communication et actualite

𝑪𝒐𝒑𝒊𝒏𝒂𝒈𝒆, 𝒇𝒊𝒍𝒊𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏, 𝒂𝒑𝒑𝒂𝒓𝒕𝒆𝒏𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒆𝒕𝒉𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒆𝒕 𝒓𝒆𝒍𝒊𝒈𝒊𝒆𝒖𝒔𝒆, 𝒄𝒐𝒓𝒓𝒖𝒑𝒕𝒊𝒐𝒏, 𝒄𝒍𝒊𝒆𝒏𝒕é𝒍𝒊𝒔𝒎𝒆... 𝑪𝒆𝒔 𝒗𝒊𝒍𝒂𝒊𝒏𝒔 𝒎𝒐𝒕𝒔 𝒂𝒖𝒕𝒓𝒆𝒇𝒐𝒊𝒔 𝒂𝒕𝒕𝒓𝒊𝒃𝒖é𝒔 à 𝒍'É𝒕𝒂𝒕 𝒆𝒕 𝒂𝒖 𝒔𝒚𝒔𝒕è𝒎𝒆 𝒅𝒆 𝒈𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓𝒏𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒂𝒖 𝑻𝒄𝒉𝒂𝒅 𝒕𝒓𝒐𝒖𝒗𝒆𝒏𝒕 𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒑𝒍𝒆𝒊𝒏 𝒔𝒆𝒏𝒔 𝒂𝒖𝒋𝒐𝒖𝒓𝒅'𝒉𝒖𝒊 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒎é𝒅𝒊𝒂𝒔.

« Je ne me fatigue plus pour déposer une demande de partenariat dans telle institution. Là-bas ils ont déjà sélectionné les médias de leurs frères. Ça ne sert à rien. » ce sont des propos qui reviennent souvent sur les lèvres de plusieurs responsables de médias frustrés et même découragés.

C'est un constat honteux. Aujourd'hui pour qu'un média privé ait accès à un partenariat avec une institution privée comme publique, est simplement un parcours de combattant. Les entrées sont verrouillées, cadenassées et prises en otages par un groupe d'amis et des parents, ne ''connaissant souvent rien dans leurs tâches''.

Même chose dans les sélections des médias pour les missions de travail. Généralement les tâches de gestion des médias sont confiées à des anciens journalistes qu'on les appelle affectueusement ''DOYENS". Les invitations se font par coup de téléphone. Plus grave, quelques organes de presse de presse ''moribonds'' s'y retrouvent continuellement et constamment, écartant tout les autres pour des raisons que personne ne sait.

Certains prennent du plaisir en imposant un ''deal''. « Nous avons signé un partenariat au courant de l'année 2024 avec une institution. Le Directeur de Communication nous a clairement avoué qu'il prendrait 35% du montant de l'accord. Chose acceptée. Et la signature n'a pas pris le temps. Les choses se sont vite passées, » s'est plaint un responsable d'un média sous l'anonymat.

C'est un fait frustrant que les autorités et les différentes institutions doivent s'y atteler et revoir les stratégies d'octroi de partenariat dans l'équité et/ou avec la chance de tout le monde. 

« Souvent quand nous partons déposer des demandes de partenariat dans les institutions, on nous demande le nom du responsable des médias, leur origine et même leur appartenance ethnique. C'est vraiment regrettable. Les mêmes médias sont partout là où nous partons. » confie un journaliste de la presse privé. 

Il est crucial pour les autorités tchadiennes d'instruire les ministères, les Organisations, les institutions, les projets..., de donner la chance à tous les médias d'avoir des partenariats, s'ils respectent les procédures normales de dépôts et de correspondances.

Enfin, les institutions devraient définir des critères transparents pour la sélection des médias, basés sur la qualité du contenu, l'expérience et la capacité à atteindre le public cible, plutôt que sur des relations personnelles. Dans les jours les noms de plusieurs institutions seraient dévoilés.

𝐓𝐄𝐘𝐀𝐍𝐄 𝐁𝐞𝐫𝐭𝐫𝐚𝐧𝐝, responsable de HAMAMA MEDIA

Lors d'un point de presse récent, le Président tchadien Mahamat Idriss Deby Itno a exprimé son inquiétude quant au manque de soutien de la part des pays voisins face aux menaces persistantes de la secte Boko Haram. Cette organisation terroriste a causé la perte de nombreux soldats tchadiens, qui se battent depuis des années dans la région du Lac Tchad. En réponse à cette situation alarmante, le président a annoncé le lancement d'une opération de riposte dénommée "Haskanite", visant à sécuriser la zone et protéger les populations locales.

Le président Deby a pris la décision courageuse de se rendre à Barkaram, un lieu stratégique en proie à l'insécurité, pour montrer son engagement personnel envers la sécurité de son pays. Cette initiative vise à rassurer les citoyens tchadiens sur la détermination de leur gouvernement à lutter contre le terrorisme et à restaurer la paix dans la région.

Mahamat Idriss Deby Itno est un homme dont le parcours militaire et politique est bien connu. Il a joué un rôle clé dans la lutte contre les djihadistes au Mali en 2013, aidant à repousser les forces terroristes à Kidal, Tombouctou, Gao, et même à Bamako. Sa légitimité en tant que leader est indiscutable, et il n'hésite pas à défendre la valeur et le courage de l'armée tchadienne face aux critiques.

Dans un contexte où des questions d'intérêts politiques émergent, notamment avec le retrait annoncé du G5 Sahel et d'autres organisations régionales, le président Deby a raison de souligner l'importance d'une action autonome et déterminée. Son appel à un retrait des forces mixtes témoigne de sa volonté de réaffirmer la souveraineté du Tchad et d'assurer une réponse efficace aux menaces terroristes.

En somme, Mahamat Idriss Deby Itno se positionne comme un leader résolu, prêt à défendre son pays contre les dangers extérieurs. Son engagement sur le terrain et sa vision stratégique sont des atouts essentiels pour le Tchad dans sa lutte contre le terrorisme et pour la stabilité régionale.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste, reporter et photographe. Expert en Communication Digitale.

Dans une atmosphère calme et d'anticipation, les chefs des partis politiques se sont réunis pour écouter la déclaration d'Ahmed Batchiret, président de l'Autorité Nationale de Gestion des Élections (ANGE). Alors que des doutes et des préoccupations émergent concernant l'organisation des élections couplées de 2024, la participation des partis politiques et des candidats est significative.

Pour les élections législatives, 718 listes représentant 1 321 candidats ont été présentées par 179 partis ou regroupements, dont 36,6% sont des femmes. Après examen, 1 274 dossiers ont été jugés conformes, soit 96%, tandis que 46 dossiers ont été déclarés non conformes (3%).

Concernant les élections provinciales, 447 listes pour 1 260 candidats ont été soumises par 134 partis ou regroupements, avec une représentation féminine de 34,8%. Ici, 1 157 dossiers ont été jugés conformes (92%), tandis que 103 dossiers étaient non conformes (8%).

Pour les élections communales, 285 listes pour 6 156 candidats ont été présentées par 93 partis ou regroupements, avec une participation féminine de 34,2%. Tous les dossiers ont été validés après régularisation des documents manquants.

La diaspora, qui ne participe qu'aux élections législatives, est divisée en quatre zones (Afrique, Amérique, Asie et Europe), chacune ayant un siège sans contrainte de quota. Pour cette catégorie, 24 listes pour 24 candidats ont été présentées par 16 partis, avec une représentation féminine de 12,5%. Sur ce total, 18 dossiers ont été jugés conformes (75%), tandis que 6 étaient non conformes (25%).

Ahmed Batchiret a souligné que la Loi organique N°013 favorise la promotion de la femme en politique, avec un taux global de participation féminine de 34,61%. Cette avancée témoigne de la volonté des autorités de faire de la femme un acteur clé dans le développement du pays. La forte représentation féminine prévue dans les futurs organes tels que l'Assemblée nationale et les conseils communaux et provinciaux est un signe prometteur pour le renforcement de la démocratie et l'État de droit.

Les listes provisoires, désormais publiques, seront affichées dans tous les bureaux de l'ANGE. Les partis politiques peuvent consulter ces listes et exercer des recours selon le Code électoral. Pour les élections législatives, les contestations peuvent être portées devant le Conseil constitutionnel, tandis que pour les élections provinciales et communales, les recours se feront devant les tribunaux d'instance compétents et la Cour suprême.

Conformément aux articles 179 et 240 du Code électoral, l'ANGE a examiné tous les dossiers de candidature et a arrêté les listes provisoires qui sont désormais accessibles au public. Les acteurs politiques sont invités à prendre connaissance de ces listes et à agir en conséquence.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR et Krata Josiane.

Peu importe ce que le monde peut dire des élections aux États-Unis, le pays demeure un modèle en matière de démocratie. Les résultats récents des élections, qui ont vu la victoire de Donald Trump, illustrent l'intérêt démocratique vibrant qui anime cette nation. Malgré les controverses entourant son parcours et ses actions passées, Trump a réussi à séduire une majorité d'électeurs, prouvant ainsi que le processus démocratique américain reste robuste et dynamique.

Avant les élections, le parcours de Donald Trump était marqué par des défis juridiques et politiques qui, dans d'autres pays, auraient pu compromettre sa candidature. Cependant, la justice américaine, ancrée dans des principes démocratiques transparents et équitables, a permis à Trump de se présenter à nouveau sans entrave. Cela témoigne d'un système où chaque voix compte et où la volonté du peuple prévaut.

La réaction de Kamala Harris, qui a reconnu sa défaite sans hésitation, souligne également la maturité du processus électoral américain. Dans une époque où les contestations des résultats sont devenues monnaie courante dans de nombreux pays, la reconnaissance rapide de Harris démontre un respect pour les institutions démocratiques et pour le choix des électeurs. Ce geste contribue à maintenir la stabilité politique et à favoriser un climat de confiance entre les différentes parties.

Alors que nous nous dirigeons vers janvier, l'investiture de Donald Trump en tant que 47e président des États-Unis semble imminente. Ce retour au pouvoir marque un tournant dans l'histoire politique du pays et soulève des questions sur l'avenir des politiques américaines tant sur le plan national qu'international. Les électeurs ont clairement exprimé leur désir de retrouver un leadership qui, selon eux, répond à leurs préoccupations et aspirations.

Ce cycle électoral rappelle à tous que la démocratie américaine, malgré ses imperfections, continue d'évoluer et de s'adapter. Les États-Unis demeurent un phare d'espoir pour ceux qui aspirent à une gouvernance participative et responsable. Alors que Donald Trump se prépare à reprendre ses fonctions, l'attention sera portée sur la manière dont il compte unir un pays profondément divisé et répondre aux défis contemporains.

En somme, l'élection de Donald Trump ne se limite pas seulement à un changement de leadership ; elle représente un moment crucial dans l'affirmation des valeurs démocratiques américaines. Les États-Unis continuent d'incarner l'idée que, quel que soit le résultat, le processus démocratique est vivant et essentiel à la vie politique du pays.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste, reporter et photographe. Expert en Com. Digitale

Au Tchad, un problème crucial de culture et d'éducation se profile à l’horizon. Trop souvent, les autorités et la population attendent que la catastrophe se manifeste pour réagir. Depuis plus d'un mois, les inondations touchent de nombreuses régions, mais la sensibilisation et l'action concrète font cruellement défaut.

Récemment, une pluie diluvienne a submergé plus de la moitié de la ville de N'Djamena, suscitant une réaction immédiate du président, qui a survolé la ville en hélicoptère. Cette tournée a donné l'impression d'une mobilisation rapide pour mettre en place un service d'urgence dédié à la gestion des inondations. Cependant, cette promesse semble loin de se concrétiser. Ce phénomène naturel exige une vigilance constante et une préparation adéquate, pas seulement des interventions ponctuelles.

La nouvelle équipe de réponse, bien qu'instaurée, semble privilégier certains Tchadiens au détriment d'autres. Les membres clés du gouvernement sont mis en avant, tandis que le travail véritable sur le terrain demeure largement inachevé. De nombreux quartiers continuent de faire face à des niveaux d'eau alarmants, attendant désespérément la saison sèche pour retrouver un semblant de stabilité.

Face à cette situation, les jeunes de la capitale se mobilisent en observateurs des ruissellements d'eau, capturant des vidéos et des photos pour les partager sur les réseaux sociaux. Bien qu'ils soulignent les dangers, leur action reste symbolique et ne remplace pas une réponse structurée et efficace. Pendant ce temps, de nombreuses provinces, notamment dans le centre et le nord du pays, souffrent également de cette crise.

Des établissements scolaires et même certaines églises accueillent désormais des sinistrés, mettant en lumière l'impact dévastateur de ces inondations sur la vie quotidienne des Tchadiens. La prise de conscience du changement climatique est plus que jamais nécessaire. Certaines zones où vivent des populations doivent être évacuées sans condition afin de structurer la gestion des eaux pluviales pendant la saison des pluies.

La situation actuelle menace non seulement la sécurité des populations, mais aussi le bon déroulement des programmes scolaires et des élections à venir. Il est impératif que les autorités adoptent une approche proactive face aux défis climatiques, en intégrant des stratégies durables et efficaces pour prévenir de telles catastrophes à l'avenir.

Le Tchad doit apprendre à anticiper plutôt qu'à réagir, car chaque inondation est un rappel cruel que le changement climatique n'attend pas.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste indépendant et blogueur.

Avec un retard de 24 minutes selon l'heure fixée pour le démarrage des travaux, le Président de l'Assemblée Nationale Dr. Haroun Kabadi a demander très rapidement au ministre de la communication M. Oumar Yaya Hissein présent parmi les autres membres du gouvernement tchadien invités afin de passer au podium pour présenter son travail puis répondre aux questions des députés sur le Covid-19. 

A son intervention, le ministre de la communication Oumar Yaya Hissein, a d'abord fait la situation de son arrivée avec son équipe puis a donné son point de vue sur les travaux que son département a commencé depuis le 1er mars 2020 et qu'il continue jusqu'à présent. Il n'a pas manqué de tirer chapeau au travail que tous les tchadiens sont entrain de faire surtout la communication et la sensibilisation sur le Covid-19. 

Pour la question de Mme la députée, Fatimé Tchombi, le ministère doit avoir une idée d'aide aux organes de presse prenant l'exemple de la radio oxygène qui n'émet plus afin de se remettre en place pour aider la population tchadienne dans les sensibilisations afin de mettre en déroute cette malheureuse maladie de coronavirus. A la réponse, le ministre Oumar Yaya Hissein a juste fait comprendre que les choses doivent être claire car les organes privés sont autonomes et doivent pas compter sur l'État pour arriver. Juste dans leur politique d'accompagnement l'État peut les soutenir et d'ailleurs c'est ce que le Président Déby fait de temps en temps. Il passe par la Haute Autorité des Média et de l'audiovisuel (HAMA) qui connait la capacité et la qualité de travail de chaque organe pour orienter les aides. Aussi, pour le député Saleh Kebzabo, l'aide que l'État octroie à la presse est top minime et ne peut épanouir la presse tchadienne alors faut voir bientôt la situation.

Par LOUBA-HEINDE

La matinée de 12 juillet dans les salles de l'Hôtel Radisson Blu, les ateliers se multiplient pour éclaircir les modes de travail puis certaines orientations sur les applications numériques, leurs avantages etc. Pour le ministère des Postes, Des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (MPNTIC), c'est  de donner l'information telle qu'elle est pour enfin faire le bilan et de voir les défis qui restent à relever et cela poussera le monde du numérique à voir dans l'avenir. Quant aux autres institutions qui ont la même vision du numérique, ont aussi montré le sens de ce que produit l'internet à travers leurs différents produits. Pendant, qu'on faisait des démonstration du numérique dans ses salles, les Stands se préparent pour l'accueil de la visite de son Excellence Idriss Déby Itno prévu pour le 13 juillet 2019.

Par Séraphin

Ce matin dans la grande salle de Radisson Blu, le Tchad a honoré de sa présence par des différentes représentations. Placé sous le haut patronage de son Excellence, le Président Idriss Déby Itno, la salle était bien à craquer surtout par les jeunes tchadiens.

Pour souhaiter la bienvenue, le Président du Comité d'organisation, dans son mot à saluer l'initiative qui n'est rien d'autre que l’œuvre du Président Idriss Déby Itno, qui par son propre amour pour la jeunesse de son pays a voulu cette tenue du forum afin de faire le bilan des 20 années du numérique et aussi de voir dans l'avenir ce que sa jeunesse doit encore faire. Dans le même sens, le Ministre des Postes, des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication Idriss Ali Bachar dixit que, le sens de ce forum pour évaluer le travail déjà accompli sur la pratique du numérique et plus faire un plaidoyer dans le sens de son évolution. Il souligne aussi  le temps est donné pour sa sécurisation, restructuration des secteurs, son développement puis sa rentabilité.

 Pour le représentant du Président Idriss Déby Itno, le secrétaire d'Etat à la Présidence Kalzeubé Pahimi Deubeu K., il temps que les choses soit éclairci sur le numérique afin que les utilisateurs en font bon usage, car la base de la communication aujourd'hui est sur l'internet. La jeunesse tchadienne est celle qui s'y connait et en maîtrise totalement et que le président lui-même s'en serve pour sa communication. Il appelle donc, la jeunesse d'utiliser pour des bons fins et aussi pour la construction de la république du Tchad.

Par Séraphin et Alladoukam

Par Séraphin, un communiqué de la HAMA

Après la mise en place, le Ministre de la Communication, Porte Parole du Gouvernement OUMAR YAYA a donné un coup d'envoi à la Pladigital.

Dans ses propres mots, le Président de la PLATEFORME DES JOURNALISTES ET PROFESSIONNELS DE LA PRESSE DIGITALE a dit: "C’est pour moi un grand honneur de prendre la parole pour vous souhaiter la bienvenue dans la salle de réunion de la Maison des Médias du Tchad. Vous voir aussi nombreux est pour nous un sujet de joie et de satisfaction. Vous êtes sans ignorer qu’un journaliste ou un organe de presse qui n’utilise pas l’Internet n’est pas un journaliste ou un organe de presse complet. L’Internet, étant donc un instrument de travail indispensable, il nous revient à nous journalistes de nous approprier les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication. C’est dans cet esprit moi-même et mes confrères, suite à une formation de web journalisme organisée par la société Millicom Tchad (Tigo) du 13 au 14 septembre 2018, avions décidé de la mise de ce cadre de réflexion et d’action qui regroupe les professionnels des médias, de l’internet, de la communication et de la télécommunication. Voilà comment est née LA PLATEFORME DES JOURNALISTES ET PROFESSIONNELS DE LA PRESSE DIGITALE en abrégé PLADIGITAL.

PLADIGITAL a pour but de contribuer à l’épanouissement de la jeunesse nationale à travers la libéralisation de l’internet et la vulgarisation des Technologies de l’Information et de la Communication. On note plus de 13 types des réseaux sociaux dont l’importance n’est pas à ignorer par un journaliste tchadien que sommes-nous aujourd’hui. Plus loin nous voudrions créer une synergie  pour

laquelle qu’ensemble sans distinction avoir des bases des données fiables et efficace pour l’excellence du journalisme au Tchad.Lors d’une cérémonie de la jeunesse tchadienne, le Président Déby l’a dit : « on ne peut pas aimer un régime mais pas son pays… » Alors nous journalistes et professionnels des médias au Tchad ne pourrions aussi ne pas avoir l’amour de l’internet mais pas l’amour de notre beau métier. Plus loin dans le monde, le passage de l’analogie eu numérique est connu de tous et notre pays n’est le dernier sauf reste une question de la politique d’orientation et de l’encadrement. Ainsi nous croyons à notre ministère de la communication qu’il arrivera un jour à résoudre ce sujet qui nous tient à cœur.Nous entendons donc participer au développement global en favorisant une communication performante, gage d’une participation citoyenne de la jeunesse et  de la population en général, à la vie publique de notre nation, le Tchad.

Vu l’ampleur d’une telle mission, nous avons jugé utile de contacter les uns et autres pour accompagner nos pas, tel un enfant qui vient de naitre et qui apprend à marcher. Et, heureusement, vous avez été nombreux à répondre à notre appel. Nous ne cesserons de vous en savoir gré. Notre reconnaissance va à l’endroit de Millicom Tchad, notre premier partenaire. A la Haute Autorité des Média et de l’Audiovisuel (HAMA)  d’avoir cru en nous et pourvu ses responsables pour ces échanges qui, on l’espère, porteront du fruit. Au Ministère de la communication pour avoir bien voulu chaperonné cette cérémonie du lancement. A Albidey et à ARCEP grâce auxquelles nous avons des rafraichissements et du pain en cette journée. A Monsieur Moussaye Avenir De La Tchiré, Directeur de publication du journal Abba Garde, pour sa contribution matérielle mais surtout pour ses conseils grâce auxquels nous en sommes aujourd’hui. A Monsieur François Dingames, Directeur de la Maison des Médias pour avoir bien voulu nous accueillir, La Direction des Cinq Talents, Me Francis, Me Bongoro, FM Liberté, Télévision tchadienne, Radio Tchad, seraphinnews.com, Electron TV,Africa24, Cerdo + et à l’ensemble des journalistes nationaux et internationaux.

Sans pour autant monopoliser la parole, j’exhorte mes frères et sœurs journalistes à prêter une oreille attentive aux différentes interventions."

Par la suite, les participants ont suivi de bout en bout les interventions des responsables de la HAMA et les Patrons de Presse. il s'agit de Bob Dédjébé, Laouro Gondjé, Dr Aimé Rirangar et Moussaye Avenir De La Tchiré.