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#Tchad #Sécurité: Renforcement de la sécurité au Tchad, une coordination urgente après le ramadan

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Politique et Sécurité
Le président de la république, Mahamat Idriss Deby Itno


Quelques jours après la fin du Ramadan, le chef de l'État, le Maréchal du Tchad Mahamat Idriss Déby Itno, a convoqué une réunion cruciale avec les responsables de la sécurité nationale. Cette initiative fait suite à une inquiétude croissante concernant l'insécurité qui s'installe progressivement sur l'ensemble du territoire tchadien.


Au cours de cette rencontre, le président a souligné l'importance d'une coordination efficace entre les différentes entités de sécurité afin de faire face aux défis sécuritaires actuels. Il est essentiel de reconnaître le travail acharné et dévoué des forces de sécurité, qui s'engagent sans relâche pour garantir la protection et la tranquillité du peuple tchadien. Le ministre de la Sécurité, le Chef d'État-Major Général des Armées (CEMGA), le Chef d'État-Major de l'Armée de Terre (CEMAT), ainsi que toutes les autres corporations impliquées dans la sécurité, ont été salués pour leurs efforts constants.


Face à cette montée de l'insécurité, le chef de l'État a également insisté sur la nécessité d'une collaboration étroite entre les forces de l'ordre et la population. La participation active des citoyens est primordiale pour renforcer la sécurité dans les communautés. En effet, une population vigilante et engagée peut jouer un rôle clé en signalant des activités suspectes et en soutenant les initiatives de sécurité mises en place.

Cette réunion marque un tournant décisif dans la lutte contre l'insécurité au Tchad. Le gouvernement appelle tous les citoyens à s'impliquer dans cette démarche collective pour assurer un environnement sûr et paisible. Ensemble, avec l'engagement des forces de sécurité et la coopération de la population, il est possible de construire un Tchad plus sûr pour tous.


La route vers la sécurité est semée d'embûches, mais avec une volonté commune et des actions concertées, le pays peut espérer surmonter ces défis. Le moment est venu d'unir nos efforts pour protéger notre nation et garantir un avenir serein pour les générations à venir.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste reporter et photographe. Expert en communication digitale.

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#Environnement: La protection de l’environnement au Tchad, est un appel à la vigilance

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

La protection de l’environnement au Tchad est un urgent appel à la vigilance. Le ministère tchadien de l'environnement est éveillé sur les menaces et s'engage visiblement à la lutte. Le ministre Hassan Bakhit Djamous met un comité sur pied.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR
 

Environnement et Biodiversité
Une espèce protégée tué par les braconniers à Zakouma


Le réchauffement climatique représente un défi majeur pour notre planète, et le Tchad n’échappe pas à cette réalité. Alors que les effets du changement climatique se font de plus en plus sentir, il est impératif que le ministère de l’Environnement redouble d’efforts pour protéger notre écosystème fragile. Parmi les menaces les plus pressantes, la montée du braconnage constitue un fléau qui doit cesser immédiatement.

Dans les parcs de réserve de faune disséminés à travers le Tchad, les braconniers continuent de sévir, mettant en danger des espèces protégées malgré les lois en vigueur. Ces actes illégaux non seulement menacent la biodiversité, mais ils compromettent également l'équilibre écologique et le développement durable de notre pays. Les éléphants, rhinocéros, et autres espèces emblématiques sont particulièrement vulnérables face à cette menace grandissante.

Il est essentiel de comprendre que la protection de l’environnement et de la biodiversité ne doit pas être considérée comme une simple responsabilité gouvernementale, mais comme une affaire collective. Chaque citoyen a un rôle à jouer dans la préservation de notre patrimoine naturel. La sensibilisation et l’éducation des populations locales sur l’importance de la biodiversité sont cruciales. En effet, la conservation des espèces n’est pas seulement une question d’éthique, mais aussi de survie économique, car beaucoup de communautés dépendent directement des ressources naturelles.

Pour faire face à ce défi, le ministère de l’Environnement doit renforcer ses efforts en matière de surveillance et d’application des lois. Des patrouilles régulières dans les réserves, l’utilisation de technologies modernes pour détecter et prévenir le braconnage, ainsi que des partenariats avec des organisations non gouvernementales sont des mesures nécessaires pour lutter efficacement contre cette pratique illégale.

De plus, il est impératif d'impliquer les communautés locales dans les efforts de conservation. En leur offrant des alternatives économiques durables, telles que le tourisme responsable ou l’agriculture écologique, nous pouvons réduire leur dépendance au braconnage et promouvoir une coexistence harmonieuse entre l’homme et la faune.

La situation actuelle exige une mobilisation générale. La protection de notre environnement et de notre biodiversité est un enjeu qui transcende les frontières et les générations. En unissant nos forces, nous pouvons préserver les richesses naturelles du Tchad pour les générations futures. La lutte contre le braconnage est une priorité qui nécessite l’engagement de tous. Ensemble, agissons pour un avenir durable et respectueux de notre précieuse biodiversité.

LSA

Image du ministère de l'environnement.

Image du ministère de l'environnement.

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#Tchad #Assemblée_Nationale: Passation de service des nouveaux Secrétaires Généraux de l’Assemblée Nationale

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Assemblée Nationale
Passation de Service des Nouveaux SG de l’Assemblée Nationale

Le 02 avril 2025, la cérémonie de passation du bâton de commandement entre les Secrétaires Généraux 1er et 2ème adjoint entrants et sortants de l’Assemblée Nationale s'est tenue au Palais de la Démocratie. C’est l’honorable Patalet Geo, 2ème Vice-Président de l’Assemblée Nationale, qui a présidé la cérémonie d’installation, en présence des membres du Bureau, des directeurs généraux et techniques, ainsi que de plusieurs autres responsables parlementaires.
L’ancien Secrétaire Général 1er adjoint, Alghassim Khamis, actuel Secrétaire Général de l’Assemblée Nationale, a passé le commandement à son successeur, Mbaississem Koulayo, précédemment Directeur Général des Services Administratifs et Législatifs. Damsou NDah-Adiah épouse Mbatna a, quant à elle, passé le bâton à Fatimé Karima Hadjaro, précédemment assistante parlementaire au Comité d’Évaluation des Politiques Publiques, qui occupera désormais le poste de Secrétaire Général 2ème adjointe de l’Assemblée Nationale. Ils ont été nommés à ce poste par les décisions n°109 et 110 du Très Honorable Président de l’Assemblée Nationale, Ali Kolotou Tchaïmi.

تسليم وتسلم مهام الأمناء العامين الجدد للجمعية الوطنية
في 2 أبريل 2025، أقيم حفل تسليم وتسلم مهام بين الامين العام النائب الأول والنائبة الثانية للجمعية الوطنية، وذلك في قصر الديمقراطية. ترأس الحفل سعادة السيد باتاليت جيو، النائب الثاني لرئيس الجمعية الوطنية، بحضور أعضاء المكتب والمديرين العامين والتقنيين، بالإضافة إلى العديد من المسؤولين البرلمانيين الآخرين.
سلم الأمين العام النائب الأول  السابق، السيد القاسم خميس، الأمين العام الحالي للجمعية الوطنية، مهام منصبه إلى خلفه، السيد مبايسيسيم كولايو، الذي كان يشغل سابقًا منصب المدير العام للخدمات الإدارية والتشريعية. كما سلمت السيدة دامسو داه-أدياه حرم مباتنا مهام منصبها إلى السيدة فاطمة كريمة هجرو، التي كانت تعمل سابقًا مساعدة برلمانية في لجنة تقييم السياسات العامة، والتي ستشغل الآن منصب الأمين العام النائبة ثانية  للجمعية الوطنية. تم تعيينهم في هذه المناصب بموجب القرارين رقم 109 و 110 الصادرين عن سعادة رئيس الجمعية الوطنية، السيد علي كلوتو تشايمي.

#AN

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#Tchad #Education: Le naufrage du Sud, ma terre natale, de phare de l’éducation à mirage perdu

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Éducation
Le Lycée Collège Saint Charles Lwanga


Le Sud du Tchad, autrefois considéré comme le pilier de l’éducation nationale, n’est plus que l’ombre de lui-même. Ce territoire, qui a forgé des générations d’élites et sculpté les esprits les plus brillants du pays, se retrouve aujourd’hui à la dérive. Le déclin est brutal, vertigineux, presque absurde tant l’héritage éducatif était riche. Ce qui était autrefois une pépinière de talents n’est plus qu’un champ de ruines où le savoir se meurt lentement. Mais que s’est-il passé pour que ce temple de l’excellence s’effondre ainsi ?

Le drame du Sud ne s’est pas joué en un jour. C’est une lente agonie, savamment orchestrée par un cocktail toxique de négligence, de compromissions et d’incompétence. Là où l’enseignement était un sacerdoce, il n’est plus qu’un métier alimentaire. Les enseignants d’antan, figures imposantes du savoir et du respect, ont laissé place à une génération désorientée, coincée entre désillusion et précarité. L’école, jadis sanctuaire du mérite, est devenue un simple passage obligé vers un diplôme vidé de sa substance.

Le Lycée Ahmed Mangué


Les infrastructures scolaires, autrefois florissantes, sont aujourd’hui délabrées. Les salles de classe, mal équipées et souvent surpeuplées, ne permettent plus aux élèves de s’épanouir. Les manuels scolaires sont obsolètes, et les ressources pédagogiques font cruellement défaut. Dans ce contexte, comment espérer transmettre un savoir de qualité ? Les enfants du Sud, qui devraient être les architectes de leur avenir, se retrouvent piégés dans un système qui les abandonne.

Pire encore, ceux qui en ont tiré profit hier semblent aujourd’hui étrangement muets face à la débâcle. Les anciens cadres, ces brillants produits du système éducatif sudiste, ont-ils oublié d’où ils viennent ? Ont-ils abandonné leur devoir de transmission ? Où sont passés les mentors, ces gardiens du flambeau intellectuel qui, autrefois, façonnaient l’avenir du pays ? Leur silence est assourdissant et témoigne d’une déconnexion alarmante entre les générations.

Il est temps d’ouvrir les yeux sur cette réalité tragique. Le Sud du Tchad ne peut pas se permettre de rester dans l’oubli. Une mobilisation collective est nécessaire pour redresser la barre. Les acteurs politiques doivent prendre conscience de l’importance cruciale de l’éducation et investir dans la formation des enseignants, la réhabilitation des infrastructures et la mise à jour des contenus pédagogiques.

Le Lycée Collège Humanité


Les anciens élèves doivent également jouer un rôle actif dans cette renaissance. Ils ont le devoir de revenir sur leurs terres natales et d’apporter leur expertise pour aider à reconstruire un système éducatif digne de ce nom. L’éducation est un héritage précieux qui doit être transmis et préservé.

Ce naufrage du Sud est un appel à l’action. Il est temps de raviver la flamme de l’éducation et de transformer ce mirage perdu en une réalité tangible. Ensemble, redonnons au Sud du Tchad sa place de phare de l’éducation nationale et faisons en sorte que les générations futures puissent bénéficier d’un savoir riche et diversifié. Le destin de notre terre natale en dépend.

Par Guerdi Oubei et LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR.

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#Tchad #Société: L'État doit agir et mettre fin au carnage des camions-bennes au Tchad

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Sécurité routière au Tchad.
Louba-heindé Séraphin Adoumngar, journaliste indépendant, reporter, photographe et blogueur. Expert en communication digitale.

Le Tchad traverse une période sombre, marquée par des accidents tragiques causés par la circulation de camions-bennes dans les rues de ses villes, en particulier à N'Djamena. Les images de ces engins lourds déferlant sur les routes, souvent conduits par des chauffeurs imprudents, sont devenues trop familières. L’inaction des autorités face à cette situation alarmante n’est plus une option. Il est impératif que l'État assume ses responsabilités et prenne des mesures concrètes pour protéger la vie de ses citoyens.

Récemment, le ministre de la Sécurité, le général Ali Akabache a exprimé sa volonté d'encadrer la circulation des gros porteurs dans toutes les villes du pays. Cette déclaration, bien que bienvenue, doit être suivie d'actions tangibles. La mise en place de contrôles stricts est essentielle pour réglementer la circulation de ces camions et sanctionner les chauffeurs imprudents ainsi que leurs employeurs négligents qui encouragent et soutiennent sous l'ombre. Il est inacceptable que des vies soient mises en danger en raison de l'irresponsabilité de quelques-uns.

Les autorités doivent également cesser de soutenir ceux qui choisissent de défier les décisions gouvernementales. Il est temps que les responsables comprennent que leur rôle est de protéger la population, et non de fermer les yeux sur les comportements dangereux qui mettent en péril la vie de nombreux citoyens. Les policiers, en particulier, doivent faire preuve de rigueur et d'impartialité dans l'application des lois. Chaque jour, des familles pleurent la perte d'un être cher à cause d'accidents évitables. Il est crucial que ces tragédies cessent.

La question qui se pose est : pourquoi les propriétaires de camions-bennes continuent-ils à défier les décisions des plus hautes autorités du pays ? Cette insouciance peut s'expliquer par un manque de sanctions dissuasives et par une culture d'impunité qui semble prévaloir dans certains secteurs. Il est donc urgent que l'État mette en place un cadre légal robuste, accompagné de mesures punitives claires pour ceux qui enfreignent les règles.

Il est temps que le Tchad entier prenne conscience de l'urgence de la situation. L'État doit agir avec détermination pour mettre fin à ce carnage sur les routes. Les mesures annoncées par le ministre de la sécurité doivent se traduire par des actions concrètes et efficaces. La vie des citoyens ne doit pas être sacrifiée sur l'autel de l'indifférence. Ensemble, faisons en sorte que nos routes soient plus sûres pour tous.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste reporter et photographe. Expert en communication digitale.

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#Racisme: 60ème anniversaire de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale : les étudiants africains toujours victimes de racisme systémique en Russie

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Racisme
Non au racisme dans le monde


Ce mois de mars, la communauté internationale célèbre le 60ème anniversaire de la Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale. Malgré les discours sur l’égalité, trop de jeunes Africains meurent encore dans des zones de tension loin des frontières du continent. Par exemple, désespérés, trop de jeunes Africains sont encore envoyés, à leur insu, mourir sur le front ukrainien. Une vidéo diffusée en mars 2025, montrant les derniers instants d’un mercenaire africain attaché et abandonné dans le froid par les Forces russes, témoigne de façon glaçante du sort qui leur est réservé.
Si les autorités russes affichent une volonté de suppléer les Occidentaux en Afrique au nom d’une amitié Sud-Sud, sur le terrain, la réalité est bien plus sombre.  Le traitement réservé aux immigrés africains en Russie est déploré par de nombreuses organisations dont Amnesty International et Human Rights Watch (HRW), confirmant ainsi l’existence d’une négrophobie systémique.

En conflit avec Kiev depuis 3 ans, Moscou a officiellement installé des bureaux de recrutement au sein des principaux centres d’accueil pour migrants dans le pays. Menacés d'expulsion ou d’emprisonnement, de nombreux Africains signent des contrats souvent trompeurs, rédigés uniquement en russe. Selon un rescapé centrafricain, les recrues africaines sous informées s’engagent au sein de la milice Wagner, sans vraiment mesurer l’ampleur du danger.

Le fléau touche aussi les étudiants africains. Perte de bourse, augmentation soudaine des frais de scolarité, le climat de menaces est pesant.

Un somalien de Wagner, fait prisonnier en Ukraine, raconte : « J’ai été envoyé en première ligne à peine un mois après mon engagement et sans aucune formation militaire. On m’avait pourtant promis que je resterai en territoire russe et que seuls les soldats expérimentés partaient en Ukraine ».

Le 15 mars 2025, une vidéo choquante diffusée sur les réseaux sociaux a ému la toile car elle mettait en lumière le traitement inhumain réservé aux recrues africaines. Un homme noir, attaché et abandonné dans des conditions précaires, dans le froid, en pleine nuit. Le soldat aurait été utilisé comme « bouclier humain », une tactique cruelle visant à épuiser les munitions ukrainiennes.

Selon, Valens Maniragena, représentant de l'Organisation humanitaire Icumbi basée à Saint-Pétersbourg, la société russe est caractérisée par des stéréotypes profondément enracinés à l’égard des Africains qualifiés de « nègres », « singes », « vendeurs de drogue », « délinquants » ou encore « porteurs du sida ».

Hissa Baldé, un étudiant guinéen ayant passé 5 ans en Russie témoigne « Vivre en Russie en tant que Noir est extrêmement difficile. Quand vous sortez dans la rue, les gens vous traitent de singe. Il y a plein d’étudiants qui se sont fait tuer à cause de leur couleur de peau seulement… Il ne faut jamais marcher seul dans la rue ».

Les agressions physiques sont devenues monnaie courante. L'exemple le plus frappant est le meurtre brutal de François Ndzhelassili, un doctorant gabonais, poignardé à mort en 2023 à Ekaterinbourg par un groupe d'hommes proférant des insultes racistes. Ce cas n'est malheureusement pas isolé ; il y aurait entre 30 et 50 assassinats racistes commis chaque année en Russie.

Ainsi, à l’heure du 60ème anniversaire de la Convention internationale contre le racisme, le Kremlin ne semble toujours pas tenir ses engagements aux yeux de la communauté internationale.
 

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#Tchad #Sécurité: Règlementation des engins à deux et quatre roues, le Ministre de la sécurité publique lance un avertissement

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Sécurité routière au Tchad.
Le ministre de la sécurité, le général Ali Akabache


Dans un souci de renforcer la sécurité publique et de garantir le respect des lois en vigueur, le ministre de la Sécurité publique, le général Ali Ahmat Aghabache, a émis un appel à tous les usagers des engins à deux et quatre roues. Il les exhorte à se conformer strictement à la réglementation relative à l'immatriculation et à l'utilisation de ces véhicules.

Le ministre a souligné plusieurs points cruciaux qui nécessitent une attention immédiate. Les véhicules sans immatriculation, ceux portant de fausses plaques, les engins non dédouanés, ainsi que ceux dotés de vitres teintées sans autorisation sont expressément interdits. En outre, il est rappelé que le port illégal d’armes à feu, l’usage de projecteurs modifiés et le transport en amazone sont également prohibés.

Pour permettre aux usagers de régulariser leur situation, un délai de trois semaines a été accordé, s’étendant du 3 au 24 avril 2025. Cette période de grâce vise à encourager les conducteurs à mettre leurs véhicules en conformité avec la législation en vigueur.

Le ministre Aghabache a également demandé aux agents de sécurité de prendre leurs responsabilités face aux récalcitrants. Il est impératif que des mesures soient prises pour assurer le respect des règles établies et garantir la sécurité de tous.

Cette initiative vise à réduire les comportements dangereux sur les routes et à promouvoir une circulation plus sûre pour tous les usagers. Le ministre appelle donc à la coopération de chacun afin de contribuer à un environnement routier plus sécurisé.

 

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste, reporter et photographe

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#Tchad: Dingamnayal Nabaye Charlot figure parmi les les membres du CNS du Mandoul Occidental

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Une décision Nº046 prise par le secrétaire général du parti Mouvement Patriotique du Salut (MPS), M. AZIZ MAHAMAT SALEH, désigne les membres du Conseil National du Salut (CNS) dont Dingamnayal Nabaye Charlot figure parmi ses conseillers.

Politique et société.
M. Dingamnayal Nabaye Charlot

Politologue, consultant et chercheur, cadre politique du MPS, depuis le lycée de Koumra, il incarne la personnalité politique du MPS dans la province du Mandoul. Natif de la sous-préfecture de Bebopene, département du Mandoul Occidental, Dingamnayal Nabaye Charlot se distingue par son franc-parler et son engagement dans le milieu politique du MPS.

Combattu, calomnié, voire persécuté selon ses détracteurs, Nabaye Charlot se réjouit toujours dans l'adversité, prenant le dessus sur les difficultés. L'homme s'attache aux valeurs sociales et démocratiques qui fondent le MPS.

Deux fois candidat non investi aux élections locales, Nabaye Charlot représente une ombre effrayante pour ses détracteurs dans le Mandoul. Pourtant, lui-même se dit très confiant dans son engagement politique, car pour lui, militer au sein d'un parti tel que celui au pouvoir exige plus d'équité et de consensus. Défendre le Mandoul dans sa globalité est l'engagement de cet homme.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR 

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#Tchad: Le silence stratégique du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno face aux menaces du Général Yasser Al-Atta

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Politique et société.
Le président de la république, Mahamat Idriss Deby Itno


Dans un contexte de tensions croissantes au Tchad et dans la région, le silence du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno face aux provocations du général Yasser Al-Atta suscite de nombreuses interrogations. Ce silence, loin d'être anodin, revêt une signification profonde pour un homme qui a toujours veillé à la sécurité et à la paix de son pays. Mahamat Idriss Déby, héritier d'un héritage militaire solide, est reconnu pour sa capacité à protéger ses concitoyens, ne laissant jamais une fourmi mordre un citoyen tchadien.


Le Maréchal, tout comme son père, le défunt président Idriss Déby Itno, est un homme de terrain, un stratège aguerri qui sait que chaque action doit être mesurée. Sa discrétion dans ses stratégies militaires est bien connue, et le monde entier a pu constater son efficacité sur le terrain. Sa présence récente au Mali, où il a mené des opérations contre les terroristes et djihadistes, ainsi que son engagement contre la secte Boko Haram, témoignent de son dévouement à la lutte contre l'extrémisme violent.

La menace lancée par Yasser Al-Atta ne doit pas être prise à la légère. Cependant, la réponse du Maréchal, bien qu'attendue, pourrait être d'une ampleur regrettable pour ceux qui cherchent à déstabiliser la région. Mahamat Idriss Déby a toujours fait preuve d’une grande prudence et d’un sens aigu de la diplomatie. Son approche envers les crises régionales est marquée par un désir sincère de paix et de stabilité.


Il est important de rappeler que le Maréchal a été le seul dirigeant à se porter volontaire pour contribuer à la paix au Soudan en pleine crise armée. Son humilité et son respect envers le peuple soudanais ont été largement salués, à tel point que le Tchad a su maintenir une position respectable dans ce conflit complexe. Aujourd'hui, le pays bénéficie d'une reconnaissance internationale pour son rôle constructif dans la recherche de solutions durables.

Les agitations du général Yasser Al-Atta doivent donc être prises avec sérieux, mais également avec prudence. Le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno sait qu'une réponse réfléchie est essentielle. Il est crucial que les acteurs régionaux comprennent que toute escalade des tensions pourrait avoir des conséquences désastreuses non seulement pour le Tchad, mais pour l'ensemble de la région.


Il faut retenir que le silence du Maréchal n'est pas un signe de faiblesse, mais plutôt une indication de sa stratégie réfléchie et calculée. Dans un monde où les conflits se multiplient et où les enjeux géopolitiques sont de plus en plus complexes, la sagesse et la retenue peuvent s'avérer être les meilleures armes. Le Tchad, sous la direction de Mahamat Idriss Déby Itno, continue de naviguer dans ces eaux tumultueuses avec détermination et discernement.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste reporter et photographe. 

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#Santé: Le Paludisme au Tchad : L'importance des moustiquaires imprégnées pour la protection des familles

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Santé
Le Tchad fait face au paludisme


Le Tchad, pays d'Afrique centrale, fait face à un fléau de santé publique majeur : le paludisme. Cette maladie, transmise par les piqûres de moustiques infectés, représente une menace sérieuse pour la santé des populations, en particulier dans les zones rurales où l'accès aux soins médicaux est limité. Chaque année, des milliers de cas sont signalés, et le paludisme demeure l'une des principales causes de morbidité et de mortalité, en particulier chez les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes.

Face à cette situation alarmante, la lutte contre le paludisme est devenue une priorité pour le gouvernement tchadien et les organisations internationales de santé. Parmi les mesures préventives les plus efficaces figure l'utilisation de moustiquaires imprégnées d'insecticide. Ces moustiquaires, qui offrent une protection durable contre les piqûres de moustiques, sont un outil essentiel pour réduire la transmission du paludisme.

Pourquoi les Moustiquaires Imprégnées ?

Les moustiquaires imprégnées sont conçues pour créer une barrière entre les individus et les moustiques porteurs du parasite Plasmodium, responsable du paludisme. En dormant sous une moustiquaire, les familles peuvent considérablement diminuer leur risque d'infection. De plus, l'insecticide contenu dans le tissu des moustiquaires agit non seulement en repoussant les moustiques, mais aussi en les tuant au contact. Cela contribue à réduire la population de moustiques dans la communauté, offrant ainsi une protection supplémentaire à ceux qui ne dorment pas sous une moustiquaire.


Un Appel à l'Action

Il est impératif que chaque famille tchadienne prenne conscience de l'importance d'utiliser des moustiquaires imprégnées. Les autorités sanitaires encouragent la distribution de ces moustiquaires dans les zones à risque et sensibilisent la population sur leur utilisation correcte. Chaque membre de la famille doit être impliqué dans cette lutte ; il est crucial que les moustiquaires soient installées correctement et utilisées chaque nuit.

Les campagnes de sensibilisation doivent également aborder d'autres mesures préventives, telles que l'élimination des eaux stagnantes où les moustiques se reproduisent, le port de vêtements longs et clairs, et l'utilisation d'insecticides dans les habitations. La combinaison de ces stratégies peut contribuer à réduire significativement le nombre de cas de paludisme.


Conclusion

Le paludisme est un défi majeur au Tchad, mais avec des efforts concertés et l'engagement de chaque famille à utiliser des moustiquaires imprégnées, il est possible de faire reculer cette maladie. La protection commence à la maison, et chaque geste compte dans la lutte contre le paludisme. Ensemble, nous pouvons bâtir un avenir où le paludisme ne sera plus une menace pour nos enfants et nos communautés. Protégeons-nous, protégeons nos familles !

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste, reporter et photographe. Expert en communication digitale et en urgence sanitaire au Tchad.

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Publié dans OMS, UNICEF, COMMUNICATION, Tchad

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