Pour dire non aux avocats et à l'Etat
Tenu ce matin dans le local des journalistes, la Maison des Médias du Tchad les journalistes ont répondus présent pour suivre attentivement l’association Tchadienne la Libre Parole à la Jeunesse (ATLPJ). Me Koudé Mbainaissem a su tenir de longue à laine ce point de presse pour essayer de dire le maxi sur la jeunesse qui se laisse marginaliser. Il évoqué le rôle que joue la magistrature pour dénoncer les avocats qui sont intégrés à la Fonction Publique et qui ne travaillent pas car selon les principes, la loi n’autorise pas aux avocats à Fonction Publique car un magistrat doit se tenir hors du service de l’Etat. Bon nombre des avocats sont intégrés à la Fonction Publique par magouille et par complicité des chefs de service qui entre eux divisent les salaires pour orienter dans des comptes bloqués etc. personne n’ignore ces faits malicieuses qui terni l’image de la magistrature et qui rend pas service aux jeunes qui chôment en cherchant à travailler pour le pays, a-t-il relaté. Cette manie de faire doit s’arrêter car la jeunesse ne pourra plus se laisser faire comme ce que fait l’ENAM aujourd’hui. Pour la simplicité nous, jeunes tchadiens, voulons remettre les choses en ordre car le résultat du concours décrété et signé par le Président Déby, doit être annulé et se reprendre car y a des choses injustes qu’on ne pas les acceptées et tolérées. Bien de choses à revoir en faveur de la jeunesse tchadienne pour qu’on parle de la justice dans ce pays. Me Koudé n’a pas manqué de demander une poursuite judiciaire contre ses avocats qui ont leur nom à la Fonction Publique de s’écarter et que la justice fasse son travail puis remettre tout ce qui sera arraché pour le compte des jeunes. L’Association demande au Ministère de Moralisation et le Ministère de la Justice de saisir ces avocats au chemin pour que les choses aillent selon le droit.
Louba-heindé Séraphin A.