seraphinnews.over-blog.com

L'ouverture de la première session des formations sur les techniques digital organisée par la MMT et l'entreprise millicom Tigo.

Les journalistes de chaque organe des médias présent dans la salle Chari Logone de Tigo. L’objectif de cette première série de formation est de voir au claire les enjeux de la communication interactives à l'ère des réseaux sociaux et des nouveaux médias.

Plusieurs thèmes seront abordés entre autres: la publication et la technique de rédaction sur l'internet et aussi de savoir comment écrire sur le net.

Selon le formateur Rachid Jankari, Journaliste - Directeur associé Agence digitale Storm Like & http://africa-diabetes.com, de son 20 ans d'expériences en journalisme, démontre comment la vie des journalistes a changé face à la numérique avec des exemples précis sur le métier. Il a aussi interpellé les journalistes tchadiens de faire usage au monde numérique qui est aujourd'hui la porte d'ouverture de cet noble métier.

Par Séraphin Louba

On est bien traité et ordonné dixit un fonctionnaire de l‘Etat au recensement physique instauré par les services des finances et de la fonction publique.

Selon les normes, c’est de vérifier l’aptitude des agents de l’Etat qui sont en service effectif et qui perçoivent leur salaire chaque fin de mois. Alors 3 centres de la capitale sont disponibles depuis 5 jours à savoir : l’Ecole BOLOLO, l’Ecole du Centre et le Lycée Féminin. Pour démarrer la procédure, les affiches sont un peu tortueuses, mais les choses se sont repréciser peu à peu et dans les jours suivants, tout sera bon disait un responsable du recensement à l’Ecole BOLOLO. Selon lui, tout début est difficile mais à l’heure présente, les choses avances et s’organise mieux. Des remarques et des témoignages montre que le guichet du centre des autres centres citez. Ce guichet numéro 1 qui commence avec les matricules de 114 000 à 128 000 est à jour et respectable selon les logiques instaurées pour ce travail. Certains de leurs points de vue, disent que les agents recenseurs sont un  peu lents, mais la majorité est satisfaite de leur organisation disait-elle. Pour le Chef d’Equipe et contrôleur des numéros Matricules M. MAHAMAT SALEH ABDALLAH LEDINE c’est un travail qui demande trop de sérieux pour n’est pas  frustré les uns, les autres alors, tous somme mis au travail y compris les fonctionnaires eux-mêmes. Les agents de mon équipe présents au recensement nous aident ponctuellement à accomplir nos tâches et c’est ce qui nous conduit vers l’avant. Autre chose qui nous ramène encore peu en arrière, c’est la sortie du Président la République le mercredi à l’ONECS, qui fait d’actualité selon ses pertinentes remarques à l’intention de l’information précédant, qui montre que ce recensement est physique et non une audite des diplômes mais à notre niveau, on le fait avec ceux qui sont déjà préparé en attendant les notes de nos chefs hiérarchiques pour des éventuels changements des procédures. Alors la remarque est positive quand déjà à 2h du matin les gens se positionnent pour vite s’inscrire sur la liste et se faire recenser voir certains qui passent leurs nuits là, montre que le travail et la volonté sont visibles, car chaque jour 100 fonctionnaires doivent passer et percevoir leur salaire dont 40 femmes et 60 hommes.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin

Une entreprise de la téléphonie mobile Tigo, offre aux agents de l’Etat gérer par l’Ecobank-Tchad, des possibilités louables en les offrants des Téléphones Tigo à crédit. Des T350A compatible 2G avec des caractéristiques impressionnantes résistantes à seulement 9000f CFA sans aucune intérêt, Tecno R6 Smartphones 4G Android 7.0 avec les caractéristiques élevées de la dernière Génération et qui dispose aussi de Processeur Quad-core 1.3GHz à la portée de chaque fonctionnaire avec un prix de 62 000f CFA avec des énormes cadeaux de bonus de 1024Mb plus 1 000f CFA/mois pendant 6 mois gratuit. Tigo met aussi des Tablette de marque Alcatel solide et résistante disposant d’un Processeur Duel core : 1.3GHz aussi au prix promotionnel de 60 000f CFA, 1024 Mb plus 500 SMS/mois avec une durée de 6 mois sans aucune majoration. Plus loin, plus proche, Tigo voit les difficultés de la population tchadienne, surtout les cadres et les fonctionnaires ayant des soucis majeurs à l’ère numérique, leur vole au secours avec sa partenaire Ecobank. Beaucoup des choses sont aussi dispos grâce à Tigo en matière de l’internet tels que : les partages des réseaux, la création des comptes en ligne, des achats, des applications etc. Tigo donne 3 à 6 mois les payements à ses fonctionnaires et juste des forfaits 500f CFA comme frais de la composition des dossiers afférents à la demande de chaque marque demandée. Pour plus d’infos rendez-vous l’agence principale d’Ecobank sise à l’avenue Charles de Gaulle. Aussi les sites : td.tigo.com, Facebook : tigo.tchad, Twitter : tigotchad et Skype : 4040 c’est vivre avec Tigo !

Par LOUBA-HEINDE Séraphin

Le Tchad se dotera d’ici la fin de l’année 2018, d’une compagnie aérienne nationale. Dans ce cadre, le président de la République, Idriss Deby Itno a reçu en audience ce jeudi 2 août 2018, le directeur exécutif d’Ethiopian Airlines. Au centre de leurs échanges, le dossier du projet de la future compagnie aérienne tchadienne.

Expérimentée dans l’aviation, la compagnie Ethiopian Airlines est partenaire dans la mise en œuvre de ce projet. Celui-ci est bien avancé d’après le directeur exécutif de la compagnie éthiopienne, Djibrine Marwan. C’est cela qui a motivé la rencontre avec le chef de l’Etat. En outre, certains aspects ont constitué l’essence de cette audience. « Ethiopian Airlines en partenariat avec le Tchad est en train de travailler sur la création d’une compagnie aérienne nationale tchadienne. Les choses ont commencé depuis janvier dernier et là ça avance très bien. On est venu voir le président pour discuter de certains aspects techniques.

« Le Tchad verra sa première compagnie volée en octobre prochain » informe le directeur exécutif, Djibrine Marwan. Cette compagnie nationale desservira les villes tchadiennes mais aussi les villes de la sous-région. Des pays comme le Cameroun ou la Centrafrique verront les avions de la nouvelle compagnie se poer sur leurs tarmacs.

Source tchadinfo

Jean-Pierre Bemba, ancien vice-président congolais, a atterri mercredi à l'aéroport de Kinshasa après plus de onze ans d'absence en RDC, où il veut déposer dès jeudi sa candidature à la présidentielle. Plusieurs milliers de personnes l'attendaient, dans une ambiance électrique.

Onze ans après avoir quitté le pays, cette fois, Jean-Pierre Bemba est de retour. Arrivé dans la matinée à l’aéroport de N’Djili, l’ancien vice-président congolais n’est finalement arrivé dans l’une de ses résidences qu’en fin d’après-midi. Entre-temps, son périple aura électrisé la capitale congolaise, entre foules en liesses, déploiement massif de forces de sécurité, rumeurs et gaz lacrymogènes.

Arrivé à 8h50, heure locale (9h50, heure de Paris), Jean-Pierre Bemba a quitté l’aéroport un peu plus d’une heure plus tard. Sous bonne escorte policière, son cortège – un comité restreint notamment composé d’Eve Bazaiba, la secrétaire générale du MLC, de Jean-Pierre Lisanga Bonganga, le ministre des Relations avec le Parlement, d’une délégation de sénateurs de son parti, dont Jacques Djoli, ainsi que son épouse -, a commencé à se frayer un passage au travers d’une foule compacte.

Ils sont en effet plusieurs milliers à être venus accueillir Jean-Pierre Bemba à la sortie de l’aéroport international de N’Djili, à Kinshasa. Plus de 100 000 personnes étaient présentes selon Fidèle Babala, le porte-parole du MLC. Dans la foule, des militants du Mouvement de libération du Congo (MLC), le parti de l’ancien vice-président, mais aussi des drapeaux d’« Ensemble », le mouvement de Moïse Katumbi. Si la foule scandait le nom de Bemba, de nombreux slogans hostiles à la Cour pénale internationale (CPI) se sont également fait entendre. La foule augmentait au fur et à mesure que le cortège de Bemba s’éloignait des installations aéroportuaires.

Gaz lacrymogènes

Après avoir progressé lentement dans cette marée humaine pendant un peu plus d’une heure, le cortège a subitement accéléré, vers 12h30. La police a tiré des gaz lacrymogènes pour disperser la foule et ouvrir le passage. Le véhicule à bord duquel se trouvait Bemba, encadré de véhicules des forces de sécurité, a alors rapidement accéléré.

Après une période de flottement concernant sa destination finale, au cours de laquelle des responsables de son parti se sont même inquiétés, Jean-Pierre Bemba est arrivé quelques minutes plus tard au siège provincial du MLC, sur l’avenue de l’Enseignement, en face du stade des Martyrs de Kinshasa.

Là encore, une foule impressionnante l’attendait, de plus en plus de militants convergeant devant le bâtiment à mesure que les minutes passaient. Vers 14h30, Bemba est apparu brièvement à la fenêtre du siège du bâtiment du MLC. Les deux mains en l’air, il a adressé un salut d’au revoir à la foule, qui a commencé à quitter les lieux pour se diriger vers la place Assanef, près de la Cathédrale de Kinshasa, point de rendez-vous fixé aux militants.

Sur place, la situation était très tendue. Un très important dispositif policier avait été déployé. De nombreuses personnes étaient également sur place, pour attendre l’arrivée de Jean-Pierre Bemba, ou attroupées le long de l’avenue du 24-Novembre, pour suivre ensuite son convoi.

Arrivé sur place, le convoi de Jean-Pierre Bemba a d’abord été stoppé par les forces de sécurité, et des négociations se sont engagées avec les responsables de la police, qui ont accepté de laisser l’ancien vice-président entrer dans la commune de Gombe, où se trouve l’une de ses résidences – mais pas celle se trouvant à proximité du palais présidentiel, comme le souhaitait Bemba à l’origine -, à condition de fouiller le véhicule.

C’est donc entouré d’une petite délégation que l’ancien vice-président congolais, notamment accompagné de son épouse, a finie par clore son long périple dans la capitale congolaise.

Source Web, Seraphinnews.com
 

Le sujet est brulant et très important selon tous les intervenants présent dans la salle multimédia de la MMT. Selon M. Brahim Ali Seid, le gouvernement tchadien en collaboration avec le UNCHR ont fait de leur mieux pour atténuer la situation de l'apatridie pour chaque personne ait ou appartient à un pays. Il réaffirme que l'UNHCR est partenaire énorme dans la situation car sa contribution sur tout le plan a montré comment les choses ont avancé depuis que les deux pays voisins sont en guerre et les retournés ou encore les réfugiés souffrent de la cause. Il interpelle les hommes de médias à les aider pour l'atteinte de l'objectif signé par le Tchad pour 2024 car sans la presse les messages resterons bas. Pour Ody, la responsable en communication du UNHCR, le défi reste à relever selon les chiffre annoncé car le travail abattu continuera son chemin car depuis 2003 à nos jours, l'UNHCR et le gouvernement n'ont baissé le bras à cette lutte d'apatridie. Chaque personne vivante sur la planète terre doit appartenir à un pays avoir sa nationalité pour remplir son devoir civique etc. Plus des personnes sont resté encore sans un papier de reconnaissance d'un pays. Elle invite les médias à faire leurs travail de sensibilisation non seulement dans leur organe mais de sortir sur le terrain pour appuyer l’État à  mieux aboutir selon la convention signée pour 2024. Pour le Manager du TSM, Odina Jean Philippe, le travail du journaliste n'est pas limité. Il demande aux hommes des différents médias a avoir deux choses pour mieux accomplir leur tâche qui sont: la technique et l’éthique. Plus loin, il demande un travail de sérieux que cela soit en presse écrite , en ligne, la radio, la télévision et les réseaux sociaux etc. qu'on le fasse bien pour que chaque personne dispose une nationalité digne. 

Par Séraphin A.

Diguel du centre, N'Djari et Ouara ont bénéficié d'une formation sur la radicalisation et l'extrémisme violent. Des jeunes Lycéens et collégiens du 8^ème arrondissement puis certains responsables ont suivi une formation de qualité au complexe scolaire de Ouara.

 Bien connue de son impact dans les règlements des conflits et les affaires du terrorisme, l’ONG Action Tchadienne pour la Promotion des Initiatives Rurales (ATPIR) sait avertir la population à travers plusieurs stratégies de communication. En collaboration avec l’Union Européenne,  SWISSAID, UNICRI et le gouvernement tchadien, ont mit sur pied une base un système communicatif bien adaptée en s’inspirant de la situation des menaces terroristes qu’à connue le quartier Diguel en 2015 au camp d’instruction de la Police Nationale.

Plusieurs formations ont été organisées dans les quartiers du 8^ème arrondissement ainsi que dans des établissements scolaires publics et privés, indiquant les signes et les systèmes d’alertes en cas des attentats suicides. ATPIR par son Coordonnateur a mis sur pied des comités d’orientations sur le renforcement des communications et de sensibilisations de la population pour avertir des phénomènes tels que : la radicalisation et l’extrémisme selon ce que vis le Nigeria et le Mali. Ce projet vise à mettre au courant la population du 8^ème qui est la première victime de la situation, à faire preuve maintenant des réalités sur le terrorisme. Selon le Coordonateur de l’ATPIR, M. DJERANODJI Serge MBATITANGARTI, c’est un projet de renforcement de résilience communautaire contre l’extrémisme violent et de la radicalisation des jeunes face aux conflits locaux dans la commune du 8^ème arrondissement de la ville de N’Djamena, en ouvrant les travaux. Il relate que cet arrondissement dispose une population très jeune et aussi très vaste auquel tous s’intègre facilement c’est pourquoi des attentats perpétrés ont eu lieu. Alors il ne sera pas bon de venir à leur rescousse.

Dans le même sens, le Spécialiste en Population et Résolution des Conflits, M. PASSOUA RIGOMBA, dans son intervention face aux jeunes a laissé entendre que la jeunesse du 8^ème est très nombreux et le manque des initiatives de sensibilisation et communication peuvent jouer négativement sur leur mental à mieux cerner ses fléaux. Aussi il révèle que les responsables des dits quartiers du 8^ème doivent se doter d’une synergie de collaboration afin de garder les jeunes à l’abri de la radicalisation et de l’extrémisme violent. Pour Jean Philippe, les chiffres montrent au bout du doit comment les eux-mêmes doivent se mobiliser par des moyens de communication aujourd’hui à la portée de tous, en donnant des exemples sur les réseaux sociaux et dont les smartphones etc. permettent de se communiquer en masse et aussi d’agir. Très content de la formation, les jeunes ont à tour de rôle posé des questions d’éclaircissement en faisant le tour d’horizon sur la radicalisation et l’extrémisme violent. Cette journée d’échange a finie par une élection des bureaux dans les trois Lycées puis un bureau de coordination pour le trio. Très satisfait, le Coordonateur de l’ATPIR, M. DJERANODJI Serge MBATITANGARTI a félicité le courage de tout un chacun dans l’implication de cette lutte puis a interpellé ses jeunes à la vigilance et le courage.

Par L. Séraphin

A l'espace TALINO Manu, le grand AHUNTA Jess Nuassem alias "JESS RA" venue du pays de l'oncle SAM, a animé une conférence de presse devant presque tous les rastas de la capitale y compris les sympathisants devant une masse médiatique tchadienne. Doué de la connaissance du rasta, Jess Ra dispose des dreadlocks de plus d'un mètre (100cm) de chevelure et 30cm de la barbe. Jess Ra a montré le chemin du rasta aux autres qu’il appelle à tout moment les amis sans aucune différence de catégorie d’âge tout comme de rang social. Assis, avec sa compagne de tous les jours au pays de toumai qu’à découvert son petit frère, cette canne ne tombe pas et ne s’absente de sa main du grand artiste de reggae. La question que tout le monde se pose autour de lui, est: il sort d’où avec cette canne, est-il un tchadien, est-ce que ce sont des vrais cheveux etc. ? Jess Ra est né de père de mère de la nationalité tchadienne. Son dreadlocks date de plus de 40 ans dont les explications sont à lui seul. Voulant donner de la clarté aux jeunes du monde à travers les médias, le grand « Jes Ra » a montré de bout en bout l’évolution et l’origine du RASTA qui est né ici en Afrique plus précisement en Egypte. Selon lui, le mot rastafari n’est que de la barbarie pour le monde occidental car on veut du Rasta un changement sans fondement. Le vrai et le vrai c’est : «  RASTA FARAI » depuis sa naissance. Il pour les rastas de savoir ce qui leur appartient et qu’il tienne à cœur dixit Jess Ra. Très explicite sur le sujet, les rastas n’ont pas su se contenir par rapport au temps, posant des questions assez pertinentes dont à chaque réponse du conférencier, chacun trouve une nette satisfaction.  Sur des questions alimentaires des rastas, Jess Ra a démontré comment un rasta doit s’alimenter car pour des raisons des vertus du rasta, certains aliments ne sont pas permis. Il a aussi situé certaines réactions un vrai rasta face aux choses du monde d’aujourd’hui, qui sont entre autre la conduite du rasta vis-à-vis des femmes, des prises de décisions et bien d’autres sont à revoir car le rasta à ses principes et lois depuis la nuit des temps. Touchant par la présence de tous, Jess Ra dans ses derniers mots à donner de conseils à ses frères rastas de tenir toujours à leurs convictions et d’aller toujours vers l’avant en annonçant son retour dans son second pays, il exorte ses cadets à mieux faire et de rester ferme car un rasta sait ce qu'il veut et ce qu'il cherche

.

Par Louba-heindé Séraphin

Le moment attendu est là !  Tous les enseignants et travailleurs tchadiens se donnaient de temps en temps des nouvelles concernant les abattements des salaires des fonctionnaires. Etant donné que, les dernières informations dit qu’il n’y aura pas le projet d’abattement des salaires et certaines catégories des travailleurs tchadiens seuls subiront cette situation. Qu’à cela ne tienne, les enseignants, eux’ sont restés éveiller à l’attente de la tombée des salaires de janvier et voilà la surprise, les salaires ont bel et bien été abattu par l’Etat. Malgré les discours tenu et le décret abolissant cette réduction, le Ministre Dr Abdoulaye Sabre, a tenu sa promesse avec son décret 687 vis-à-vis des travailleurs de tous les secteurs du Tchad ainsi qu’à ceux qui exerce à l’étranger. Depuis le 26 janvier ou les salaires sont tombés, les fonctionnaires tchadiens ne savent à quel saint se vouer. Il est l’heure pour eux de faire face au destin de ce pays.

Pour voir au claire, les banques qui hébergent des salaires, ont du mal à traiter les salaires de leurs clients. Mais, tout de même, elles renvoient certains à revenir le mois prochain car ils sont redevables à certaines banques selon certains témoignages. Ce qui fait mal, le gouvernement a montré sa diligence en vers les travailleurs qu’il n’y aura pas l’abattement mais plutôt une réduction sur les impôts mais qui se fera en février.  Du coup le sort est là.

Si les autres tardent le SET est là déjà en grève illimitée !

Pour le SET, ouvrant sa rencontre par l’hymne national puis celui des syndicats, M. Mbairis Blaise Ngartoidé, le Secrétaire Général de Syndicat des Enseignants du Tchad (SET), section régional de N’Djamena, déclare que : « nous les enseignant ne pourrions accepter cette humiliation grave de la part d’un individu que nous ignorons sa provenance sur le territoire tchadien en complicité avec un groupe des méchants, nous trainer dans cette merde. Alors que nous connaissons bien notre pays qui nous appartient et qu’aimons tous se faire noyer de la sorte. »

Quant à Mahamat Nasradine Moussa, SG du CIST, l’heure n’est plus au discours mais d’agir. Il est question pour tous les travailleurs de prendre conscience et de vaincre ses malfaiteurs qui cherchent nuits et jours la déstabilisation de ce pays. Nous leur disons à l’abattement de salaires et devront tous rester souder pour la bonne cause a-t-il déclaré à ses collègues travailleurs. Dans le même sens, Nguévana Samuel, qui, lui représente, les cellules syndicales du Tchad, chargé des revendications nationales, dit : de nord au sud et de l’ouest à l’est, les élèves sont dans les rue plus précisément à Doba, Kélo et Bongor pour manifester. Il demande aussi une forte mobilisation surtout des enseignants à réussir cette grève. Pour clore la rencontre, M. Mbairis Blaise, demande au secteur sanitaire de bien vouloir continuer à soigner les frères tchadiens sur les lits de malade juste pour une semaine puis rejoindre les autres après au cas où rien n change. 

Par Louba-heindé Séraphin A.

MIES, Switzerland - Le Comité exécutif de la FIBA a choisi vendredi, le Tchad pour remplacer l'Afrique du Sud dans les Éliminatoires Africains de la Coupe du Monde FIBA 2019.

Cette annonce fait suite à la décision de la Fédération Sud-Africaine de Basketball de retirer son équipe nationale masculine senior de la campagne de qualification pour la compétition phare de la FIBA qui se déroulera du 31 août au 15 septembre 2019 en Chine.

Les 16 équipes qui se sont qualifiées et qui ont participé au FIBA AfroBasket 2017 ont automatiquement gagné leur place dans les Éliminatoires Africains de la Coupe du Monde.

Le retrait de l'Afrique du Sud a emmené le Bureau Régional de la FIBA en Afrique à choisir la meilleure équipe - le Tchad - pour la remplacer.

Le Tchad a raté sa qualification pour l'AfroBasket après avoir perdu 67-64 contre la République Centrafricaine (CAF), terminant ainsi deuxième du Groupe J des Éliminatoires additionnels à trois équipes. La victoire de la CAF lui a permis de décrocher la seule place en jeu pour la compétition africaine.

Le Tchad prend la place de l'Afrique du Sud dans le Groupe A des Éliminatoires Africains, où il rejoint le Cameroun, la Guinée et la Tunisie, Championne d’Afrique. La compétition débutera ce mois-ci (24-26 novembre) à Yaoundé, la capitale camerounaise.

Cliquez ici pour plus de détails sur le système de compétition des Éliminatoires Africains de la Coupe du Monde de Basketball FIBA 2019.