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diplomatie

#Société: La volonté de travailler avec le Président Mahamat Idriss Deby Itno est visibles par son entourage surtout son gouvernement.

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Politique et société.
Le Chef d'État Major de l'Armée de Terre, le Général Hoïnaty Marcel D.


Dans une situation complexe, les institutions de l'État commencent à se remettre sur les rails. Lors d'une visite inopinée sur les sites électriques de Djarmaya, Mahamat Idriss Déby Itno a constaté que certains responsables et chefs de départements ministériels ne lui inspiraient pas confiance. Il a remarqué que les réalités du terrain étaient loin de ses attentes.

À commencer par le tronçon de 25 km reliant la capitale, qui n'était pas bitumé. Après plus d'une heure de route, le Président n'avait toujours pas atteint sa destination, et, pire encore, l'axe était mal entretenu, malgré le fait que les travaux avaient été bien entamés. Son mécontentement s'est rapidement manifesté, et au lendemain de cette visite, tous les chantiers de bitumage gérés par Sogea-Satom ont repris là où les travaux avaient été bloqués.

Parallèlement, le Maréchal du Tchad a ordonné qu'aucun ministre, responsable ou chef de service ne reste au bureau sous la climatisation pour donner des ordres. C'est terminé : chacun doit s'investir dans son travail sur le terrain, a déclaré le Chef de l'État.

Aujourd'hui, c'est ce que l'on observe dans la majorité des institutions de l'État. L'exemple chez les responsables des armées. Le CEMGA, le Général Abdelkrim Daouda a pris la zone du nord du Tchad pour contrôler l'armée et le CEMAT, le général Hoinaty Marcel vers le sud pour galvaniser les hommes en treillis dans leurs différentes structures de sécurité.

Le ministre de la sécurité, le général A. Akabach

Actuellement, tout le monde est au travail, et même les missions à l'extérieur, souvent abusives, ont été quelque peu freinées. Avec la page définitivement tournée de la transition, seuls les meilleurs chemineront aux côtés de ce premier Président de la 5e République.

Loin des enjeux géopolitiques et des diverses tentatives de sabotage au Tchad, Mahamat Idriss Déby Itno prône l'unité nationale et la cohésion sociale, un héritage laissé par le feu Maréchal Idriss Déby Itno.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste reporter et photographe. Expert en communication digitale.

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#TCHAD: Vers une nouvelle ère sous le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Analyse politique
Louba-heindé Séraphin Adoumngar, journaliste indépendant, reporter, photographe et blogueur. Expert en communication digitale.


La transition politique au Tchad semble enfin prendre un tournant décisif avec les récentes élections sénatoriales. Le Maréchal du Tchad, Président de la République, Chef de l'État Mahamat Idriss Déby Itno, qui a dirigé le pays depuis le décès de son père en 2021, est arrivé à la fin definitive. Il se prépare à se consacrer pleinement à son mandat, laissant derrière lui les incertitudes d'une période de transition plus ou moins prolongée. Ce moment marque une étape cruciale et importante pour la nation tchadienne, qui aspire à une stabilité politique durable. Grâce à sa détermination le meilleur se dessine.

Sous la direction du Maréchal du Tchad Mahamat Idriss Déby Itno, des efforts considérables ont été déployés pour unir les tchadiens de tout bord sans exception malgré les personnes indésirables qui cherche à ternir sa politique et sa volonté d'engager un dialogue inclusif est palpable. Une majorité de la population semble apprécier cette démarche, témoignant d'un désir collectif d'harmonie et de coopération. Cependant, des voix discordantes émergent, notamment parmi certains politiciens moins connus qui, par crainte de perdre leur influence, nourrissent des idées de vendetta. Ces inquiétudes pourraient représenter un obstacle à la mise en œuvre des politiques du Président de la République.

Ce qui distingue Mahamat Idriss Déby Itno, c'est sa capacité d'écoute. Dans un environnement politique souvent tumultueux, cette qualité pourrait s'avérer déterminante pour naviguer à travers les défis et les oppositions. En tendant la main aux différentes factions du pays, il pourrait non seulement apaiser les tensions, mais aussi renforcer sa légitimité et son autorité.

Par ailleurs, la question de la sécurité demeure cruciale. L'absence de l'armée française au Tchad, est perçue comme un pilier du système sécuritaire tchadien, appelle à une redéfinition des relations de coopération et de collaboration. Le Tchad doit envisager des solutions autonomes tout en maintenant des partenariats stratégiques pour garantir la sécurité et la stabilité régionale et aussi à l'intérieur du Tchad.

Dans l'ensemble, le Maréchal du Tchad semble être sur une bonne lancée. Les défis sont nombreux, mais avec une approche inclusive et une volonté affirmée de rassembler les tchadiens, Mahamat Idriss Déby Itno pourrait bien ouvrir la voie vers une nouvelle ère de paix et de prospérité pour son pays. La transition est loin d'être terminée, mais les fondations d'un avenir prometteur semblent se dessiner sous sa direction.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste reporter et photographe. Expert en communication digitale.

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#TCHAD: Congrès extraordinaire du MPS, vers une refondation du Tchad

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Politique et société.
Le président de la république, Mahamat Idriss Deby Itno


Le palais des arts et de la culture s'est paré de ses plus beaux atours pour accueillir un événement marquant dans l'histoire politique du Tchad : le congrès extraordinaire convoqué par le président d'honneur, le Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno. Sous le thème évocateur de "Refondation du Tchad", cette rencontre s'inscrit dans une dynamique de renouveau et d'engagement envers les valeurs fondamentales qui ont toujours guidé le Mouvement Patriotique du Salut (MPS).


Les sympathisants et membres du MPS se sont rassemblés en grand nombre pour discuter des enjeux cruciaux qui se présentent à la nation tchadienne. Dans un contexte marqué par des défis multiples, tant sur le plan économique que social, le président de la République a souhaité rappeler l'importance d'une mobilisation collective pour faire face aux attentes légitimes de la population.

Lors de son allocution d'ouverture, le Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno a exprimé sa détermination à mener à bien son quinquennat en mettant l'accent sur la nécessité d'un leadership fort et visionnaire. "Il est temps d'agir avec responsabilité et clairvoyance", a-t-il déclaré, soulignant que le MPS doit être à l'avant-garde des réformes nécessaires pour bâtir un Tchad moderne et prospère.


Le congrès sera l'occasion de rappeler que les élections à passées et à venir représentent un moment crucial pour le parti et pour le pays. Le MPS, en tant que force politique majeure, se doit de préparer ses membres et sympathisants à relever ce défi. L'engagement civique et la participation active de chacun sont essentiels pour garantir la continuité des actions menées en faveur du développement et de la stabilité du Tchad.

Des ateliers et des discussions seront organisés tout au long de la journée, permettant aux participants d'échanger des idées, de partager des expériences et de proposer des solutions concrètes aux problématiques rencontrées par le pays. La refondation du Tchad ne pourra se faire sans une implication réelle de tous les acteurs de la société.

Ce congrès extraordinaire n'est pas seulement une simple réunion politique ; il marque une étape décisive dans la construction d'un avenir meilleur pour le Tchad. Le MPS, sous la direction éclairée du président Mahamat Idriss Deby Itno, se positionne comme un acteur clé dans cette refondation, prêt à relever les défis qui se présentent à lui.

Cet événement a réaffirmé la volonté du MPS de travailler main dans la main avec les Tchadiens pour construire un pays uni, solidaire et résilient. La refondation du Tchad est en marche, et chaque membre du MPS est appelé à jouer un rôle actif dans ce processus historique. Le chemin sera long, mais ensemble, tout est possible.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR 

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#TCHAD #RCA: Analyse de la montée politique en Afrique : Le Tchad, la Centrafrique et le retrait militaire français

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Politique et société.
Les autorités des deux pays à Moundou


La dynamique géopolitique en Afrique centrale est en pleine mutation, alors que les gouvernements du Tchad et de la Centrafrique s'engagent dans des discussions pour établir une force militaire mixte. Ce développement survient dans un contexte où le ministre français a annoncé la fermeture des bases militaires françaises sur le continent et un changement de stratégie axé sur le développement d'écoles françaises. Alors que le délai du 31 janvier 2025 pour le retrait définitif des forces françaises du Tchad approche, plusieurs questions se posent quant à l'avenir de la sécurité régionale et des relations franco-africaines.

La fin d'une ère militaire

Le retrait des troupes françaises, qui ont longtemps été perçues comme un garant de la stabilité dans la région, marque une rupture significative dans les relations entre la France et ses anciennes colonies. Ce changement de cap pourrait être interprété comme une volonté de la France de se distancer d'un modèle d'intervention militaire qui a suscité des critiques tant en Afrique qu'en Europe. Cependant, cette stratégie soulève des inquiétudes quant à la vacance sécuritaire qui pourrait en résulter, notamment dans des pays comme le Tchad et la Centrafrique, où les conflits internes et les menaces terroristes demeurent préoccupants.

Une réponse régionale : La force mixte Tchad-Centrafrique

Face à cette situation, l'initiative des ministres des Défenses du Tchad et de la Centrafrique d'établir une force mixte apparaît comme une réponse pragmatique aux défis sécuritaires croissants. Moundou, ville stratégiquement choisie pour accueillir cette force, pourrait devenir un symbole de coopération régionale et d'autonomie face aux influences extérieures. Cette démarche vise non seulement à renforcer la sécurité interne, mais également à affirmer la souveraineté des deux pays dans un contexte où l'absence des forces françaises pourrait créer un vide à exploiter par divers groupes armés.

Les implications politiques

La montée politique observée dans cette région pourrait également être interprétée comme un tournant vers une plus grande autonomie décisionnelle pour les pays africains. En cherchant à établir une force militaire conjointe, le Tchad et la Centrafrique montrent leur volonté de prendre en main leur propre sécurité, tout en renforçant les liens bilatéraux. Cela pourrait également inciter d'autres nations africaines à envisager des solutions similaires face aux défis sécuritaires.

Pour mettre fin à la décision

Alors que le délai pour le retrait des forces françaises se rapproche, le paysage sécuritaire en Afrique centrale est en pleine évolution. L'initiative de créer une force mixte entre le Tchad et la Centrafrique pourrait être perçue comme un acte de souveraineté et de responsabilité partagée face aux menaces régionales. Cependant, il reste à voir si cette coopération sera suffisante pour compenser l'absence des troupes françaises et garantir la stabilité nécessaire pour un développement durable dans ces pays. La montée politique actuelle témoigne d'une Afrique en quête d'identité et de contrôle sur son destin, tout en naviguant dans un environnement international complexe et souvent incertain.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR

#TCHAD #RCA: Analyse de la montée politique en Afrique : Le Tchad, la Centrafrique et le retrait militaire français
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#POLITIQUE: Le gouvernement du Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno et l’avènement de la 4e législature

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Politique et société.
Le Marechal du Tchad, Chef de l'État, Président de la république, Mahamat Idriss Deby Itno


Dans un contexte politique marqué par des tensions et des contestations, le gouvernement du Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno s'affirme progressivement comme un acteur clé de la transition vers une 5e République au Tchad. Avec l'arrivée de la 4e législature, le président de la République adopte une approche réfléchie et posée dans sa gestion des affaires de l'État, appelant à l'unité et à l'engagement de tous les citoyens pour bâtir un avenir meilleur.

Depuis sa prise de pouvoir, le Maréchal Deby Itno a mis en avant la nécessité d'un dialogue inclusif, cherchant à rassembler les différentes forces politiques autour d'un projet commun. Malgré les critiques émanant de l'opposition, qui exprime ses préoccupations concernant la transparence et la démocratie, le président reste déterminé à poursuivre son agenda de réformes. Dans ses discours, il insiste sur l'importance du travail collectif pour surmonter les défis économiques et sociaux auxquels le pays est confronté.

Le climat politique actuel est cependant loin d'être apaisé. Les manifestations sporadiques et les revendications des partis d'opposition témoignent d'une insatisfaction persistante au sein de la population. Les leaders politiques appellent à une plus grande inclusion dans le processus décisionnel et à des garanties sur les droits civiques. En réponse, le gouvernement s'efforce de démontrer sa volonté d'écoute et d'ouverture, tout en maintenant l'ordre public.

La 4e législature, qui se profile à l'horizon, représente une étape cruciale pour le pays. Elle est perçue comme une opportunité de renforcer les institutions et de consolider les acquis démocratiques. Le président Deby Itno appelle donc tous les acteurs politiques à participer activement à ce processus, soulignant que la réussite de cette transition dépendra de l'engagement de chacun.

Le gouvernement du Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno s'inscrit dans une dynamique de changement avec l'arrivée de la 4e législature. Malgré les contestations, le président affiche une volonté ferme de travailler pour le bien-être du Tchad, invitant tous les citoyens à se mobiliser pour construire ensemble une 5e République plus forte et plus inclusive. Le chemin reste semé d'embûches, mais l'espoir d'un avenir meilleur demeure au cœur des aspirations tchadiennes.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste, reporter et photographe

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#Politique: Le retrait des États-Unis de l'OMS, une décision qui inquiète l'Union Européenne

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Politique et Santé
Les États-Unis quitte l'OMS


Dans un tournant décisif pour la diplomatie sanitaire mondiale, le 47e président des États-Unis a signé hier un décret marquant le retrait officiel de son pays de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Cette décision fait suite à une campagne électorale durant laquelle Donald Trump a constamment critiqué l'organisation, l'accusant d'avoir "escroqué" les États-Unis en matière de gestion de la pandémie de COVID-19.

Le retrait des États-Unis, qui représentent l'un des principaux contributeurs financiers à l'OMS, soulève des inquiétudes majeures au sein de l'Union Européenne. Les dirigeants européens craignent que cette décision ne fragilise davantage la coopération internationale en matière de santé publique, déjà mise à mal par la crise sanitaire mondiale. L'OMS joue un rôle crucial dans la coordination des efforts pour lutter contre les pandémies, partager des informations et fournir un soutien technique aux pays en développement.


Des responsables européens ont exprimé leur préoccupation quant aux conséquences potentielles de ce retrait. "L'absence des États-Unis au sein de l'OMS pourrait avoir des répercussions significatives sur la capacité de l'organisation à répondre efficacement aux crises sanitaires mondiales", a déclaré un porte-parole de la Commission européenne. Les experts soulignent également que la coopération internationale est essentielle pour faire face à des menaces sanitaires qui transcendent les frontières.

En parallèle, cette décision pourrait également influencer le financement et les ressources allouées à l'OMS, mettant en péril des programmes vitaux pour la santé mondiale. Alors que les pays du monde entier continuent de lutter contre la pandémie de COVID-19 et ses variantes, le besoin d'une réponse coordonnée n'a jamais été aussi urgent.

Face à cette situation, l'Union Européenne pourrait être amenée à renforcer son propre engagement envers l'OMS et à plaider pour une réforme de l'organisation afin d'améliorer son efficacité et sa transparence. Les pays européens sont déterminés à maintenir une approche multilatérale face aux défis mondiaux, tout en appelant à une solidarité accrue entre les nations.

Dans ce contexte incertain, il reste à voir comment cette décision influencera les relations internationales et la gouvernance mondiale en matière de santé. Les prochains mois seront cruciaux pour déterminer l'avenir de la coopération internationale dans ce domaine vital.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste reporter et photographe 

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#Tchad: Cérémonie de consécration du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, un nouveau chapitre pour le Tchad

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Élévation du président de la République Le Maréchal du Tchad, Mahamat Idriss Deby Itno.

Le palais de Toumaï a été le théâtre d'une cérémonie solennelle marquant la consécration du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, récemment proclamé président de la République du Tchad. L'événement, qui a rassemblé des personnalités politiques, militaires et civiles, a été ouvert par le président du Conseil National de Transition (CNT), Dr Haroun Kabadi.


Après une introduction empreinte de solennité, le ministre délégué auprès du Secrétaire Général du Gouvernement (SGG) a procédé à la lecture du décret officialisant la promotion du Maréchal. Ce moment fort a été suivi par une présentation détaillée de la biographie du nouveau Maréchal, mettant en lumière son parcours exceptionnel, ses contributions à la sécurité nationale et son engagement pour le développement du pays.

La cérémonie a également été l'occasion pour Dr Haroun Kabadi de souligner l'importance de cette nomination dans le contexte actuel du Tchad, marqué par des défis sécuritaires et politiques. Il a exprimé l'espoir que sous le leadership du Maréchal Déby, le pays puisse avancer vers une paix durable et un développement inclusif.


Les discours prononcés ont été ponctués par des moments de recueillement et de célébration, témoignant de l'adhésion des Tchadiens à cette nouvelle ère politique. Les participants ont salué la détermination du Maréchal à poursuivre les efforts de réconciliation nationale et à renforcer les institutions démocratiques.

La cérémonie s'est conclue par une prise de parole du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, qui a remercié les Tchadiens pour leur confiance et a réaffirmé son engagement à servir la nation avec honneur et intégrité. Il a appelé à l'unité et à la mobilisation de tous les acteurs de la société pour relever les défis auxquels le Tchad est confronté.

Cette journée historique marque un tournant pour le Tchad et ouvre la voie à de nouvelles perspectives sous le leadership du Maréchal Déby. Les yeux sont désormais tournés vers l'avenir, avec l'espoir d'un Tchad pacifié et prospère.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste indépendant.

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#TCHAD: Le Tchad accélère le processus de retrait de l'armée française d'ici janvier 2025

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Diplomatie

Le 28 novembre dernier, le Tchad a officiellement annoncé son retrait de l'accord de coopération militaire signé avec la France dans les années 1970. Cette décision, annoncée par le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, Chef de l'État tchadien, a été justifiée par le caractère obsolète de cet accord face aux réalités actuelles.

Selon les déclarations du gouvernement tchadien, cette mesure implique le départ de toutes les troupes françaises stationnées sur le sol tchadien. La demande de retrait a été formellement communiquée à Paris le 19 décembre. Le Tchad a fixé un délai pour le départ des soldats français, qui ne devra pas dépasser le 31 janvier 2025. Toutefois, des négociations sont en cours pour discuter des modalités de cette transition.

Cette décision s'inscrit dans un contexte régional complexe, marqué par des enjeux sécuritaires croissants et une volonté du Tchad de redéfinir ses relations militaires et diplomatiques. Le retrait des troupes françaises pourrait avoir des répercussions sur la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel, où la France a joué un rôle clé en soutenant les forces locales.


Les autorités tchadiennes semblent déterminées à renforcer leur souveraineté nationale tout en cherchant à établir de nouveaux partenariats qui répondent mieux à leurs besoins stratégiques. La situation sera à suivre de près, car elle pourrait influencer les dynamiques de sécurité et de coopération militaire dans toute la région.

Les discussions entre N'Djamena et Paris se poursuivent, et il reste à voir comment cette décision affectera les relations bilatérales entre les deux pays à l'avenir.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste indépendant.

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#Syrie: La chute de la dynastie Assad : Une énigme politique au cœur du Moyen-Orient

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

L'armée syrienne est composée de sa famille depuis la veille des troubles de 2011, on voit cette armée l'a abandonné en se ralliant aux rebelles. La peur incarne Assad et fait partir sa famille et il prend la poutre d'escampette. Plus de 40 ans, le dictateur et sanguinaire Bachar Al- Assad reste introuvable depuis 04h du matin. Le premier ministre accepte de collaborer avec les nouveaux rebelles syriens.

Chute de Bachar Al Assad Le porte-parole des rebelles syriens.

Depuis le début de la guerre civile syrienne en 2011, la dynastie Assad, qui dirige le pays depuis plus de quatre décennies, a été confrontée à des défis sans précédent. La révolte populaire contre le régime de Bachar Al Assad a rapidement dégénéré en un conflit complexe impliquant des acteurs nationaux et internationaux. Alors que les rebelles ont gagné du terrain, la question de la survie de la dynastie Assad est devenue un enjeu politique majeur.

Au cours des dernières années, une coalition de groupes rebelles se reconstitue à tout moment contre lui et aujourd'hui cette coalition a réussi à faire fuir le président syrien, dont la présence sur le territoire est devenue incertaine. Les informations sur son emplacement sont rares et souvent contradictoires, alimentant les spéculations sur son sort. Certains rapports suggèrent qu'il se cache dans des lieux sécurisés, tandis que d'autres évoquent une possible fuite à l'étranger.

Le soutien indéfectible de la Russie à Bachar Al-Assad a été un facteur déterminant dans la dynamique du conflit. Moscou avait fourni une aide militaire cruciale, permettant au régime de continuer sur le terrain face aux forces rebelles. Ce soutien a également permis à Assad de maintenir une certaine légitimité sur la scène internationale, malgré les accusations de crimes de guerre et de violations des droits de l'homme.

Cependant, la situation sur le terrain reste volatile. Les rebelles, bien que fragmentés, continuent de mener des offensives contre les positions gouvernementales. De plus, l'intervention d'autres acteurs régionaux et internationaux complique davantage la situation. l'Iran, par exemple, a également soutenu le régime d'Assad, tandis que des groupes jihadistes ont profité du chaos pour étendre leur influence.

La chute potentielle de la dynastie Assad soulève des questions cruciales sur l'avenir de la Syrie. Qui pourrait prendre le pouvoir en cas de vacance du pouvoir ? Quels seraient les impacts sur la stabilité régionale ? Les craintes d'un vide politique et d'une guerre de succession sont omniprésentes.

Alors que le monde observe avec attention l'évolution de cette crise, l'absence de Bachar Al Assad demeure un symbole puissant des incertitudes qui planent sur l'avenir du pays. La communauté internationale continue d'appeler à une solution politique durable, mais le chemin vers la paix semble encore long et semé d'embûches.

Cette chute de la dynastie Assad est une question politique complexe qui ne se limite pas à la simple disparition d'un leader. Elle représente un tournant potentiel dans l'histoire de la Syrie et du Moyen-Orient, avec des conséquences qui pourraient résonner bien au-delà des frontières syriennes. Les rebelles appelle par la voix de son porte-parole, Tahid Al Aycham que les Syriens de l'étranger regagnent la Syrie libre et aussi du premier ministre Muhammed Al-Djalali se dit prêt à collaborer et transmettre le pouvoir d'un nouveau leadership qui sera proposé par le peuple syrien.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste reporter et photographe.

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#TCHAD: Le Tchad remercie la France après 66 ans de coopération militaire : une décision stratégique ou symbolique ?

Publié le par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

Le Tchad remercie la France après 66 ans de coopération militaire : une décision stratégique ou symbolique ? Annoncée hier par le ministre des affaires étrangères Abdelaziz Koulamallah, beaucoup de réactions des tchadiens autour de cette nouvelle. Le Président Mahamat Idriss Deby se sent capable avec son armée. Peuvent-elles tenir face à certaines difficultés militaires?

Diplomatie et Politique
La France et le Tchad se séparent sur le plan militaire après 66 ans de coopération.

Le Tchad, au cœur de l’Afrique centrale, a hier à l’occasion de la fête de la proclamation de la République exprimé sa gratitude envers la France pour plus de six décennies de coopération en matière de défense militaire. Cette annonce, faite par les autorités tchadiennes, soulève des questions sur la pertinence et les implications d’une telle déclaration dans un contexte géopolitique en constante évolution.

Un partenariat historique

Depuis l’indépendance du Tchad en 1960, la France a joué un rôle crucial dans la stabilisation du pays face à divers défis sécuritaires, notamment les conflits internes et les menaces terroristes. La présence militaire française, à travers des opérations comme Barkhane, a été perçue comme un gage de sécurité pour le Tchad, un pays confronté à des groupes armés et à l’instabilité régionale.

Une décision symbolique

En remerciant la France, le gouvernement tchadien ne fait pas seulement écho à une tradition d’alliance ; il souligne également une volonté de maintenir des liens forts avec un partenaire historique. Ce geste peut être interprété comme une affirmation de la continuité d’une relation qui a permis au Tchad de bénéficier d’un soutien militaire et logistique essentiel.

Cependant, cette décision soulève des interrogations sur l’avenir de cette coopération. Dans un monde où les dynamiques de pouvoir évoluent rapidement, le Tchad doit également envisager d’autres partenariats, notamment avec des puissances émergentes comme la Russie ou la Chine. La dépendance à l’égard d’un seul partenaire pourrait limiter la marge de manœuvre diplomatique du pays.

Un contexte régional complexe

La situation sécuritaire au Sahel et dans le Lac-Tchad est marquée par l’activité de groupes jihadistes et par des tensions intercommunautaires. Dans ce contexte, le soutien français reste crucial, mais il est également nécessaire d’explorer des solutions locales et régionales. Le Tchad doit renforcer ses capacités militaires internes et travailler à des solutions diplomatiques pour garantir une paix durable.

Une nouvelle vision

La décision des autorités tchadiennes de remercier la France pour sa coopération militaire après 66 ans est à la fois un acte symbolique et un rappel des réalités complexes du paysage sécuritaire africain. Alors que le Tchad continue de naviguer dans ces eaux tumultueuses, il est essentiel qu’il adopte une approche équilibrée, tirant parti de son partenariat avec la France tout en diversifiant ses alliances stratégiques pour faire face aux défis futurs. La fidélité d’un allié est précieuse, mais la résilience d’un pays repose également sur sa capacité à s’adapter et à évoluer dans un monde en perpétuel changement.

Par LOUBA-HEINDE Séraphin ADOUMNGAR, journaliste reporter et photographe 

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