societe et actualite

Dans un communiqué officiel, le Gouverneur de la province du Moyen-Chari, Abderaman Ahmat Bargou, a annoncé que le retour des éleveurs dans les zones agricoles est programmé pour le 31 décembre 2024. Cette décision vise à accorder aux agriculteurs le temps nécessaire pour mener à bien leurs récoltes sans subir de pression liée à la présence des troupeaux.

Le gouverneur a souligné que l'année 2024 n'a pas été propice aux agriculteurs en raison des conditions climatiques difficiles, marquées par des changements soudains et des phénomènes météorologiques extrêmes. Ces facteurs ont eu un impact négatif sur les cultures, compromettant la production de denrées alimentaires essentielles dans toute la province.

Dans ce contexte, Abderaman Ahmat Bargou a insisté sur l'importance de prendre des mesures préventives pour éviter d'éventuels conflits entre éleveurs et agriculteurs. Il a précisé que cette note constitue une directive claire et qu'aucune dérogation ne sera acceptée concernant le respect de cette date.

Le gouverneur appelle ainsi à la coopération de tous les acteurs concernés afin de garantir une cohabitation harmonieuse entre les différentes activités agricoles et pastorales, tout en préservant les intérêts vitaux des agriculteurs. Cette initiative s'inscrit dans une démarche de gestion durable des ressources et de promotion de la paix sociale au sein de la province du Moyen-Chari.

Par Krata Josianne, journaliste

La société des hydrocarbures du Tchad gère une galère de détournements des milliards dans son sein. Depuis la semaine fin de semaine dernière, les limogeages des responsables ont eu lieu. Certaines sources révèlent que les cadres de la formation gouvernementale de transition sont aussi à l'origine. La banque commerciale du Tchad (CBT) a été au départ cité pour complicité mais on apprend que c'est l'orabank qui est vue. Son directeur général. M. Bass est dans la main des agents de renseignements de la sécurité depuis quelques jours.

Quelques soit la durée de la nuit, le jour finira par apparaître. Déjà le paiement des salaires des fonctionnaires tchadiens tardent ce mois en cours, le mois de juillet serait compliqué si jamais le gouvernement de transition ne règle pas dans l'immédiat.

Par D. Ecric

A l'aéroport international Hassan Djamouss, les vols ont repris selon les ordres du Maréchal du Tchad.

Annoncé il y'a quelques semaines de la réouverture progressive des activités économiques du pays par le Maréchal du Tchad Idriss Déby Itno au comité de gestion de la crise sanitaire, les choses se précisent peu à peu sur toute l'étendue du territoire national. L'économie tchadienne a eu un choc terrible pendant plus de 3 mois pour faire face à la pandémie du coronavirus qui est un phénomène mondial, mais par les vigilances doublées partout par les autorités tchadiennes, la situation semble être débloquée.

Les marchés, les activités religieuses et les activités sportives ont bel et bien retrouvée leur chemin c'est le tour des transports aériens.

Ce matin, à l'aéroport international de N'Djamena, Hassan Djamouss, deux compagnies de vols aériens a savoir : éthiopian et égypt'air ont foulé le sol tchadien avec des passagers au bord.

C'estle début des activités aériens qui doit booster l'économie perdue y'a 3 mois de suspension. Il faut noter que le service de contrôle sanitaire de lutte contre le Covid-19 est resté debout pour chaque passager à la descente de l'avion.

Par LOUBA-HEINDE SÉRAPHIN

Bien ordonnée et bien organisée la Boulangérie Hyba a mis des dispositions positives sur les mesures barrières instaurées par le gouvernement de la République du Tchad pour freiner la pandémie du Covid-19. Depuis le 19 mars ou le premier cas a été signalé, cette entreprise de production des meilleurs pains restpectant les normes commerciales a mis toutes disposition pour la lutte. Dans toutes ses postes et usines de production les dispositifs sont installés dont les lavages des mains avec du savon, les respects des distanciations et aussi le contrôle strict des ports de masques.

Aussi, elle appuie ses environnants à une salubrité de qualité afin de garantir la santé de la population.

Par Séraphin

Par négligence de l'état du véhicule de transport, de la route et aussi une violation des mesures instaurées par le gouvernement par la rapport à la pandémie Covid-19, le résultat désastreux est arrivé ce jour 23 avril. Selon le témoignage, le chauffeur avait eu de sérieux problème dès son départ du marché de Dali la localité de la région du Mandoul car il aurait marché sur les marchandises des femmes exposées sur le marché et qu'il avait interpellé pour verser une somme de 150 000fCFA avant de continuer sur Koumra. Cette malchance l'a suivi jusqu'au dernier point où il n'acceptait plus la parole de ses passagers qui lui demandaient comme d'habitude à quelques mètres du pont de Ndila, les passagers descendent du véhicule pour laisser seul le véhicule traversé avant de les recharger à nouveau. Ainsi la vie de ses passagers sera entre les mains de Dieu. Arrivé en toute vitesse pour montrer le pont, il pert le contrôle de son volant puis il s'oriente vers le trou du fleuve. Les 18 roues en l'air. Bilan sur place 15 morts et une dizaine de personnes blessées par maîtrise de nage, certains ont pu se faire sauvé. Il était 21 heures, les véhicules de secours et l'ambulance la l'hôpital régional du Mandoul sont venus conduire les blessés graves ainsi que les corps inertes à l'hôpital et à la morgue de Koumra. Au petit matin, quelques passagers parmi les blessés ont rendu l'âme. Les autorités n'ont pas de mots à la bouche. Vu l'état dégradant les routes et celui du pont en question.  Non seulement ce pont de Ndila-Doro mais celui de Moïssala également. Ces deux ponts existent au temps des colons et c'est devenu une vache à lait de certains individus qui arnaquent la population à tout moment qu'ils s'engagent à refaire mais les cotisations disparaissent toujours. En mars de l'année dernière, un dizaine de personnes ont perdu leur vie sur ce même axe et rien à attirer l'attention de l'État. Il faut que la population tchadienne comprenne que la construction d'un pont n'est pas une affaire d'individus. C'est l'État tchadien qui doit s'en occuper.

Par LOUBA-HEINDE

Dans le coin du bar Rasta sis au quartier moursal, le Président du CVTC M. Dingamnayal Versinis et ses proches ont expliqué la situation qui baigne depuis le 2 janvier entre les brasseurs, les propriétaires des bars et les consommateurs. Portant sur la hausse des prix dans les marchés actuels des bières ici au Tchad.

Selon M. Versinis Dingamnayel le président du CTVC Le gouvernement n’est rien dans cette augmentation utopique fixé par les BDT. Alors il lance une grève dès le lundi 13 et mardi 14 pour montré une fois de plus leur mécontentement. Plus loin le Président dixit: "la lutte ne vient que commencer contre les brasseries du Tchad. Que les gens comprennent que ce n’est pas le gouvernement qui a augmenté les taxes sur les bières. C’est notre droit le plus élémentaire ". Aussi, il demande autres de sensibiliser tout le monde a y mettre leur main dans la pâte. Affaire à suivre...

Depuis la veille du nouvel an où le Président Déby a lancé ses vœux au peuple tchadien, c’est comme de l’huile sur le feu. Partout on remarque que tout change et tout bouge. Pendant que les fonctionnaires sélectionnaient les pieds pour lesquels la grève devrait être fondée en revendiquant leur situation salariale, certains contrôleurs et clients ponctuels des boissons alcoolisées tiennent aussi une position face aux différents prix fixé en 2020 par les Brasseries Du Tchad.

Dans son mot, le Président, martèle sur les lois de finances en faisant comprendre aussi les taux des impôts et taxe doivent être revus en hausse, les fidèles clients des Brasseries du Tchad ont montré leur vrai visage aux yeux du monde des boissons alcooliques tchadiens. Ici à N’Djamena certains Bars et Alimentations qui n’avaient pas crus et qui avaient tentés d’ouvrir les portes, ont très rapidement refermés car le retard inhabituel de certains clients l’a prouvé en cette matinée.

Cette mesure de grève est initiée par les consommateurs surtout des bières pour dire non aux nouveaux tarifs fixés par les BDT aux grossistes et aux détenteurs des petites alimentations et des bars. Ils trouvent non fonder cette augmentations des prix des bières et de certains produits qui restes en vue d’être promulgué. Selon les témoignages : « ce n’est pas du tout sérieux pour qu’en un jour une décision tombe de nulle part et les prix des boissons se retrouvent en plus ? Même si l’Etat qui donne l’ordre aux BDT par rapport aux taxes et des impôts, ce n’est pas juste dixit un détenteur d’un bar au quartier Atrone ».

 Le comble aussi reste à savoir, combien de jours ses consommateurs vont résister en restant sans boire de l’alcool ? La question est aussi de savoir,  est-ce que ceux-ci vont en grève contre l’Etat qui a monté les taxes et les impôts où contre les brasseurs ?

Alors l’unité des voix et les forces doivent faire chemin pour une défense forte. Toute la matinée jusqu’au coucher du soleil aucun bar n’a bougé ni une alimentation presque tous les quartiers de la ville de N’djamena.

Certains ont clairement dit que : « nous allons tous aller à Kousseri boire nos bières et revenir comme les quatre années passées… d’ailleurs c’est toujours moins cher chez nos voisins».

Plus de 2heures, les ex-agents travailleurs de Milicom Tchad ont tenu un point de presse à la Maison Medias du Tchad en face des medias nationaux et internationaux. Sur les 95 agents qui ont été remercié par Milicom Tchad Tigo, 91 sont toujours présents pour la lutte de droit et règlement. 

Selon les informations qu'ils disposent a donné avec leur avocat à la presse, Milicom Tchad n'a pas respecté les closes. M. Molengar Pierre dans sa déclaration dit: l'équipe dirigeante de Milicom Tchad veux se moquer de l'autorité de l'Etat qui a signé un accord pour la règlementation selon les textes établis aux ex travailleurs. Il dit aussi avec simplicité que lors des négociations certains nombres des points sont touchés et qui doivent pas être abandonner par Tigo.

M. Molengar Pierre Avacat des ex-agents de Tigo déclare aussi qu'il est anormale et irrécevable que cette entreprise baffoue le droit de ceux qui, aujourd'hui l'ont donné une très haute notoriorité de l'économie immesurable aux yeux de tout le monde dixit-il. Si Milicom Tchad Tigo se dit aujourd'hui le numéro un au Tchad, c'est grace à ses agents là. Il dit que la justice fera sont travail afin que ses agents se retrouvent avec leur entier droit.

La situation est déjà là et posée quel que soit les conditions de l’observation. Au lieu de voir le fond de ce qui s’était produit ce jour en sa présence et aussi au su de tous les passant qui ne qu’autre que ceux auxquels il est leur chef, le PAN tente des montages de toutes pièces qui n’honore personne. Ses réactions que portent les réseaux sociaux ne sont que des purs mensonges. Disant qu’il frayant le chemin pour rentrer et subitement cela crée la mort d’un jeune, croit-il normal qu’on trace sa sortie avec des armes à feu ? Alors combien de tchadiens restent-ils à tomber quand ce Président esquissera tous les jours son passage en ce moment où les travaux ont été repris sur l’avenue du 10 octobre et celle de Yaodoumnadji reliant le pont à double voie ? Le Président et son cortège dixit de ne rien compris de l’action qui s’étaient déroulée au moment ils passaient et d’autre part qu’ils ont écouté des balles tirées mais ne savent  pourquoi et aussi qui a tiré…

Ce qui est inhumain de la part du cortège, sur les réseaux sociaux et d’une lettre pleine de coquille écrit et signé par son secrétaire général Adrien Beyom Malo qui adresse les condoléances du PAN aux parents, amis et connaissances du jeune assassiné. Cette note redonne de doute à toute la population tchadienne sur la moralité de PAN et de certains hommes politiques du pays, qui depuis ce jour certains sont restés bouche B à l’exception du Chef de fil de l’Opposition, le Président Félix Romadoumngar. Ce dernier joint par téléphone, lui, s’était rendu aussitôt sur les lieux du crime constatant aussi les faits et à son tour à déplorer l’acte criminel posé par le cortège du PAN ainsi que celui des Transformateurs Masra Succès.

Pour les soutiens de certains proches deu PAN, l'heure est indiquée que pour le regret et de dire autre chose.