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#TCHAD: Clôture des élections législatives et locales au Tchad, un processus inédit selon le MPS

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

 

Politique et société.

Dr Issa Doubragne, porte-parole de la coordination nationale de campagne du Mouvement Patriotique du Salut (MPS)

Quelques heures après la clôture des élections législatives et locales couplées des 28 et 29 décembre, Dr Issa Doubragne, porte-parole de la coordination nationale de campagne du Mouvement Patriotique du Salut (MPS), a tenu un point de presse marquant la fin d’un processus électoral sans précédent dans l’histoire du Tchad.

Lors de cette conférence, Dr Doubragne a souligné l'importance de ces élections, les qualifiant d’« inédites » et de « réussite collective ». Il a exprimé sa gratitude envers les électeurs qui ont participé massivement au scrutin, témoignant ainsi de leur engagement envers la démocratie et le développement du pays.

« Ces élections représentent un tournant décisif pour notre nation. Elles sont le fruit d’un travail acharné et d’une volonté commune de bâtir un Tchad meilleur », a déclaré Dr Doubragne. Il a également mis en avant le rôle crucial joué par les institutions électorales et les observateurs nationaux et internationaux, qui ont contribué à la transparence et à la crédibilité du processus.

Le porte-parole du MPS a rappelé que ces élections ne se limitaient pas à un simple exercice démocratique, mais qu’elles constituaient une étape essentielle vers la stabilisation politique et le renforcement des institutions tchadiennes. En évoquant les défis à venir, il a appelé tous les acteurs politiques à œuvrer ensemble pour la paix et le développement durable du Tchad.

Dr Issa Doubragne a réaffirmé l'engagement du MPS à travailler pour le bien-être de tous les Tchadiens, indépendamment des résultats des élections. « Notre priorité reste la construction d’un Tchad uni, pacifique et prospère », a-t-il conclu.

Les résultats des élections devraient être annoncés dans les jours à venir, et le pays attend avec impatience de connaître l’issue de ce scrutin historique. Les regards sont désormais tournés vers les autorités compétentes pour garantir une transition pacifique et constructive, quelle que soit l’issue des élections.

Par Bianzoumbé Bobé, journaliste stagiaire.

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Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Tchad: #Élections: Un engagement citoyen pour un Tchad en décentralisation
 

Je vous exhorte à sortir massivement pour voter. Toute voix compte."

Élections aux Tchad.
Le Maréchal du Tchad, Mahamat Idriss Deby Itno au bureau de vote.
 
Élections aux Tchad.
Le Maréchal du Tchad, Mahamat Idriss Deby Itno au bureau de vote.

Sous une ardente fraîcheur ce 29 décembre 2024, le Maréchal du Tchad et Chef de l’État, Mahamat Idriss Deby Itno, sans se couvrir, juste comme d’habitude, un ensemble blanc et de sa canne étoilée de maréchalat a honoré ses engagements en participant activement aux élections provinciales, législatives et communales. Dans une déclaration empreinte de solennité, le Président de la République a exprimé sa satisfaction d’avoir pu exercer son droit de vote, soulignant l’importance de cette journée pour l’avenir du pays.

« Par la grâce divine, j’ai pu m’acquitter de mon devoir de voter pour celles et ceux qui vont me représenter aux niveaux législatif, provincial et communal », a-t-il déclaré. Ces mots résonnent comme un appel à l’unité et à la responsabilité civique dans un contexte où chaque voix est cruciale pour le développement du Tchad.

Le 29 décembre 2024 est ainsi marqué comme un jour historique pour le pays. Le Président de la République, le Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno a mis en avant que ces élections constituent une étape décisive vers l’instauration d’une décentralisation tant attendue par le peuple tchadien. « Elle sera effective », a-t-il promis, témoignant de sa volonté de rapprocher le pouvoir des citoyens et d’améliorer la gouvernance locale.


Dans son mot après l’accomplissement de son devoir, le Chef de l’État a également lancé un appel vibrant à tous les compatriotes inscrits sur les listes électorales : « Je vous exhorte à sortir massivement pour voter. Toute voix compte. » Cet appel à la mobilisation vise à encourager une participation électorale active, essentielle pour renforcer la démocratie et la légitimité des institutions.

Alors que les Tchadiens se dirigent vers les urnes, l’engagement personnel du Maréchal du Tchad Mahamat Idriss Deby Itno souligne l’importance de cette journée et la nécessité d’une forte participation citoyenne. Les résultats des élections pourraient bien façonner l’avenir politique du pays et ouvrir la voie à une gouvernance plus décentralisée et inclusive.

Dans un climat d’espoir et d’anticipation, le Tchad se prépare à écrire un nouveau chapitre de son histoire politique, avec la promesse d’un avenir où chaque voix compte et où le peuple est au cœur des décisions.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste reporter et photographe.

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#Communale: Sidothe Beteloum : Favori de la commune de Sarh pour les élections de demain

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Pour les élections communales, l’homme idéal pour la ville de Sarh semble être connu si les vérités des urnes de demain le confirme. Le candidat du parti  » Un Nouveau Jour » reste le plus crédible des candidats en course pour ladite commune.

Envoyé spécial, A. Salomon

Communale 2024 à Sarh.
Sidothe Bétéloum, candidat pour la commune de Sarh.

À la veille des élections communales prévues pour le 29 décembre, Sidothe Beteloum, candidat du parti « Un Nouveau Jour », semble déjà avoir conquis le cœur des électeurs de Sarh. Selon plusieurs candidats en lice pour la mairie, Beteloum est largement en tête dans cette ville, grâce à une campagne dynamique et engageante qui a su capter l’attention de la population.

Des témoignages recueillis auprès de divers candidats révèlent que le nom de Sidothe Beteloum résonne dans tous les quartiers de Sarh. « Il a su tenir la population en haleine durant toute la campagne », déclare un candidat d’un autre parti politique. Ce dernier souligne également l’impact positif que Beteloum a eu sur les citoyens, en prônant des valeurs essentielles telles que la paix, la cohésion sociale et le vivre ensemble.

L’engagement de Sidothe Beteloum pour les droits humains et sa détermination à promouvoir une société plus juste et inclusive ont également été des éléments clés de sa campagne. De nombreux électeurs voient en lui un leader capable d’apporter des changements significatifs et durables au sein de la commune.

Le rendez-vous est donc fixé pour demain aux urnes, où les habitants de Sarh auront l’occasion de faire entendre leur voix. Les enjeux sont importants, et la mobilisation des électeurs sera cruciale pour déterminer l’avenir de leur commune. Dans un climat électoral marqué par l’espoir et l’enthousiasme, Sidothe Beteloum apparaît comme le candidat à surveiller.

Alors que la date fatidique approche, les regards sont tournés vers Sarh, où l’issue des élections pourrait bien être un tournant décisif pour la ville et ses habitants.

Par A. Salomon envoyé spécial du journal seraphinnews.com

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#Tchad: Cérémonie de consécration du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, un nouveau chapitre pour le Tchad

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Élévation du président de la République Le Maréchal du Tchad, Mahamat Idriss Deby Itno.

Le palais de Toumaï a été le théâtre d'une cérémonie solennelle marquant la consécration du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, récemment proclamé président de la République du Tchad. L'événement, qui a rassemblé des personnalités politiques, militaires et civiles, a été ouvert par le président du Conseil National de Transition (CNT), Dr Haroun Kabadi.


Après une introduction empreinte de solennité, le ministre délégué auprès du Secrétaire Général du Gouvernement (SGG) a procédé à la lecture du décret officialisant la promotion du Maréchal. Ce moment fort a été suivi par une présentation détaillée de la biographie du nouveau Maréchal, mettant en lumière son parcours exceptionnel, ses contributions à la sécurité nationale et son engagement pour le développement du pays.

La cérémonie a également été l'occasion pour Dr Haroun Kabadi de souligner l'importance de cette nomination dans le contexte actuel du Tchad, marqué par des défis sécuritaires et politiques. Il a exprimé l'espoir que sous le leadership du Maréchal Déby, le pays puisse avancer vers une paix durable et un développement inclusif.


Les discours prononcés ont été ponctués par des moments de recueillement et de célébration, témoignant de l'adhésion des Tchadiens à cette nouvelle ère politique. Les participants ont salué la détermination du Maréchal à poursuivre les efforts de réconciliation nationale et à renforcer les institutions démocratiques.

La cérémonie s'est conclue par une prise de parole du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, qui a remercié les Tchadiens pour leur confiance et a réaffirmé son engagement à servir la nation avec honneur et intégrité. Il a appelé à l'unité et à la mobilisation de tous les acteurs de la société pour relever les défis auxquels le Tchad est confronté.

Cette journée historique marque un tournant pour le Tchad et ouvre la voie à de nouvelles perspectives sous le leadership du Maréchal Déby. Les yeux sont désormais tournés vers l'avenir, avec l'espoir d'un Tchad pacifié et prospère.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste indépendant.

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#TCHAD: Le Tchad accélère le processus de retrait de l'armée française d'ici janvier 2025

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Diplomatie

Le 28 novembre dernier, le Tchad a officiellement annoncé son retrait de l'accord de coopération militaire signé avec la France dans les années 1970. Cette décision, annoncée par le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, Chef de l'État tchadien, a été justifiée par le caractère obsolète de cet accord face aux réalités actuelles.

Selon les déclarations du gouvernement tchadien, cette mesure implique le départ de toutes les troupes françaises stationnées sur le sol tchadien. La demande de retrait a été formellement communiquée à Paris le 19 décembre. Le Tchad a fixé un délai pour le départ des soldats français, qui ne devra pas dépasser le 31 janvier 2025. Toutefois, des négociations sont en cours pour discuter des modalités de cette transition.

Cette décision s'inscrit dans un contexte régional complexe, marqué par des enjeux sécuritaires croissants et une volonté du Tchad de redéfinir ses relations militaires et diplomatiques. Le retrait des troupes françaises pourrait avoir des répercussions sur la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel, où la France a joué un rôle clé en soutenant les forces locales.


Les autorités tchadiennes semblent déterminées à renforcer leur souveraineté nationale tout en cherchant à établir de nouveaux partenariats qui répondent mieux à leurs besoins stratégiques. La situation sera à suivre de près, car elle pourrait influencer les dynamiques de sécurité et de coopération militaire dans toute la région.

Les discussions entre N'Djamena et Paris se poursuivent, et il reste à voir comment cette décision affectera les relations bilatérales entre les deux pays à l'avenir.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste indépendant.

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#Tchad: Le Tchad accueillera l'Assemblée Générale Élective de l'ACNOA Zone 4 en Janvier 2025

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Sport
Le vice président du COST, Bani Gata Ngoulou


Le Tchad s'apprête à accueillir un événement majeur dans le domaine du sport en Afrique. Du 15 au 17 janvier 2025, le pays sera le théâtre de l'assemblée générale élective de l'Association des Comités Nationaux Olympiques d'Afrique Zone 4 (ACNOA Zone-4). Cette annonce a été faite par Bani Gata Ngoulou, le 1er Vice Président du Comité Olympique et Sportif du Tchad (COST), lors d'un point de presse tenu le jeudi 19 décembre 2024.

Cette assemblée générale sera non seulement une plateforme pour discuter des enjeux sportifs régionaux, mais également une occasion pour le Tchad de marquer son empreinte sur la scène sportive sous-régionale. En effet, le pays présentera sa candidature au poste de président de l'ACNOA Zone-4. Cette candidature est portée par le Général Idriss Dokony Adiker, actuel Président du COST, qui ambitionne de jouer un rôle clé dans le développement du sport en Afrique.

Le choix du Tchad comme hôte de cet événement souligne la confiance accordée au pays par ses pairs et témoigne de son engagement envers le mouvement olympique et sportif. Les travaux qui se dérouleront durant ces trois jours rassembleront des représentants de plusieurs pays de la zone, offrant ainsi une occasion unique d'échanges et de collaborations entre les différentes nations africaines.

La tenue de cette assemblée générale est perçue comme une étape significative pour le Tchad, qui aspire à renforcer sa position au sein du continent africain et à promouvoir le sport comme un vecteur de développement social et économique.

Les préparatifs vont bon train pour accueillir dignement cet événement, et le COST s'engage à faire de cette assemblée un succès retentissant. Les attentes sont grandes, tant sur le plan organisationnel que sur celui des résultats électoraux, avec l'espoir que la candidature du Général Idriss Dokony Adiker soit soutenue par les autres nations participantes.

Le Tchad se prépare donc à écrire une nouvelle page de son histoire sportive en devenant un acteur clé dans la gouvernance sportive régionale.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR.

#Tchad: Le Tchad accueillera l'Assemblée Générale Élective de l'ACNOA Zone 4 en Janvier 2025
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#CEMAC: Le sommet extraordinaire de la CEMAC, un rappel à l'ordre ?

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Par M. Martin Ziguele Analyse personnelle : Le sommet extraordinaire de la CEMAC, un rappel à l'ordre ?
Le sommet extraordinaire des chefs d'État de la CEMAC, convoqué à Yaoundé le 16 décembre 2024 à l'initiative des Présidents Biya et Touadera, a mis en lumière une situation macroéconomique préoccupante pour la région.

Politique et société.
L'ancien premier ministre de la RCA, Martin Ziguélé, Expert en Assurance.

Inflation élevée, risque de surendettement et érosion des réserves extérieures sont autant de signaux d'alarme qui menacent les appuis budgétaires du FMI pour plusieurs pays membres. Si un engagement fort des autorités est indispensable pour redresser la barre, il convient de s'interroger sur les causes profondes de cette crise et sur la signification réelle de ce sommet.
Je me permets ici une analyse personnelle, qui sort des discours convenus. Je prie les spécialistes de la finance de bien vouloir excuser mes éventuelles approximations. À mon sens, la situation financière de la zone CEMAC n'est pas une surprise.

Elle est le fruit d'une longue histoire de mauvaise gestion, d'incompétence et d'un manque de vision de la part de nos dirigeants. Incapables de bâtir des économies résilientes, d'innover ou de valoriser nos richesses naturelles, ils se sont souvent contentés d'une gestion court-termiste, privilégiant la conservation du pouvoir à tout prix. Corruption, détournement de fonds publics, tribalisme et indifférence face aux difficultés de la population sont devenus des maux endémiques.
Ce sommet, à mon sens, est un rappel à l'ordre. Ces dirigeants, qui critiquent ouvertement l'influence de la France et multiplient les gestes symboliques, comme la fermeture de bases militaires françaises, se retrouvent aujourd'hui convoqués.

Cette convocation, orchestrée par les puissances occidentales, et en particulier par la France, rappelle brutalement à ces chefs d'État la précarité de leur pouvoir et la capacité de la France à influencer non seulement un pays, mais toute une sous-région. C’est une manière de leur dire : "Votre contestation a des limites."

Le moment serait-il venu pour ces dirigeants de prouver leur soi-disant souveraineté ? Sont-ils réellement prêts à refuser les injonctions et à envisager une indépendance monétaire ? J'en doute fort. L'histoire nous enseigne que, face à la pression, certains se montreront conciliants, voire serviles, implorant l'indulgence de la France.

Ce sommet est une illustration parfaite d’une réalité géopolitique : tant que les pays de la CEMAC ne parviendront pas à construire des économies solides et prospères, ils resteront dépendants des puissances extérieures. Nos dirigeants se trompent de combat en ciblant la France comme bouc émissaire.

Le véritable défi est économique. C'est en gagnant cette guerre économique que nos pays pourront gagner le respect du monde. L'adage est clair : « la main qui donne est toujours au-dessus de celle qui reçoit ». Tant que nous serons dépendants de l'aide et des financements extérieurs, nous serons soumis à leur influence. Il est temps de prendre nos responsabilités et de construire un avenir plus autonome pour la CEMAC.

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Publié dans Actualité, CEMAC

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#Football: Cérémonie des CAF Awards 2024 : Ademola Lookman et Brabra Banda couronnés meilleurs joueurs africains

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Hier, le Maroc a accueilli une cérémonie grandiose pour la remise des trophées aux meilleurs joueurs et joueuses africains lors des prestigieux CAF Awards 2024. Cet événement, qui célèbre l’excellence dans le football africain, a su captiver l’attention des passionnés du continent et au-delà.

Football Award2024
Cérémonie des CAF Awards 2024 : Ademola Lookman et Brabra Banda couronnés meilleurs joueurs africains.

L’attaquant nigérian de 26 ans, Ademola Lookman, a été couronné Joueur Africain de l’Année, une distinction qui vient récompenser ses performances exceptionnelles tout au long de l’année. Lookman, qui évolue actuellement dans un club européen de premier plan, a démontré une régularité et un talent indéniables sur le terrain, le propulsant parmi les meilleurs joueurs du continent. Ses dribbles incisifs, sa vitesse fulgurante et son sens du but ont fait de lui un atout majeur pour son équipe, ainsi qu’un exemple à suivre pour les jeunes footballeurs africains.

Du côté féminin, la Zambienne Brabra Banda a été honorée en tant que Meilleure Joueuse Africaine de l’Année. Son parcours remarquable et ses performances éblouissantes ont fait d’elle une figure emblématique du football féminin en Afrique. Banda a su briller tant au niveau national qu’international, contribuant significativement aux succès de son équipe avec des buts décisifs et des passes décisives. Cette reconnaissance marque une étape importante dans sa carrière et souligne l’essor du football féminin sur le continent.

La cérémonie a également été l’occasion de mettre en avant d’autres talents africains qui continuent de faire rayonner le football du continent sur la scène mondiale. Les discours inspirants des lauréats ont rappelé l’importance du travail acharné et de la détermination pour atteindre les sommets.

Les CAF Awards 2024 ont été une célébration mémorable du talent africain, mettant en lumière les réalisations d’Ademola Lookman et de Brabra Banda, tout en renforçant l’engagement de la Confédération Africaine de Football à promouvoir le football sur le continent. Les yeux sont désormais tournés vers l’avenir, avec l’espoir que d’autres étoiles émergeront et continueront d’écrire l’histoire du football africain.

Par Krata Josiane

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#Média: Grève de l'association des médias en ligne du Tchad

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

#Média: Un appel à la mobilisation et au dialogue a été lancé lors d'une dernière rencontre des membres de l'AMET pour faire un bilan des trois jours de grève lancée contre le Président de la HAMA, elle lance en unanimité un mot d'ordre de grève sèche et illimité...

Grève de l'Association des Médias en Ligne du Tchad : Un appel à la mobilisation et au dialogue Le Président de l'AMET, Bello B. Mana

La grève de l'Association des Médias en Ligne du Tchad (AMET) se poursuit, marquant une étape cruciale dans la lutte pour la liberté d'expression et l'autonomie des médias dans le pays. Selon les déclarations de son président, Bello Bakary Mana après l'évaluation des trois journées de grève d'avertissement, l'AMET reste déterminée à faire entendre sa voix face à la haute autorité des médias et de l'audiovisuel (HAMA), qui demeure silencieuse malgré les appels au dialogue.

Bello Bakary Mana a ouvert la porte à la HAMA, l'invitant à venir négocier et à reconsidérer sa décision qui a conduit à cette grève. Il a souligné que le silence des autorités pourrait avoir des conséquences graves, tant sur le plan national qu'international. "Nous informons l'opinion publique des répercussions qui pourraient découler de cette inaction", a-t-il déclaré, insistant sur l'importance d'une réponse rapide et constructive de la part des autorités.

Dans un élan de solidarité, Bello B. Mana a également appelé toutes les autres corporations de médias, y compris les télévisions et les radios, à se joindre à cette lutte commune. "Nous devons nous unir pour défendre nos droits et assurer un environnement médiatique libre et pluraliste", a-t-il affirmé à la sortie de salle.

Le président de l'AMET a rappelé que la loi 31 est claire et qu'il ne compte pas abandonner cette revendication. "Les médias en ligne gagneront, peu importe la durée de cette lutte", a-t-il promis, renforçant ainsi la détermination de ses membres à poursuivre leurs actions jusqu'à ce que leurs droits soient reconnus et respectés.

​​​​​​Le Président de la Hama, Abderaman BARKA D. A.

Cette situation met en lumière les défis auxquels sont confrontés les médias au Tchad, un pays où la liberté de la presse est souvent entravée par des décisions gouvernementales. La communauté internationale suit de près ces développements, espérant que le dialogue prévaudra et que les droits des journalistes seront protégés.

L'AMET continue donc son combat pour la défense de la liberté d'expression, avec l'espoir que les autorités répondront favorablement à leur appel à la négociation. La mobilisation des médias et du public pourrait s'avérer essentielle pour faire entendre leurs revendications et garantir un avenir meilleur pour le paysage médiatique tchadien.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR 

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#Syrie: La chute de la dynastie Assad : Une énigme politique au cœur du Moyen-Orient

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

L'armée syrienne est composée de sa famille depuis la veille des troubles de 2011, on voit cette armée l'a abandonné en se ralliant aux rebelles. La peur incarne Assad et fait partir sa famille et il prend la poutre d'escampette. Plus de 40 ans, le dictateur et sanguinaire Bachar Al- Assad reste introuvable depuis 04h du matin. Le premier ministre accepte de collaborer avec les nouveaux rebelles syriens.

Chute de Bachar Al Assad Le porte-parole des rebelles syriens.

Depuis le début de la guerre civile syrienne en 2011, la dynastie Assad, qui dirige le pays depuis plus de quatre décennies, a été confrontée à des défis sans précédent. La révolte populaire contre le régime de Bachar Al Assad a rapidement dégénéré en un conflit complexe impliquant des acteurs nationaux et internationaux. Alors que les rebelles ont gagné du terrain, la question de la survie de la dynastie Assad est devenue un enjeu politique majeur.

Au cours des dernières années, une coalition de groupes rebelles se reconstitue à tout moment contre lui et aujourd'hui cette coalition a réussi à faire fuir le président syrien, dont la présence sur le territoire est devenue incertaine. Les informations sur son emplacement sont rares et souvent contradictoires, alimentant les spéculations sur son sort. Certains rapports suggèrent qu'il se cache dans des lieux sécurisés, tandis que d'autres évoquent une possible fuite à l'étranger.

Le soutien indéfectible de la Russie à Bachar Al-Assad a été un facteur déterminant dans la dynamique du conflit. Moscou avait fourni une aide militaire cruciale, permettant au régime de continuer sur le terrain face aux forces rebelles. Ce soutien a également permis à Assad de maintenir une certaine légitimité sur la scène internationale, malgré les accusations de crimes de guerre et de violations des droits de l'homme.

Cependant, la situation sur le terrain reste volatile. Les rebelles, bien que fragmentés, continuent de mener des offensives contre les positions gouvernementales. De plus, l'intervention d'autres acteurs régionaux et internationaux complique davantage la situation. l'Iran, par exemple, a également soutenu le régime d'Assad, tandis que des groupes jihadistes ont profité du chaos pour étendre leur influence.

La chute potentielle de la dynastie Assad soulève des questions cruciales sur l'avenir de la Syrie. Qui pourrait prendre le pouvoir en cas de vacance du pouvoir ? Quels seraient les impacts sur la stabilité régionale ? Les craintes d'un vide politique et d'une guerre de succession sont omniprésentes.

Alors que le monde observe avec attention l'évolution de cette crise, l'absence de Bachar Al Assad demeure un symbole puissant des incertitudes qui planent sur l'avenir du pays. La communauté internationale continue d'appeler à une solution politique durable, mais le chemin vers la paix semble encore long et semé d'embûches.

Cette chute de la dynastie Assad est une question politique complexe qui ne se limite pas à la simple disparition d'un leader. Elle représente un tournant potentiel dans l'histoire de la Syrie et du Moyen-Orient, avec des conséquences qui pourraient résonner bien au-delà des frontières syriennes. Les rebelles appelle par la voix de son porte-parole, Tahid Al Aycham que les Syriens de l'étranger regagnent la Syrie libre et aussi du premier ministre Muhammed Al-Djalali se dit prêt à collaborer et transmettre le pouvoir d'un nouveau leadership qui sera proposé par le peuple syrien.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste reporter et photographe.

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