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communication

#Tchad #Politique: Ricardo Nanadoumngar Labe quitte le parti "Les Transformateurs", un départ annoncé en toute sérénité

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Politique et société.
Ricardo Nanadoumngar Labe, promoteur culturel

Dans un grand hôtel de la capitale, l'animateur de renom et homme de culture, Ricardo Nanadoumngar Labe, a annoncé sa décision de quitter définitivement le parti Les Transformateurs. Dans une déclaration rendue publique ce jour, il a affirmé que ce choix est strictement personnel et qu’il ne saurait être interprété autrement.

Ricardo, connu pour son engagement auprès de la jeunesse et ses multiples casquettes dans le milieu culturel, a exprimé sa volonté de tourner la page tout en restant serein face à cette décision. "Je quitte définitivement Les Transformateurs", a-t-il déclaré, laissant entendre que cette étape de sa vie politique est désormais derrière lui.


L'animateur a également tenu à mettre en garde contre toute tentative d'attaque ou de diffamation à son encontre en lien avec son départ. "Je ne tolérerai aucune forme de dénigrement. Toute attaque sera portée devant la justice", a-t-il prévenu, affirmant ainsi sa détermination à protéger son intégrité et sa réputation.

Ce départ marque un tournant dans la carrière de Ricardo Nanadoumngar Labe, qui a su se faire une place de choix dans le paysage politique et culturel du pays. Les raisons précises de son départ n'ont pas été divulguées, mais son engagement envers la jeunesse et son désir de poursuivre d'autres projets semblent guider cette nouvelle orientation.


Les Transformateurs, de leur côté, devront maintenant faire face à cette annonce inattendue et réfléchir aux implications de ce départ sur leur dynamique interne. Ricardo laisse derrière lui un héritage d'initiatives en faveur des jeunes, et sa voix continuera sans aucun doute à résonner au-delà des frontières du parti.

Le futur nous dira quelles seront les prochaines étapes pour Ricardo Nanadoumngar Labe, mais une chose est certaine : son départ des Transformateurs ne marquera pas la fin de son engagement pour des causes qui lui tiennent à cœur.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR 

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#Education: Un appel à la responsabilité des autorités, 5 élèves sont morts à Pala.

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Éducation
L'effondrement d'une salle de classe à Pala, cinq élèves sont morts


Le Tchad, riche de ses ressources pétrolières depuis 2003, traverse une crise alarmante en matière d'infrastructures scolaires. Depuis plus de deux décennies, les revenus générés par cette richesse naturelle auraient dû être investis dans la construction et la rénovation d'écoles, garantissant ainsi un avenir prometteur pour les générations futures. Cependant, la réalité est tout autre : les intérêts politiques et les luttes de pouvoir ont pris le pas sur l'urgence de répondre aux besoins fondamentaux de la jeunesse tchadienne.

Le tragique incident survenu ce 3 avril à Pala à l'école EGTH où un mur d'école s'est effondré sur des élèves du primaire de classe de CE2 pendant qu'ils suivaient les cours, causant la mort de cinq enfants et blessant plusieurs autres y compris l'enseignant, est un cri d'alarme qui ne peut être ignoré. Ce drame met en lumière les conséquences désastreuses d'un manque d'investissement dans nos infrastructures éducatives. Chaque vie perdue représente non seulement une tragédie personnelle pour les familles touchées, mais aussi une perte inestimable pour notre société.

Il important pour que le ministère de l'éducation nationale et de la promotion civique et ses partenaires de voir à la limite, l'obligation pour le respect des normes établies de construction ou de création des établissements scolaires afin d'éviter de telles situations. C'est une occasion une fois de plus pour les hommes politiques de tenir des discours creux de condoléances de partage des moments douloureux, mais plutôt de passer à l'action concrète et forte pour éradiquer ce mal qui siège au sein du système éducatif tchadien.

Il est impératif que les plus hautes autorités de la République prennent conscience de l'urgence de la situation. L'éducation ne doit pas être reléguée au second plan au profit d'intérêts politiques éphémères. Au contraire, elle doit être placée au cœur de toute politique publique. L'avenir du Tchad repose sur la qualité de l'éducation que tout le gouvernement offre aux enfants, et il est du devoir collectif de garantir des conditions d'apprentissage sûres et adéquates.


L'appel est donc lancé à une mobilisation générale pour réorienter les priorités budgétaires vers le secteur éducatif. La construction et la rénovation d'écoles doivent devenir une priorité nationale, accompagnées d'une formation adéquate pour les enseignants et d'un soutien aux familles pour assurer la scolarisation de tous les enfants.

Le temps est arrivé pour que le Tchad prenne conscience que l'éducation est le fondement de toute nation prospère. Ne plus laissez d'autres tragédies se produire. Agir dès maintenant pour construire un avenir meilleur pour les enfants.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste, reporter et photographe. Expert en communication digitale

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#Tchad #Société: L'État doit agir et mettre fin au carnage des camions-bennes au Tchad

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Sécurité routière au Tchad.
Louba-heindé Séraphin Adoumngar, journaliste indépendant, reporter, photographe et blogueur. Expert en communication digitale.

Le Tchad traverse une période sombre, marquée par des accidents tragiques causés par la circulation de camions-bennes dans les rues de ses villes, en particulier à N'Djamena. Les images de ces engins lourds déferlant sur les routes, souvent conduits par des chauffeurs imprudents, sont devenues trop familières. L’inaction des autorités face à cette situation alarmante n’est plus une option. Il est impératif que l'État assume ses responsabilités et prenne des mesures concrètes pour protéger la vie de ses citoyens.

Récemment, le ministre de la Sécurité, le général Ali Akabache a exprimé sa volonté d'encadrer la circulation des gros porteurs dans toutes les villes du pays. Cette déclaration, bien que bienvenue, doit être suivie d'actions tangibles. La mise en place de contrôles stricts est essentielle pour réglementer la circulation de ces camions et sanctionner les chauffeurs imprudents ainsi que leurs employeurs négligents qui encouragent et soutiennent sous l'ombre. Il est inacceptable que des vies soient mises en danger en raison de l'irresponsabilité de quelques-uns.

Les autorités doivent également cesser de soutenir ceux qui choisissent de défier les décisions gouvernementales. Il est temps que les responsables comprennent que leur rôle est de protéger la population, et non de fermer les yeux sur les comportements dangereux qui mettent en péril la vie de nombreux citoyens. Les policiers, en particulier, doivent faire preuve de rigueur et d'impartialité dans l'application des lois. Chaque jour, des familles pleurent la perte d'un être cher à cause d'accidents évitables. Il est crucial que ces tragédies cessent.

La question qui se pose est : pourquoi les propriétaires de camions-bennes continuent-ils à défier les décisions des plus hautes autorités du pays ? Cette insouciance peut s'expliquer par un manque de sanctions dissuasives et par une culture d'impunité qui semble prévaloir dans certains secteurs. Il est donc urgent que l'État mette en place un cadre légal robuste, accompagné de mesures punitives claires pour ceux qui enfreignent les règles.

Il est temps que le Tchad entier prenne conscience de l'urgence de la situation. L'État doit agir avec détermination pour mettre fin à ce carnage sur les routes. Les mesures annoncées par le ministre de la sécurité doivent se traduire par des actions concrètes et efficaces. La vie des citoyens ne doit pas être sacrifiée sur l'autel de l'indifférence. Ensemble, faisons en sorte que nos routes soient plus sûres pour tous.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste reporter et photographe. Expert en communication digitale.

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#Santé: Le Paludisme au Tchad : L'importance des moustiquaires imprégnées pour la protection des familles

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Santé
Le Tchad fait face au paludisme


Le Tchad, pays d'Afrique centrale, fait face à un fléau de santé publique majeur : le paludisme. Cette maladie, transmise par les piqûres de moustiques infectés, représente une menace sérieuse pour la santé des populations, en particulier dans les zones rurales où l'accès aux soins médicaux est limité. Chaque année, des milliers de cas sont signalés, et le paludisme demeure l'une des principales causes de morbidité et de mortalité, en particulier chez les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes.

Face à cette situation alarmante, la lutte contre le paludisme est devenue une priorité pour le gouvernement tchadien et les organisations internationales de santé. Parmi les mesures préventives les plus efficaces figure l'utilisation de moustiquaires imprégnées d'insecticide. Ces moustiquaires, qui offrent une protection durable contre les piqûres de moustiques, sont un outil essentiel pour réduire la transmission du paludisme.

Pourquoi les Moustiquaires Imprégnées ?

Les moustiquaires imprégnées sont conçues pour créer une barrière entre les individus et les moustiques porteurs du parasite Plasmodium, responsable du paludisme. En dormant sous une moustiquaire, les familles peuvent considérablement diminuer leur risque d'infection. De plus, l'insecticide contenu dans le tissu des moustiquaires agit non seulement en repoussant les moustiques, mais aussi en les tuant au contact. Cela contribue à réduire la population de moustiques dans la communauté, offrant ainsi une protection supplémentaire à ceux qui ne dorment pas sous une moustiquaire.


Un Appel à l'Action

Il est impératif que chaque famille tchadienne prenne conscience de l'importance d'utiliser des moustiquaires imprégnées. Les autorités sanitaires encouragent la distribution de ces moustiquaires dans les zones à risque et sensibilisent la population sur leur utilisation correcte. Chaque membre de la famille doit être impliqué dans cette lutte ; il est crucial que les moustiquaires soient installées correctement et utilisées chaque nuit.

Les campagnes de sensibilisation doivent également aborder d'autres mesures préventives, telles que l'élimination des eaux stagnantes où les moustiques se reproduisent, le port de vêtements longs et clairs, et l'utilisation d'insecticides dans les habitations. La combinaison de ces stratégies peut contribuer à réduire significativement le nombre de cas de paludisme.


Conclusion

Le paludisme est un défi majeur au Tchad, mais avec des efforts concertés et l'engagement de chaque famille à utiliser des moustiquaires imprégnées, il est possible de faire reculer cette maladie. La protection commence à la maison, et chaque geste compte dans la lutte contre le paludisme. Ensemble, nous pouvons bâtir un avenir où le paludisme ne sera plus une menace pour nos enfants et nos communautés. Protégeons-nous, protégeons nos familles !

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste, reporter et photographe. Expert en communication digitale et en urgence sanitaire au Tchad.

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Publié dans OMS, UNICEF, COMMUNICATION, Tchad

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#Santé et #Environnement: Non à la défécation à l'air libre, les parents doivent savoir plus.

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Santé et Environnement
La caricature réalisée par le journaliste Louba-heindé Séraphin A.

La défécation à l'air libre est un problème de santé publique majeur qui touche de nombreuses communautés à travers le monde. Associée à de mauvaises pratiques d'hygiène, elle représente un risque sérieux pour la santé, en particulier pour les enfants. Les matières fécales sont en effet la principale cause de mortalité, de morbidité, de dénutrition et de retard de croissance chez les jeunes enfants. De plus, la défection à l'air libre peut avoir des conséquences négatives sur le développement cognitif des enfants, compromettant ainsi leur avenir.

Les maladies liées à la défécation à l'air libre sont nombreuses et variées. Parmi elles, on trouve les maladies diarrhéiques aiguës, le choléra, l'hépatite A, l'hépatite E, la fièvre typhoïde, ainsi que des infections plus graves comme la tuberculose extra-pulmonaire. Ces maladies peuvent entraîner des hospitalisations, des traitements coûteux et, dans les cas les plus graves, la mort.

Face à ce constat alarmant, il est impératif que les parents prennent des mesures pour protéger la santé de leurs enfants. L'utilisation de latrines modernes ou améliorées est une solution efficace pour éviter la défécation à l'air libre. En fournissant un accès adéquat à des installations sanitaires appropriées, nous pouvons réduire considérablement le risque de transmission de maladies et améliorer la qualité de vie des communautés.

Il est également essentiel de sensibiliser les populations sur l'importance de l'hygiène et de l'assainissement. Des campagnes d'information peuvent aider à changer les comportements et à promouvoir des pratiques saines. Ensemble, nous pouvons lutter contre la défection à l'air libre et ses conséquences dévastatrices.

La défécation à l'air libre n'est pas seulement un problème d'hygiène ; c'est une question de santé publique qui nécessite une action collective. En encourageant l'utilisation de latrines adéquates et en sensibilisant les communautés, nous pouvons protéger la santé des enfants et assurer un avenir meilleur pour tous. Dites non à la défécation à l'air libre !

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste et Expert en communication des gestions des urgences sanitaires au Tchad.

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#Média: Le cabinet Ceforep et le journal Bande Info ont signé un contrat de partenariat 

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Média
Le journal en ligne Bande Info et le CEFOREP

Dans la visée de mutualiser leurs actions, les directeurs du cabinet d'études et conseils Ceforep Okakalah Hervé et Mbaigolmem Arnaud du journal Bandeinfo ont paraphé un document de partenariat.

Ce partenariat gagnant-gagnant vise essentiellement à communiquer autour des activités du cabinet d'études et de conseils Ceforep dans la visée de donner une visibilité plus accrue, mais aussi  accompagner le journal dans des formations spécialisées.

Les deux directeurs ont émis le vœu de voir ce partenariat propulser les deux entreprises a l'échel national et international.

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#Média: Le ministère des communications et de l'économie numérique et de la Digitalisation de l'Administration avec l'appui financier de l'UNICEF/Tchad se soucient des vies des enfants tchadiens.

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Média
L'équipe du ministère des communications

Lors d'une réunion préparatoire à la Maison des Médias du Tchad, les experts en communication, mobilisateurs du web et influenceurs ont été réunis pour discuter de l'importance de promouvoir des pratiques et comportements favorables au bien-être des enfants. Le point focal, Kondol Dieudonné, a introduit la session en soulignant les objectifs de cette initiative.

Le Secrétaire Général du ministère des Communications et de l'Économie Numérique, M. Elon, a ensuite pris la parole pour mettre en avant l'importance de l'écoute sociale dans ce processus. Il a insisté sur quatre résultats clés qui nécessitent une attention particulière : 

1. Scolarisation des filles: Encourager l'accès à l'éducation pour la petite fille tchadienne, en mettant l'accent sur l'importance de l'école dans le développement personnel et social.
   
2. Enregistrement des naissances : Souligner la nécessité d'enregistrer chaque naissance pour garantir les droits des enfants et leur accès aux services essentiels.

3. Vaccination : Promouvoir les campagnes de vaccination pour protéger la santé des enfants et prévenir les maladies.

4. Lutte contre la défécation à l'air libre : Sensibiliser sur les dangers sanitaires associés à cette pratique et promouvoir des solutions durables pour améliorer l'hygiène et l'assainissement.

Cette rencontre vise à mobiliser les acteurs du web et les influenceurs pour qu'ils deviennent des relais d'information et d'action, afin de sensibiliser la population sur ces enjeux cruciaux pour le bien-être des enfants au Tchad.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste, reporter et photographe. Expert en communication digitale.

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#Média #Moundou : Une vingtaine de participants à l’école du journalisme

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

#Média
Le formateurs, M. Djasrabé Ndingamndôh


Dans le cadre de la deuxième série de formation en communication et en journalisme initiée par la société de médias visionnaires  à l’intention des communicateurs,  des journalistes et des étudiants de la ville de Moundou, chef-lieu de la province du Logone occidental, prévue du 11 au 20 février 2025, dans les locaux de la radio Vision Fm, antenne de Moundou, il est procédé ce mardi 11 février, au lancement de ladite formation. 

Selon le coordonnateur de la radio Vision Fm, antenne de Moundou, Golmem Ali Emmanuel, cette formation permettra aux participants de cerner tous les contours du journalisme et de la communication. 

Par la suite, l’un des formateurs, M. Djasrabé Ndingamndôh qui a axé sa première intervention sur l’initiation à l’écriture journalistique donnant quelques définitions notionnelles des jargons journalistiques  et communicationnels a invité les participants, la plupart des correspondants du Groupe Média Visionnaire de la zone Sud de faire appel à la curiosité, à l’étonnement, à l’éveil, à l’anticipation, à l’objectivité, à la véracité, à la créativité, à l’innovation, à l’impartialité et à la  neutralité pour mieux informer le public afin de se démarquer des autres. 

Pour lui, le journalisme est un métier noble mais trop exigeant. « Il faut s’armer de courage et de la patience et observer strictement les règles d’éthique et de déontologie qui s’imposent au métier afin de raconter, de rapporter, de dénoncer, d’éduquer, de sensibiliser et de distraire son audience », a-t-il soutenu. 

Durant 10 jours, les participants s’entretiendront sur des thématiques telles que l’initiation à l’écriture journalistique, la production radiophonique et audiovisuelle, les techniques de prise de vue, le traitement des sons, la gestion d’antenne, l’éthique et la déontologie du journaliste tout en menant des travaux pratiques et des descentes sur le terrain.
 

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#Tchad #Société: Avenir De la Tchiré interpelle le Président sur les nominations du nouveau gouvernement

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Dans un direct captivant diffusé sur sa page Facebook, Avenir De la Tchiré, directeur de publication, journaliste et analyste politique, a interpellé le Président de la République du Tchad à travers le nouveau gouvernement formé par le Premier ministre Allah Maye Halina, dévoilé hier, 6 février. Avec une voix forte et claire, De la Tchiré a affirmé son attachement à l'unité du Tchad, déclarant : « Je ne suis pas un partisan de la dislocation du Tchad, je suis pour l'unité du Tchad. »

Politique et société.
Journaliste et spécialiste des questions sociétales, analyste politique, Avenir De La Tchiré

Au cours de son intervention, il a procédé à une analyse approfondie de la liste des 37 ministres nommés. Il a souligné une disparité préoccupante : parmi les membres du gouvernement, seulement 8 ministres proviennent du sud du pays. De plus, il a noté qu’aucun membre du sud n’a été nommé à la présidence, ce qui soulève des questions sur l'inclusivité et la représentativité au sein des instances décisionnelles.

Avenir De la Tchiré a mis en lumière l'appel du président à la refondation et à l'unité du Tchad, tout en soulignant l'importance d'une représentation équilibrée dans les nominations. Selon lui, pour que les objectifs fixés par le gouvernement soient atteints, il est crucial que le Maréchal du Tchad prenne en considération une révision des critères de nomination aux postes de responsabilité.

Il a insisté sur le fait que l'unité nationale ne peut être atteinte que si toutes les régions et toutes les communautés sont représentées dans les instances gouvernementales. La diversité est une force qui peut renforcer la cohésion sociale et favoriser un développement harmonieux du pays.

Avenir De la Tchiré a conclu son intervention en appelant le président à agir rapidement pour corriger ces déséquilibres afin de garantir que tous les Tchadiens se sentent inclus dans le processus de gouvernance. Il a exprimé l'espoir que cette interpellation puisse susciter un dialogue constructif sur la question de la représentation et de l'unité nationale.

Cette prise de parole est un rappel puissant de l'importance de l'inclusivité dans la gouvernance et du rôle crucial que chaque voix peut jouer dans la construction d'un Tchad uni et prospère.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, expert en communication digitale, journaliste

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#Tchad: retour volontaire des réfugiés nigérians

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Humanitaire
Le retour des réfugiés nigérians ce matin au pont de Nguéli

Ce matin, à la frontière entre le Tchad et le Cameroun, précisément à Nguéli, un événement marquant s'est produit : plus de 7 000 réfugiés nigérians, qui s'étaient installés depuis plusieurs années à Bagasola, dans la province du Lac, ont décidé de rentrer chez eux. Cette décision fait suite à la signature d'une convention de retour volontaire, scellée entre le gouverneur de Maiduguri, le délégué général du gouvernement auprès de la province du Lac et le représentant du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR).

Cette initiative vise à faciliter le retour des réfugiés dans un cadre sécurisé et organisé, en tenant compte des conditions de vie et de sécurité dans leur région d'origine. Les autorités locales et les agences humanitaires se sont engagées à fournir l'assistance nécessaire pour garantir un retour digne et sécurisé.

Les réfugiés, qui avaient fui les violences et l'insécurité dans le nord-est du Nigeria, expriment un mélange d'espoir et d'appréhension face à ce retour. Beaucoup d'entre eux ont laissé derrière eux leurs maisons et leurs biens, mais sont déterminés à retrouver leurs racines et à reconstruire leur vie.

Le HCR a salué cette initiative, soulignant l'importance du retour volontaire dans le cadre de la résolution des crises migratoires. Le représentant du HCR a également réaffirmé l'engagement de l'agence à soutenir les efforts de réintégration des réfugiés, en collaborant avec les gouvernements et les organisations locales.

Ce retour massif marque une étape importante dans le processus de réhabilitation des zones touchées par le conflit et témoigne de la résilience des communautés nigérianes. Les autorités espèrent que ce mouvement incitera d'autres réfugiés à envisager un retour, tout en continuant à travailler pour améliorer les conditions de sécurité et de vie dans la région.

Alors que ces réfugiés commencent leur voyage vers le Nigeria, l'espoir d'un avenir meilleur les accompagne, ainsi que la promesse d'un soutien continu pour les aider à reconstruire leur vie sur leur terre natale.

Par Salomon et Louba-heindé Séraphin 

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