codni

#Codni: Un dialogue national inclusif et souverain bien sûr mais manque juste un recadrage surtout dans les débats.

Pour l'adoption du règlement intérieur proposé par l'équipe du comité d'organisation du dialogue national inclusif et souverain, certains responsables et participants ont mal à trouver une solution définitive pour avancer dans les prochains jours des travaux. 

Des interventions hors cadre ont été enregistrés dans la salle puisque tout début des choses est difficile. Après la lecture du RI, déjà les voix ont commencé à tonner mais les membres du bureau de CODNI a su mettre de l'ordre. Pour cette du 25, plus des voix assez violentes ont pris le temps dans la salle. 

Certains ont pris la parole demandant le recadrage des débats, d'autres ont souhaité le départ de certaines personnes de quitter la salle. Ce qui reste un poids sur le CODNI.

Personne n'a fait son choix pour la participation de ce dialogue à part le CODNI et le gouvernement. On se demande si les points cités dans les lignes de ce RI pose de problème, à quand le présidium sera mis sur pied et les travaux commenceront ?

Par Éric Djibet, journaliste analyste 

#DNI: La maîtrise de programme semble être difficile après avoir ouvert le dialogue le samedi 20 août. De report en report, le comité d'organisation du dialogue national inclusif et souverain a pu ce mercredi 24 mettre le programme en marche malgré quelques petits soucis logistiques et sécuritaires.

Prévue pour le mardi à 09h, le CODNI a repoussé l'ouverture des travaux à mercredi, aujourd'hui à 09h puis décaler l'heure à 14h pour enfin commencer à 16h. On souligne que déjà, le mardi un décret tombe imposant l'arrivée de la Star "cache-nez" puis d'autres mesures contre COVID 19 par le gouvernement de transition en charge de l'organisation de ce dialogue.

Pendant que certaines décisions tombent, le CODNI montre à l'oeil nu le souci d'enrôlement des participants. Beaucoup traîne et cours de gauche à droite pour se faire enrôlé et aussi de récupérer les badges déjà imprimés avec les organisateurs. 

On peut aussi dire que certains responsables et participants ne sont pas à l'heure vu les multiples reports de cette assise.

Prenant le train en marche, le ministre en charge du dialogue, Mr Acheick Ibn a pris la parole au nom du comité d'organisation du dialogue national inclusif et souverain pour donner le principe du programme de la reprise. Dans son mot, il a juste donner des informations relatives au déroulement de la soirée en mettant l'aspect d'élaboration des règlements intérieurs du dialogue avant de mettre sur pied un présidium tant attendu.

De suite aux orientations du CODNI, un autre débat surgit au niveau de la traduction en arabe alors que les casques de traduction ont été prévu mais l'accès à ces casques sont difficiles.

On dit que tout début est difficile alors on attend les suites.

Par LSA 

#Tchad: Le gouvernement de transition par la voie de son premier ministre, à travers son comité d'organisation du dialogue national inclusif a rendu officiel la date de la tenue dudit dialogue. Ce Codni avec son partenaire PNUD invite la presse au lancement de la campagne citoyenne pour l'appropriation de la tenue du dialogue le samedi 16 juillet au palais du 15 janvier.

Faisant suite aux échanges et à l'évolution du pré dialogue de Doha entre les politico-militaires avec le travail que fait Codni avec ses partenaires, le gouvernement de transition à jugé utile de fixer la date 20 août 2022 pour ce dialogue national inclusif tant attendu.

Cette date est fixée afin de pouvoir mettre les filles et les fils du Tchad ensemble pour la refondation de ce pays. Elle doit être respecté et donner une importante considération pour un apaisement de pourparler entre les tchadiens de tous les niveaux.

Ce dialogue national inclusif doit faire l'objet d'une déclaration ferme sur la question de paix, de vivre ensemble et de la cohésion sociale digne. L'attente des résolutions serait pour voir le changement de posture entre les tchadiens pour monter le Tchad au sommet de son existence de depuis son indépendance. A cela, les tchadiens doivent se montrer capable de résoudre leurs différends vis à vis des autres pays du monde.

Par Honorine et Éric 

#Tchad: Pré dialogue

Ndolassem Takilal Hilaire lui, aussi rebelles fait partie des membres des 52 politico-militaires appelé à Doha au Qatar pour la négociation. Selon les comptes rendus des autres média et certains internautes, c'est le seul politico-militaire qui pense un peu plus mieux que les autres dans ses prises de paroles. Cette position lui donne la grosse tête de s'ouvrir à tout moment possible de cracher les véritables vérités de la situation que traverse le Tchad aux participants de ce pré dialogue. En 14 jours la personne la plus crédible pour vouloir donner le goût dit-on c'est lui.

par Croyance Y.

Cette assise ne sera pas à sa hauteur. Selon ce qui se passe à Doha depuis presque que 5 jours. Les politico militaires restent loin de ce que pense le gouvernement tchadien. Déjà la presse tchadienne est écarté par un consensus du gouvernement l'interdisant en donnant un ultimatum que les articles couvrant l'événement est sous embargo qu'il ne veut pas sa diffusion, cela reste un problème.

Ce dialogue tant attendu est le point important pour déterminer la vie de l'actuelle transition au Tchad.

par Salomon

Disant qu'il doit impérativement descendre au Maroc pour le sommet de la CEN-SAD, MAHAMAT CHÉRIF ZENE qui par décret a remplacé l'ex président Goukouni Weddeï pour le pré dialogue à Doha, a cédé sa place à Saleh KEBZABO, l'opposant tchadien pour négocier le retour des rebelles tchadiens au bercail. Il s'agit du pré dialogue qui seuls les militaires doivent se parler. Autrement dit, les hommes d'armes et non frères d'armes. Cette situation déjà presque 2 semaines on ne suit que les média étrangers pour relayer ici chez nous pourtant c'est notre affaire. On se pose des questions si seulement nos informations sont crédibles où pas? Et comment faire pour interviewer cet intérimaire en la personne de Saleh KEBZABO pour l'entendre parler en tant que rebelle sans arme en plus journaliste de formation? La situation de Doha rend malade la presse tchadienne.

par LSA

Pour des raisons très médiocre que personne ne dira le contraire, que la presse surtout privée n'est allé à Doha au Qatar.

La première que l'on peut dire le manque de solidarité entre les organes de presse eux-mêmes. Ils ne sont jamais solidaire entre eux. Ils se voient l'un à l'autre comme des ennemis pourtant ils font le même travail et mérite chacun des mêmes traitement partout. Ce qui manque à l'union des organes de presse privée au Tchad.

Deuxième chose, c'est l'égoïsme et l'orgueil de certains responsables, les directeurs des publications et promoteurs. Ils se voient à la hauteur tout et chacun est responsable de son organe point barre mais ils oublient que peu loin chacun à besoin de l'autre pour avancer dans ses prérogatives. Ce qui a occasionné le gouvernement d'en profiter.

En fin le troisième point est le respect du métier. Pour permettre à la presse tchadienne à mieux faire le travail du journaliste, certains points sur l'éthique et la déontologie restent un grand défi à relever. L'organe qui a la main mise pour redresser cela (la Hama) est bafoué par certains journalistes eux-mêmes. Laissant un vide pour faire la tête de certaines autorités malintentionnés.

Voilà un peu ces points qui ont bloqué la presse privée.

En outre, selon les informations venant du ministère de la communication, personne ne sait le pourquoi mais des tentatives d'explications ont été soudé disant que la décision d'interdire la presse d y aller vient de la hiérarchie c'est-à-dire de la présidence. Cette décision fait appel à la mise en embargo de la couverture de ce pré dialogue de Doha. Aussi par le même ministère, qu'ils ne connaissent pas le pourquoi car 15 organes de presse ont été sélectionnés pour la couverture et devraient même partir mais qu'à l'aéroport le premier ministre de la transition aurait interdit ces journalistes. Dans la salle pour des recherches d'information, les concernés ayant sélectionner ont tenté de justifier comme eux aussi voulaient s'envoler pour Qatar mais échoué pour affirmer qu'ils étaient averti bel et bien et les différents documents de voyage même ont été enregistrés soudain, qu'ils sont là alors c'est la même question partout.

Seule la réponse reste si les 15 iront un jour où comme les autres organes se joigneront à eux pour la suite de ce pré dialogue ? Sinon que feront-ils pour le vrai dialogue du 10 mai en vue?

Par Dingam Noël

Dans les locaux du Comité d'Organisation du Dialogue National Inclusif (CODNI), le président technique de l'organisation M. Armand Djegoltar a reçu 4 journalistes volontaires pour aider le codni à mettre sur pied et en marche son site web d'information.

Soucieux du travail en équipe et le savoir bien faire, ces journalistes se sont donnés volontiers à accomplir les tâches qui leurs seront confiées afin d'aboutir aux meilleurs fins.

Après l'entretien, le président a présenté les webmasters ainsi que l'assistante du bureau technique aux journalistes, aussitôt les tâches ont été partagées dont Louba-heindé Séraphin Adoumngar et Saleh Mahamat sont désignés coordinateurs pour la gestion des reportages pour le compte du site du codni.

 Par LSA

Dans le souci de pouvoir mettre en règle l’organigramme et les états généraux de l’armée, les forces vives ne sont pas du reste. Grace à leur vigilance le pays est maintenu sur la voie. Ce dialogue national inclusif doit se tenir aussi avec leur implication directe comme des acteurs principaux de cet événement. Reçu par le Président du Conseil Militaire de Transition, les forces vivent ont exprimé le besoin de la tenue du dialogue afin de remédier aux maux qui minent les tchadiens ainsi l'armée en particulier.

Par Taryam Cécile

Le Comité d’organisation du dialogue national inclusif après avoir rencontré le 10 janvier dans la grande salle de réunion de l’hôtel Radisson Blu,  Monseigneur Edmond Djitangar a son tour interpellé les fidèles de sa confession à se préparer pour le dialogue. A un mois et quelques jours de la tenue du dialogue, les églises catholiques doivent être prêtes à participer à ce dialogue dixit-il.

Selon les explications du Président technique du comité national pour les préparatifs du dialogue national inclusif M. Armand Djegoltar aux responsables religieux, ce dialogue se repose sur trois axes principaux : qui sont entre autres les missions de pré-dialogue, les travaux des thématiques et les questions ad hoc qui touchent le fond de l’organisation.

Pour le compte rendu de l’Archevêque, les sous thèmes sont : la paix, sécurité et réconciliation, la reformes des institutions, constitution et processus électoral, le droit et liberté fondamentales, la politique sectorielle, des questions sociétales.

Par LSA