#Tchad: A un mois presque de travaux du DNIS, on ne sens rien

Publié le 17 septembre 2022 par Louba-heindé Séraphin Adoumngar

#DNIS: Dr Gali Gatta Ngoté ne donne pas la chance à ceux qui veulent distraire le dialogue. N'est-il pas un jeu? Sinon on remarque que après avoir perçu les perdiem, la salle est presque vide pour les pleinières.

A presque déjà un mois de l'ouverture du dialogue national inclusif et souverain, les participants et l'équipe du présidium ont toujours à se comprendre mais ils avancent tout de même.

Les tiraillements ne cessent de s'accroître, car le président du présidium donne l'intention d'un homme autoritaire face aux différentes interventions des participants.

Après les travaux dirigés par différents organes sur les cinq thématiques, les participants doivent présenter cela en pleinière afin de l'adopter. Alors lors de ses débats, Dr Gali Gatta Ngoté ne laisse personne s'exprimer pleinement sur certains points inscrits où oubliés dans l'ordre du jour. Ce qui donne l'impression que bon nombre ne se sent pas bien dans la salle et disparaît. Certains par la têtutesse s'imposent et créent de bruits dans la salle. Au vue des réponses que sorte de la bouche du chef de la salle, on dirait que quelque chose de bien préparer est là. Cette attitude bloque les bonnes idées à se taire sans les avoir exprimer. Certains déclarent à haute voix dans la salle que Gali est payé pour perturber les travaux en arrachant les paroles des autres. Le cas de la femme d'hier fait d'écho sur la toile.

Aussi, il faut noter que les journalistes l'attendent pour voir au clair leur situation de perdiem qui ne répondent pas aux critères des autres participants du DNIS. Ils menacent d'abandonner la suite de la couverture médiatique du dialogue national inclusif et souverain.

Par LSA

seraphinnews.com