Le sujet est brulant et très important selon tous les intervenants présent dans la salle multimédia de la MMT. Selon M. Brahim Ali Seid, le gouvernement tchadien en collaboration avec le UNCHR ont fait de leur mieux pour atténuer la situation de l'apatridie pour chaque personne ait ou appartient à un pays. Il réaffirme que l'UNHCR est partenaire énorme dans la situation car sa contribution sur tout le plan a montré comment les choses ont avancé depuis que les deux pays voisins sont en guerre et les retournés ou encore les réfugiés souffrent de la cause. Il interpelle les hommes de médias à les aider pour l'atteinte de l'objectif signé par le Tchad pour 2024 car sans la presse les messages resterons bas. Pour Ody, la responsable en communication du UNHCR, le défi reste à relever selon les chiffre annoncé car le travail abattu continuera son chemin car depuis 2003 à nos jours, l'UNHCR et le gouvernement n'ont baissé le bras à cette lutte d'apatridie. Chaque personne vivante sur la planète terre doit appartenir à un pays avoir sa nationalité pour remplir son devoir civique etc. Plus des personnes sont resté encore sans un papier de reconnaissance d'un pays. Elle invite les médias à faire leurs travail de sensibilisation non seulement dans leur organe mais de sortir sur le terrain pour appuyer l’État à  mieux aboutir selon la convention signée pour 2024. Pour le Manager du TSM, Odina Jean Philippe, le travail du journaliste n'est pas limité. Il demande aux hommes des différents médias a avoir deux choses pour mieux accomplir leur tâche qui sont: la technique et l’éthique. Plus loin, il demande un travail de sérieux que cela soit en presse écrite , en ligne, la radio, la télévision et les réseaux sociaux etc. qu'on le fasse bien pour que chaque personne dispose une nationalité digne. 

Par Séraphin A.

Diguel du centre, N'Djari et Ouara ont bénéficié d'une formation sur la radicalisation et l'extrémisme violent. Des jeunes Lycéens et collégiens du 8^ème arrondissement puis certains responsables ont suivi une formation de qualité au complexe scolaire de Ouara.

 Bien connue de son impact dans les règlements des conflits et les affaires du terrorisme, l’ONG Action Tchadienne pour la Promotion des Initiatives Rurales (ATPIR) sait avertir la population à travers plusieurs stratégies de communication. En collaboration avec l’Union Européenne,  SWISSAID, UNICRI et le gouvernement tchadien, ont mit sur pied une base un système communicatif bien adaptée en s’inspirant de la situation des menaces terroristes qu’à connue le quartier Diguel en 2015 au camp d’instruction de la Police Nationale.

Plusieurs formations ont été organisées dans les quartiers du 8^ème arrondissement ainsi que dans des établissements scolaires publics et privés, indiquant les signes et les systèmes d’alertes en cas des attentats suicides. ATPIR par son Coordonnateur a mis sur pied des comités d’orientations sur le renforcement des communications et de sensibilisations de la population pour avertir des phénomènes tels que : la radicalisation et l’extrémisme selon ce que vis le Nigeria et le Mali. Ce projet vise à mettre au courant la population du 8^ème qui est la première victime de la situation, à faire preuve maintenant des réalités sur le terrorisme. Selon le Coordonateur de l’ATPIR, M. DJERANODJI Serge MBATITANGARTI, c’est un projet de renforcement de résilience communautaire contre l’extrémisme violent et de la radicalisation des jeunes face aux conflits locaux dans la commune du 8^ème arrondissement de la ville de N’Djamena, en ouvrant les travaux. Il relate que cet arrondissement dispose une population très jeune et aussi très vaste auquel tous s’intègre facilement c’est pourquoi des attentats perpétrés ont eu lieu. Alors il ne sera pas bon de venir à leur rescousse.

Dans le même sens, le Spécialiste en Population et Résolution des Conflits, M. PASSOUA RIGOMBA, dans son intervention face aux jeunes a laissé entendre que la jeunesse du 8^ème est très nombreux et le manque des initiatives de sensibilisation et communication peuvent jouer négativement sur leur mental à mieux cerner ses fléaux. Aussi il révèle que les responsables des dits quartiers du 8^ème doivent se doter d’une synergie de collaboration afin de garder les jeunes à l’abri de la radicalisation et de l’extrémisme violent. Pour Jean Philippe, les chiffres montrent au bout du doit comment les eux-mêmes doivent se mobiliser par des moyens de communication aujourd’hui à la portée de tous, en donnant des exemples sur les réseaux sociaux et dont les smartphones etc. permettent de se communiquer en masse et aussi d’agir. Très content de la formation, les jeunes ont à tour de rôle posé des questions d’éclaircissement en faisant le tour d’horizon sur la radicalisation et l’extrémisme violent. Cette journée d’échange a finie par une élection des bureaux dans les trois Lycées puis un bureau de coordination pour le trio. Très satisfait, le Coordonateur de l’ATPIR, M. DJERANODJI Serge MBATITANGARTI a félicité le courage de tout un chacun dans l’implication de cette lutte puis a interpellé ses jeunes à la vigilance et le courage.

Par L. Séraphin