gens de ne pas se faire vacciner ?

Alors la réponse est simple, chacun le sait bien et donc pour lutter contre ce fléau, chacun doit se faire vacciner sans se fier à des fausses rumeurs et les fakes news des réseaux sociaux.

Beaucoup de personnes ont perdues leurs vies déjà par cette pandémie de coronavirus. Chacun doit se faire vacciner car c'est gratuit.

Par LS

#Santé: Situation épidémiologique de la maladie à Coronavirus : 

443 malades actuellement sous traitement sur l’ensemble du pays
Dans l’optique d’éclairer l’opinion publique sur la situation épidémiologique de la maladie à Coronavirus des 5 derniers mois, le ministre de la Santé publique et de la Solidarité nationale, Dr Abdoulaye Sabre Fadoul assisté du Coordonnateur national adjoint des actions de lutte contre la Covid-19 (Cnal covid-19), Dr Mahamat Tahir Abakar, a fait une communication, ce jeudi 02 décembre 2021 dans les locaux de son ministère.
Depuis la notification du 1er cas (importé) de la Covid-19 au Tchad, le 19 mars 2020 à N’Djaména suivie de la 1ère transmission locale, le 06 avril 2020 à N’Djaména, le gouvernement a déclenché la riposte aux travers différents outils, des instances et des mesures à savoir, l’élaboration d’un plan de contingence, la mise en place d’une Cellule de veille sanitaire (Cvs), la mise en place d’un Conseil de gestion de crise sanitaire (Cgcs) et d’une Coordination nationale de riposte sanitaire (Cnrs-Covid-19), la déclaration de l’état d’urgence sanitaire, la fin de l’Etat d’urgence sanitaire le 10 septembre 2021 et la mise en place de la Coordination nationale des actions de lutte Contre la Covid (Cnal-COVID19). Cependant, la situation sanitaire mondiale demeure toujours préoccupante. On note l’instabilité du virus qui secoue encore le monde scientifique et le défi qui reste entier, notamment avec l’apparition de nouveaux variants. 
Selon la situation épidémiologique comparative des cinq derniers mois de 2020 et de 2021, faite par le patron de la Santé publique, Dr Abdoulaye Sabre Fadoul, celle de 2021 est préoccupante. « Il y a 5701 cas confirmés dans 20 Provinces (N’Djaména, Ouaddaï, Lac, Logone Oriental, Wadi-Fira, Moyen-Chari, Logone Occidental, Batha, Kanem, Mayo Kebbi-Est, Mayo Kebbi Ouest, Guéra, Sila, Mandoul, Ennedi-Est, Chari-Baguirmi, Tandjilé, Borkou,  Hadjer –Lamis et Tibesti) dont 221 (3,90%) personnel de santé, 196 avant le 10 septembre 2021 et 25 au mois de Novembre 2021 », informe-t-il. Pour lui, durant les 5 derniers mois, il y a 181 décès soit une létalité de 3,17 %. Dans le tableau récapitulatif des malades de Covid-19, il y a au total 443 malades actuellement sous traitement sur l’ensemble du pays 27 dont 03 sous assistance respiratoire à l’hôpital provincial de Farcha, 08 à l’hôpital de la  Renaissance dont 01 sous assistance respiratoire. 
Les données du point d’entrée aéroport du 1er  au 30 novembre 2021 
Selon les données fournies par Dr Abdoulaye Sabre Fadoul, on note au niveau de l’aéroport International Hassan Djamouss, 7692 personnes testées dont 17 cas positifs détectés.
 La performance de la vaccination contre la Covid-19 au Tchad
Dr Abdoulaye Sabre Fadoul a déclaré que le Tchad a reçu 533 450 doses de vaccin (Pfizer et Sinopharm). Ainsi, 258618 doses sont administrées dans les 64 centres de vaccination fonctionnels dans 18 provinces sur l’ensemble du territoire national. 
Les actions entreprises par la Cnal-covid-19
Depuis son installation le 15 octobre 2021, par le ministère en charge de la Santé publique, la Coordination nationale des actions de lutte contre la Covid-19 Cnal-COVID-19, rapporte Dr Abdoulaye Sabre Fadoul, a tenu des réunions hebdomadaires et extraordinaires. Elle a aussi révisé le protocole applicable aux passagers à l’arrivée et au départ  dans les frontières et a fait l’état des lieux des unités de diagnostic, des médicaments, et  de la prise en charge. 
Les actions entreprises par la Cnal Covid-19
Des actions entreprises par la Cnal Covid-19, il est à inscrire la révision des tarifs de test RT-PCR pour les passagers au départ, la rencontre d’informations et d’échanges avec l’ADAC, la visite de sensibilisation et orientations au ministère en charge de la Réconciliation nationale, la mise en place des TDR Covid dans les Hôpitaux Nationaux (CHUR, HATC), la distribution des EPI (Hôpitaux Nationaux, provinces, institutions) ainsi que la réalisation de trois (03) émissions radios diffusées sur la situation de la pandémie. En sus, la Cnal Covid-19  a participé à la Revue Interaction (RIA) de la gestion de Covid-19 et a assuré le suivi de la vaccination contre COVID à travers les réunions bihebdomadaires de CNC-COVAX. « Il faut relever que la Cnal Covid-19 a publié des bilans mensuels sur la situation épidémiologique (Octobre et Novembre), elle a évalué des hôpitaux en termes d’oxygénothérapie (production et utilisation) ainsi que l’évaluation des hôpitaux dans le cadre de la PCI en milieu hospitalier et enfin, elle a  rédigé le nouveau protocole sur la surveillance COVID  sous l’égide de l’équipe de Yale School of Public Health », souligne le Coordonnateur national adjoint des actions de lutte contre la Covid-19 (Cnal covid-19), Dr Mahamat Tahir Abakar.
Les difficultés
Pendant ses activités, Dr Mahamat Tahir Abakar a fait savoir la Coordination nationale adjoint des actions de lutte contre la Covid-19 (Cnal Covid-19), a de la peine à assurer la pérennisation de stock des réactifs et des consommables de laboratoires de diagnostic Covid19. «  Parmi nos difficultés majeurs, on note la pérennisation de stock de tests antigéniques (TDR), la pérennisation de stock de médicament de prise en charge Covid19, l’adhésion de la population au respect des mesures barrières et à la vaccination, les difficultés dans la prise en charge des cas graves (production et approvisionnement); l’insuffisance des ressources humaines qualifiées (anesthésistes réanimateurs) pour la prise en charge », explique Dr Mahamat Tahir Abakar.
Les perspectives 
En perspectif, le ministre de la Santé publique et de la Solidarité nationale promet de rendre effectif le séquençage au niveau local (Réaménagement du local, hottes conformes, matériel de séquençage, frigo -80 et -20 degré), la prise des nouvelles mesures par rapport aux nouveaux variants de commun accord avec le comité interministériel, l’intensification de la sensibilisation aux respects mesures barrières, la validation du nouveau protocole sur la surveillance COVID  sous l’égide de l’équipe de Yale School of public Health, la révision du protocole thérapeutique pour l’adapter au contexte actuel de la pandémie, le renforcer l’application des mesures de Prévention et de Contrôle des Infections (PCI) dans l’ensemble des structures de soins (Hôpitaux et centres de santé) du pays. « Nos équipes continuerons à superviser régulièrement des sites de prise en charge de N’Djaména et des provinces touchées par l’épidémie. Nous restructurerons les équipes des provinces tout en mettant en place des services de tri dans les hôpitaux », prévient Dr Abdoulaye Sabre Fadoul tout en poursuivant qu’un recadrage des équipes de la surveillance du niveau central et celles de la DSP de N’Djaména sera fait. « Le nombre accru des personnes infectées au mois de Novembre 2021 est dû entre autres : au relâchement du respect des mesures barrières, consécutif à l’accalmie observée sur le front épidémiologique depuis le 2ème trimestre de 2021; à l a circulation de nouveaux variants notamment  Delta et les conditions climatiques.  Les services techniques doivent accentuer la surveillance et la vigilance pour circonscrire les éventuelles circonstances », oriente-t-il. Pour ce faire, rassure le chef de département de la Santé publique, devant cette situation, il est vraiment nécessaire que la population se fasse vacciner et respecte les mesures barrières. « Ce qui est un grand défi », reconnait-il.
Par DN