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#TCHAD: Vers une nouvelle ère sous le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Analyse politique
Louba-heindé Séraphin Adoumngar, journaliste indépendant, reporter, photographe et blogueur. Expert en communication digitale.


La transition politique au Tchad semble enfin prendre un tournant décisif avec les récentes élections sénatoriales. Le Maréchal du Tchad, Président de la République, Chef de l'État Mahamat Idriss Déby Itno, qui a dirigé le pays depuis le décès de son père en 2021, est arrivé à la fin definitive. Il se prépare à se consacrer pleinement à son mandat, laissant derrière lui les incertitudes d'une période de transition plus ou moins prolongée. Ce moment marque une étape cruciale et importante pour la nation tchadienne, qui aspire à une stabilité politique durable. Grâce à sa détermination le meilleur se dessine.

Sous la direction du Maréchal du Tchad Mahamat Idriss Déby Itno, des efforts considérables ont été déployés pour unir les tchadiens de tout bord sans exception malgré les personnes indésirables qui cherche à ternir sa politique et sa volonté d'engager un dialogue inclusif est palpable. Une majorité de la population semble apprécier cette démarche, témoignant d'un désir collectif d'harmonie et de coopération. Cependant, des voix discordantes émergent, notamment parmi certains politiciens moins connus qui, par crainte de perdre leur influence, nourrissent des idées de vendetta. Ces inquiétudes pourraient représenter un obstacle à la mise en œuvre des politiques du Président de la République.

Ce qui distingue Mahamat Idriss Déby Itno, c'est sa capacité d'écoute. Dans un environnement politique souvent tumultueux, cette qualité pourrait s'avérer déterminante pour naviguer à travers les défis et les oppositions. En tendant la main aux différentes factions du pays, il pourrait non seulement apaiser les tensions, mais aussi renforcer sa légitimité et son autorité.

Par ailleurs, la question de la sécurité demeure cruciale. L'absence de l'armée française au Tchad, est perçue comme un pilier du système sécuritaire tchadien, appelle à une redéfinition des relations de coopération et de collaboration. Le Tchad doit envisager des solutions autonomes tout en maintenant des partenariats stratégiques pour garantir la sécurité et la stabilité régionale et aussi à l'intérieur du Tchad.

Dans l'ensemble, le Maréchal du Tchad semble être sur une bonne lancée. Les défis sont nombreux, mais avec une approche inclusive et une volonté affirmée de rassembler les tchadiens, Mahamat Idriss Déby Itno pourrait bien ouvrir la voie vers une nouvelle ère de paix et de prospérité pour son pays. La transition est loin d'être terminée, mais les fondations d'un avenir prometteur semblent se dessiner sous sa direction.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste reporter et photographe. Expert en communication digitale.

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#Tchad: Cérémonie de consécration du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, un nouveau chapitre pour le Tchad

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Élévation du président de la République Le Maréchal du Tchad, Mahamat Idriss Deby Itno.

Le palais de Toumaï a été le théâtre d'une cérémonie solennelle marquant la consécration du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, récemment proclamé président de la République du Tchad. L'événement, qui a rassemblé des personnalités politiques, militaires et civiles, a été ouvert par le président du Conseil National de Transition (CNT), Dr Haroun Kabadi.


Après une introduction empreinte de solennité, le ministre délégué auprès du Secrétaire Général du Gouvernement (SGG) a procédé à la lecture du décret officialisant la promotion du Maréchal. Ce moment fort a été suivi par une présentation détaillée de la biographie du nouveau Maréchal, mettant en lumière son parcours exceptionnel, ses contributions à la sécurité nationale et son engagement pour le développement du pays.

La cérémonie a également été l'occasion pour Dr Haroun Kabadi de souligner l'importance de cette nomination dans le contexte actuel du Tchad, marqué par des défis sécuritaires et politiques. Il a exprimé l'espoir que sous le leadership du Maréchal Déby, le pays puisse avancer vers une paix durable et un développement inclusif.


Les discours prononcés ont été ponctués par des moments de recueillement et de célébration, témoignant de l'adhésion des Tchadiens à cette nouvelle ère politique. Les participants ont salué la détermination du Maréchal à poursuivre les efforts de réconciliation nationale et à renforcer les institutions démocratiques.

La cérémonie s'est conclue par une prise de parole du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, qui a remercié les Tchadiens pour leur confiance et a réaffirmé son engagement à servir la nation avec honneur et intégrité. Il a appelé à l'unité et à la mobilisation de tous les acteurs de la société pour relever les défis auxquels le Tchad est confronté.

Cette journée historique marque un tournant pour le Tchad et ouvre la voie à de nouvelles perspectives sous le leadership du Maréchal Déby. Les yeux sont désormais tournés vers l'avenir, avec l'espoir d'un Tchad pacifié et prospère.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste indépendant.

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#TCHAD: Le Tchad accélère le processus de retrait de l'armée française d'ici janvier 2025

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Diplomatie

Le 28 novembre dernier, le Tchad a officiellement annoncé son retrait de l'accord de coopération militaire signé avec la France dans les années 1970. Cette décision, annoncée par le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, Chef de l'État tchadien, a été justifiée par le caractère obsolète de cet accord face aux réalités actuelles.

Selon les déclarations du gouvernement tchadien, cette mesure implique le départ de toutes les troupes françaises stationnées sur le sol tchadien. La demande de retrait a été formellement communiquée à Paris le 19 décembre. Le Tchad a fixé un délai pour le départ des soldats français, qui ne devra pas dépasser le 31 janvier 2025. Toutefois, des négociations sont en cours pour discuter des modalités de cette transition.

Cette décision s'inscrit dans un contexte régional complexe, marqué par des enjeux sécuritaires croissants et une volonté du Tchad de redéfinir ses relations militaires et diplomatiques. Le retrait des troupes françaises pourrait avoir des répercussions sur la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel, où la France a joué un rôle clé en soutenant les forces locales.


Les autorités tchadiennes semblent déterminées à renforcer leur souveraineté nationale tout en cherchant à établir de nouveaux partenariats qui répondent mieux à leurs besoins stratégiques. La situation sera à suivre de près, car elle pourrait influencer les dynamiques de sécurité et de coopération militaire dans toute la région.

Les discussions entre N'Djamena et Paris se poursuivent, et il reste à voir comment cette décision affectera les relations bilatérales entre les deux pays à l'avenir.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste indépendant.

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#Tchad: le discours du Président de la République, Mahamat Idriss Deby Itno.

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Politique et société.
Le président de la république, Mahamat Idriss Deby Itno

Le Président Mahamat Idriss Deby Itno.

- Mesdames et Messieurs les journalistes ;
- Chers compatriotes.

C'est avec une forte conviction et une immense responsabilité que je m'adresse à vous, ce soir, à la suite de l'annonce de la décision prise par le Gouvernement de la République du Tchad concernant la rupture de l'accord de coopération militaire entre notre pays et la France.

En effet, depuis plusieurs décennies, le Tchad et la France entretiennent une coopération dans plusieurs secteurs, notamment dans le domaine militaire. Cette rupture ne concerne que l'accord de coopération militaire dans sa configuration actuelle.
Cet accord avait été signé à une autre époque, avec d'autres acteurs de part et d'autre et dans un contexte tout aussi diffèrent. Il visait à répondre aux défis communs dune autre conjoncture nationale, régionale et internationale.
Cependant, au fil du temps, cet accord est devenu obsolète. Complètement obsolète. Il ne correspondait plus, ni aux réalités sécuritaires, géopolitiques et stratégiques de notre temps, ni à nos attentes légitimes quant à la pleine expression de notre souveraineté.
De la même manière, il ne nous apporte aucune valeur ajoutée réelle sur le terrain militaire, où nous faisons face, seuls, à des défis variés et sérieux, notamment des attaques de dimension terroriste.

Des défis sécuritaires nationaux et régionaux devant lesquels, nos propres Forces de Défense et de Sécurité se sont illustrées par une vaillance jamais démentie et une détermination sans commune mesure.
Elles ont démontré et prouvé, à chaque fois que cela est nécessaire et partout où elles ont été déployées, quelles sont plus que capables de défendre l'intégrité de notre territoire et d'assurer la sécurité de nos concitoyens, voire contribuer efficacement à lutter contre le terrorisme à léchelle régionale.
Désormais, elles sont appelées à intégrer la nouvelle donne issue de la rupture cet accord suranné, qui dans les faits concrets ne change absolument rien.
Au contraire, la rupture de cet accord doit engendrer au niveau de nos FDS plus de responsabilité, plus d'engagement et plus de concentration pour mieux défendre l'intégrité du Tchad et assurer la sécurité de ses citoyens.

-  Compatriotes et Concitoyens ;

- Hommes des médias.

Cette décision na pas été prise de manière légère. Elle résulte dune réflexion approfondie et dune évaluation minutieuse.
Elle répond à un engagement pris devant le peuple tchadien, à travers mon projet de société ayant mis en exergue la promesse de bâtir des relations réciproques et équilibrées avec les pays frères et amis, dans un esprit d'indépendance et de respect de la souveraineté des États.

En tant qu'État souverain, fort de ses 66 ans de marche depuis la proclamation de la République, le Tchad est pleinement en droit, et même dans l'obligation, de définir librement ses relations internationales, de choisir les formes de coopération qu'il souhaite et de conduire sa politique de défense en fonction de ses priorités.
Nous avons ainsi décidé de mettre un terme à cette coopération militaire pour réorienter notre partenariat avec la France sur des domaines qui auront plus d'impact positif sur le quotidien de nos populations respectives.
En outre, Cette décision s'appuie sur plusieurs facteurs parmi lesquels je cite :
Absence de réciprocité : La présence militaire française au Tchad ne se fonde pas sur une base réciproque. Le Tchad ne doit plus accepter aux autres ce qui ne lui est pas accepté par ces autres. C'est le sacré principe de réciprocité.
Nécessité de réparation : Il est désormais primordial pour le Tchad de réparer les imperfections dans ses relations internationales. Choisir en toute Indépendance les formes et les partenaires de sa coopération internationale selon ses priorités nationales.
Renforcement de nos capacités : cette rupture fait partie de notre volonté de bâtir une armée tchadienne en phase avec toutes ses responsabilités, plus autonome, plus engagée et plus responsable dans l'accomplissement de sa mission régalienne de défense de la patrie.

-  Compatriotes et Concitoyens ;

- Hommes des médias.

Je tiens à préciser pour lever toute ambiguïté, que cette décision de rupture ne constitue, en aucun cas, un rejet de la coopération internationale ni une remise en question de nos relations diplomatiques avec la France.
Nous restons ouverts à des échanges constructifs avec l'ensemble de nos partenaires, y compris la France.
Et ce, dans le but d'établir de nouveaux cadres de coopération fondés sur les principes universels qui régissent les relations internationales.
Par ailleurs, nous réaffirmons notre ferme engagement à poursuivre la lutte contre le terrorisme et à oeuvrer pour contribuer à la sécurité régionale, en étroite collaboration avec les pays voisins et toutes les nations qui partagent ces préoccupations.
Le Tchad continuera de jouer tout son rôle et d'occuper toute sa place au sein des initiatives de renforcement de la paix et de la sécurité sur le continent africain en particulier et à travers le monde en général.
Toutefois, notre priorité absolue reste la protection de notre peuple et de notre territoire.

Je vous invite, mesdames et messieurs, à appréhender cette décision dans son contexte approprié : il s'agit de renforcer notre souveraineté, de repenser nos relations internationales et d'assumer notre responsabilité dans l'édification dune paix durable, tant au Tchad qu'au sein de notre région.
Nous continuerons à travailler avec tous les partenaires dans l'esprit de respect mutuel. Nous appelons nos alliés à soutenir notre démarche et à accompagner le Tchad dans la consolidation de ses capacités de défense et de sécurité.
Avant de conclure, le Gouvernement est instruit pour procéder à la mise en uvre de cette décision en prenant attache avec la partie française.
Pour finir, Mesdames et Messieurs les Journalistes, cette rupture de l'accord de défense avec la France s'inscrit dans le cadre dune réévaluation nécessaire de nos priorités stratégiques.
Le Tchad nest nullement dans une logique de remplacement dune puissance par une autre, encore moins dans une approche de « changement de maître ».
Notre pays croit avec foi en sa capacité de défendre son intégrité et assurer la sécurité de ses citoyens et leurs biens.
Cette décision constitue donc un acte souverain, mûrement réfléchi, entièrement assumé, visant à renforcer notre indépendance nationale et répondre à un engagement fort pris devant le peuple tchadien.
Je vous invite donc à porter ce message à la communauté nationale et internationale, dans un esprit de patriotisme et de professionnalisme.

Que Dieu vous bénisse !
Que Dieu bénisse le Tchad, pays de Toumaï, berceau de l'humanité !

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#TCHAD: M. Abderaman Barka Abdoulaye Doningar Élu Vice-Président du RIARC

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Média
Le Président de la HAMA, ABDERAMANE BARKA ABDOULAYE DONINGAR


Le Président de la Haute Autorité des Médias et de l'Audiovisuel (HAMA), M. Abderaman Barka Abdoulaye Doningar, a été élu Vice-Président du Réseau des Instances Africaines de Régulation de la Communication (RIARC) pour un mandat de deux ans. Cette élection a eu lieu lors de la 11e Conférence des Instances de Régulation de la Communication d'Afrique (CIRCAF), qui se déroule actuellement à Abidjan, en Côte d'Ivoire.

M. Doningar succède à l'ivoirien Maître René Bourguin, qui prend le poste de Président du RIARC, remplaçant ainsi Mme Latifa Akarhbach de la HACA du Maroc. Cette nouvelle responsabilité conférée à M. Doningar est une source de fierté pour le Tchad et pour l'ensemble du continent africain.

Lors de cette conférence, les participants ont adopté une déclaration, connue sous le nom de déclaration d'Abidjan, ainsi que des principes visant à établir un cadre réglementaire pour la régulation de l'intelligence artificielle. Bien que l'intelligence artificielle offre des opportunités considérables pour la diffusion instantanée des contenus, elle pose également des défis significatifs en matière de régulation.

L'élection de M. Doningar au sein du RIARC souligne l'engagement croissant des instances africaines dans la régulation des médias et la nécessité d'adapter les cadres réglementaires aux évolutions technologiques actuelles. Sa nomination est perçue comme un pas en avant pour renforcer la coopération entre les régulateurs africains et garantir une communication responsable et éthique sur le continent.

Cette reconnaissance internationale pour le président de la HAMA témoigne non seulement de ses compétences, mais également de la volonté du Tchad de jouer un rôle actif dans les débats et les décisions qui façonnent l'avenir des médias en Afrique.

Par Josiane Krata, journaliste.

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#Tchad: Triste épreuve pour l'Armée Tchadienne : Boko Haram frappe à nouveau

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Attaque Boko Haram
Le président, Mahamat Idriss Deby Itno.


Dans la nuit de dimanche à lundi 28 octobre 2024, le Tchad a été frappé par une tragique attaque des jihadistes de Boko Haram qui a coûté la vie à une quarantaine de militaires tchadiens. L'incident s'est produit dans la région du lac Tchad, près de la frontière nigériane, une zone déjà marquée par des violences récurrentes.

Face à cette menace persistante, le Président Mahamat Idriss Deby Itno s'est rendu sur les lieux de l'attaque et a immédiatement donné le coup d'envoi de l'opération Haskanite. Cette opération vise à poursuivre et traquer les assaillants jusqu'à leurs derniers retranchements. Le chef de l'État a exprimé sa détermination à protéger le pays et à restaurer la sécurité dans cette région instable.

Cependant, cette situation a également provoqué des réactions au sein du paysage politique tchadien. Une frange de politiciens, déchus par le secrétaire général du Mouvement Patriotique du Salut (MPS), Mahamat Zene Bada, s'est enflammée contre l'action du président. Ces voix critiques remettent en question la stratégie du gouvernement face à Boko Haram et expriment leur mécontentement quant à la gestion de la sécurité nationale.

Dans ce contexte tendu, le leader du mouvement Les Transformateurs, Dr Succès MASRA, a choisi d’adresser ses condoléances aux familles des soldats tombés lors de l'attaque à Barkaram. Il a souligné l'importance de rendre hommage à ces hommes qui ont sacrifié leur vie pour défendre la patrie.

Alors que le Tchad se retrouve à nouveau confronté à la menace de Boko Haram, l'unité nationale et la solidarité autour des forces armées sont plus que jamais nécessaires pour faire face à cette crise sécuritaire. L’opération Haskanite pourrait être un tournant décisif dans la lutte contre le terrorisme dans la région, mais elle devra également répondre aux attentes d'une population en quête de paix et de stabilité.

 

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste, reporter et photographe. Expert en Com. Digitale

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#Sous-Region: La 21e session de la CEEAC en RDC

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

#CEEAC: Au total 11 chefs d'État ont pris part ce lundi 25 juillet 2022 à Kinshasa.

#CEEAC
Les chefs d'État de la CEEAC

La tenue de cette 21e sommet des chefs d'État de la Communauté Économique des États de l'Afrique Centrale porte sur la réforme institutionnelle de ladite organisation communautaire qui est de voir l'aspect sécuritaire, énergétique, sanitaire et humanitaires auxquels les Etats membres de la CEEAC sont confrontés. Le Président Mahamat Idriss Deby Itno se trouvant à cette première fois de sa prise de pouvoir en RDC.

Par Séraphin 

 

 

 

 

 

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Publié dans CEEAC

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